juin 2019

Atelier ICP du 5 juillet 2019

ÉCHOCARDIOGRAPHIE EN PRATIQUE CE QUE DOIT SAVOIR LE PNEUMOLOGUE Séminaire 2

 

Maison du Poumon, 66 Boulevard Saint-Michel 75006 Paris, RER B, station Luxembourg (sortie rue Auguste Comte), bus 38 et 82, station Auguste Comte

[themify_box style=”download purple rounded” ] Télécharger le programme [/themify_box] [themify_box style=”download orange rounded” ] Télécharger le bulletin d’inscription [/themify_box]

Maison du Poumon, 66 Boulevard Saint-Michel 75006 Paris


08h30 
Accueil Bouchra LAMIA (Rouen-Le Havre) Olivier Sanchez (Paris)
09h00 Pré-test (vidéos QCM)
9h30 Le coeur pulmonaire chronique Bouchra LAMIA (Rouen-Le Havre)
Les pressions droites
Remodelage et contractilité

Vidéo de la conférence sur le site SPLF du groupe interactions coeur poumons (code d’accès)


10h30 Pause


11h00 ATELIERS PRATIQUES


– Atelier 1 (Salle Mistral) : Acquisition des coupes. Doppler tricuspidien, Doppler pulmonaire, pressions pulmonaires, pression auriculaire droite GROUPE 1
– Atelier 2 (Salle Alizé 1) : Acquisition des coupes. Remodelage des cavités droites : surfaces et volumes OD et VD, hypertrophie du VD. GROUPE 2
– Atelier 3 (Salle Alizé 2) : Acquisition des coupes. Fonction systolique du ventricule droit : contractilité globale et régionale : TAPSE, fraction de raccourcissement, speckle tracking strain. GROUPE 3

Vidéo de la démonstration de l’examen d’échocardiographie sur le site SPLF du groupe interactions coeur-poumons (code d’accès)

12h00 ATELIERS PRATIQUES
– Atelier 1 (Salle Mistral) : Acquisition des coupes. Doppler tricuspidien, Doppler pulmonaire, pressions pulmonaires, pression auriculaire droite GROUPE 1
– Atelier 2 (Salle Alizé 1) : Acquisition des coupes. Remodelage des cavités droites : surfaces et volumes OD et VD, hypertrophie du VD. GROUPE 2
– Atelier 3 (Salle Alizé 2) : Acquisition des coupes. Fonction systolique du ventricule droit : contractilité globale et régionale : TAPSE, fraction de raccourcissement, speckle tracking strain. GROUPE 3
Vidéo de la démonstration de l’examen d’échocardiographie sur le site SPLF du groupe interactions coeur-poumons (code d’accès)


13h00 Déjeuner Buffet

14h00 Le coeur pulmonaire aigu Olivier Sanchez (Paris)
vidéo de la conférence sur le site SPLF du groupe interactions coeur-poumons (code d’accès)

15h00 ATELIERS PRATIQUES

16h00 ATELIERS PRATIQUES
– Atelier 1 (Salle Mistral) : Acquisition des coupes. Doppler tricuspidien, Doppler pulmonaire, pressions pulmonaires, pression auriculaire droite GROUPE 1
– Atelier 2 (Salle Alizé 1) : Acquisition des coupes. Remodelage des cavités droites : surfaces et volumes OD et VD, hypertrophie du VD. GROUPE 2
– Atelier 3 (Salle Alizé 2) : Acquisition des coupes. Fonction systolique du ventricule droit : contractilité globale et régionale : TAPSE, fraction de raccourcissement, speckle tracking strain. GROUPE 3
Vidéo de la démonstration de l’examen d’échocardiographie sur le site SPLF du groupe interactions coeur-poumons (code d’accès)
16h15 Post Test (vidéo QCM) et table ronde avec l’ensemble des participants
16h30 Fin de la formation du séminaire 2

Séminaire 3 : le 15 octobre 2019 à la maison du poumon
(*) Descriptifs des ateliers
– 3 ateliers répartis sur 4 à 5 échographes
– 4 personnes en formation pour un échographe.
– Rotation de chacun des groupes sur les 3 ateliers
– 2 à 3 formateurs par atelier.
– Formation sur sujets sains 

 

En partenariat avec le Groupe Interaction Cœur-Poumon/Circulation pulmonaire de la SPLF 

[hr]

Tarif  : 210 euros TTC – chèque à libeller au nom de la SPLF

Inscriptions auprès de Fabienne DUGUET, SPLF 66 boulevard Saint Michel 75006 Paris

Règlement   soit par chèque libellé au nom de la SPLF et à adresser à FMC ICP 2017 – SPLF – 66 boulevard Saint Michel – 75006 Paris

soit par virement bancaire FR76 1020 7000 5404 0540 0557 184 (préciser comme objet de virement : « nom du participant » – ICP 05.07.2019)

Le nombre de participants étant limité à 25 personnes, seules les inscriptions accompagnées d’un règlement seront prises en compte

Atelier ICP du 5 juillet 2019 Lire la suite »

Adrénaline à inhaler, retour. Est-ce une bonne idée ?

The Medical Letter nous apprend que la FDA des États-Unis a approuvé la vente libre (over-the-counter : OTC) de l’adrénaline à inhaler vendue sous la marque
Primatene Mist. Cela se passe aux États-Unis et ne concerne pas la France. Cet agoniste alpha et bêta non sélectif est destiné à soulager temporairement les symptômes légers d’asthme intermittent chez les patients âgés de 12 ans et plus avec un diagnostic d’asthme léger intermittent posé par un professionnel
de la santé. Le produit n’est pas vraiment nouveau puisque la version originelle de Primatene Mist avait été homologuée par la FDA en 1967, puis disparue du
marché en 2011 parce que l’inhalateur-doseur contenait du chlorofluorocarbone (CFC) comme propulseur, un gaz nocif pour la couche d’ozone ; le nouvel inhalateur-doseur utilise un hydrofluoroalcane (HFA) comme gaz propulseur.
Le nouvel inhalateur Primatene Mist délivre 0,125 mg d’adrénaline par inhalation ; il contient 160 doses mesurées, est muni d’un compteur indiquant approximativement le nombre de doses qu’il reste dans l’inhalateur. Le dosage recommandé est de 1-2 inhalations toutes les 4 heures, avec un maximum de 8 inhalations par 24 heures. La monographie du produit conseille aux patients de consulter un médecin si les symptômes ne s’améliorent pas après 20 minutes ou s’ils s’aggravent, si supérieures à 8 inhalations sont nécessaires par 24 heures ou s’ils présentent plus de 2 crises d’asthme par semaine. Les patients doivent être informés d’agiter et d’amorcer l’inhalateur avant chaque inhalation (4 pressions dans l’air avant la première utilisation et 1 pression avant chaque inhalation suivante). Le dispositif doit être nettoyé après chaque jour d’usage pour empêcher qu’il se bouche. Dans les études cliniques, l’effet indésirable le plus fréquemment rapporté avec le nouvel inhalateur a été des tremblements (10 %). Les autres effets indésirables incluent des irritations pharyngées, des glossodynies, une toux, des bronchites, des irritations des voies respiratoires, une agitation et des vertiges.
L’adrénaline en inhalation peut augmenter la pression artérielle et la fréquence cardiaque. Une mauvaise utilisation ou un abus du médicament par des inhalations excessives ou injection intraveineuse d’adrénaline peut provoquer des effets indésirables graves et potentiellement mortels. Inquiétudes — The Medical Letter relève que de nombreuses organisations, y compris l’Allergy and Asthma Network, l’American Association for Respiratory Care, l’American College of Allergy, Asthma and Immunology, l’American Academy of Allergy, Asthma and Immunology, l’American College of Chest Physicians, l’American
Lung Association, l’American Thoracic Society et l’American Association of Asthma Educators s’inquiètent que l’utilisation de Primatene Mist seul masque les symptômes d’asthme et que les patients l’utilisent pour traiter eux-mêmes leur asthme, ce qui pourrait retarder le traitement des exacerbations et résulter en une prise en charge inadéquate d’un asthme chronique. Il existe une autre préoccupation, spécifiquement nord-américaine : celle que les patients utilisent le produit en vente libre pour remplacer les médicaments sur ordonnance plus coûteux recommandés pour le contrôle de l’asthme. Aux États-Unis, le coût d’un inhalateur Primatene Mist est de 29,99 USD.

[hr]

InfoRespiration N°150– Mai 2019

The Medical Letter. On Drugs and Therapeutics. Édition française. Vol. 41 N°04 (ML
USA N° 1564) 22 février 2019.

Adrénaline à inhaler, retour. Est-ce une bonne idée ? Lire la suite »

Témoin d’une pratique non conforme, lancez l’alerte

Afin de faciliter la déclaration des signalements faits par les lanceurs d’alerte et de renforcer leur suivi, l’ANSM met en place une procédure via une adresse spécifique : lanceur.alerte@ansm.sante.fr. Cette procédure s’inscrit dans le cadre de la loi n° 2016-1691 du 9 décembre 2016 relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique (Loi dite « Sapin 2 »). L’adresse lanceur.alerte@ansm. sante.fr accessible sur la page d’accueil du site de l’ANSM permet à toute personne qui en a personnellement connaissance de signaler facilement toute violation grave d’une loi ou d’un règlement ou toute menace grave à l’intérêt général, concernant des produits de santé ou à finalité cosmétique destinés à l’homme ou des activités relevant du champ de compétence de l’ANSM. Il peut s’agir de pratiques non conformes d’un opérateur intervenant sur ces produits (fabricant, distributeur, par exemple) ou de toute menace grave pour la santé publique liée à un produit de santé. Ne relèvent pas de cette procédure les autres signalements qui bénéficient de déclarations spécifiques : les signalements de défaut qualité, d’effets indésirables ou d’erreurs médicamenteuses et les signalements de ruptures de stock. Par cette procédure, l’agence garantit l’examen du signalement, une première réponse à son auteur dans des délais très courts et le strict respect de la confidentialité des informations recueillies et de l’identité du lanceur d’alerte, qui bénéficie également des mesures de protection prévues par la loi, notamment vis-à-vis de son employeur. Les suites données par l’agence à ces signalements peuvent être diverses : déclenchement d’une inspection, analyse d’un produit par les laboratoires de contrôles de l’agence, vérification des dossiers initialement soumis par les opérateurs, etc.

[hr]

InfoRespiration N°150– Mai 2019

 

Témoin d’une pratique non conforme, lancez l’alerte Lire la suite »

Plus de 16 000 professionnels de santé touchés par une fuite de données

Le 30 janvier 2019, TICsanté a rapporté que plus de 16 000 adresses de courrier électronique de professionnels exerçant dans des établissements sanitaires français, « souvent publiées avec le mot de passe associé », ont été divulguées sur une plateforme en ligne. L’alerte provenait de la cellule d’accompagnement cybersécurité des structures de santé (ACSS).
La cellule ACSS a été créée fin 2017 par le ministère des Solidarités et de la Santé, et travaille en lien avec l’Agence des systèmes d’information partagés de santé (Asip santé) et les agences régionales de santé (ARS). Dans une alerte; publiée sur son site internet, elle indique que des professionnels de santé français ont été concernés par une fuite massive de données ayant eu lieu mercredi 16 janvier à l’échelle internationale. « Si beaucoup de données sont anciennes, les cybercriminels vont très probablement
utiliser ces données pour élaborer des escroqueries de phishing et recourir au chantage », a prévenu la cellule ACSS du ministère des Solidarités et de la Santé. Pour que les personnes puissent vérifier si leur adresse fait partie des fichiers divulgués, elle a conseillé d’utiliser le site Haveibeenpwned.com en saisissant l’adresse concernée dans le moteur de recherche qui s’affiche en page d’accueil. Ce site indique si une adresse apparaît dans des fuites de données, et peut renseigner sur l’origine de la fuite. Cette information « ne signifie pas forcément que ces données soient en danger, mais il convient par mesure de précaution de changer le ou les mots de passe associés au compte », précise la cellule ACSS. Elle a rappelé que pour « faire face à ce genre de problème récurrent », il faut respecter certaines bonnes pratiques de gestion des mots de passe — complexité, renouvellement fréquent, usage unique, cloisonnement des usages privés et professionnels —, sensibiliser les utilisateurs et mettre en place des « dispositifs contraignants ».

[hr]

InfoRespiration N°150– Mai 2019

 

Plus de 16 000 professionnels de santé touchés par une fuite de données Lire la suite »

Retour en haut
SPLF-APP

GRATUIT
VOIR