2019

Séminaire 3 – DIU sommeil 2018-2019

Séminaire 3 – 2018-2019

[themify_box style=”upload orange rounded” ]• Le DIU “Le sommeil  et sa pathologie” : présentation et organisation pratique M.-P. D’ORTHO (Paris)[/themify_box]

Séminaire 3 : Troubles respiratoires / Pédiatrie

Cours en présentiel : 

[themify_box style=”upload purple rounded” ] 1 – Présentation des troubles respiratoires au cours du sommeilN. Meslier – Angers [/themify_box]
[themify_box style=”upload purple rounded” ]Approche clinique du SAHOS Prise en charge diagnostique du SAOS S. Launois

– Paris [/themify_box]
[themify_box style=”upload purple rounded” ]Stratégie thérapeutique des troubles respiratoires au cours du SommeilM.P. d’Ortho – Paris [/themify_box]
[themify_box style=”upload purple rounded” ]Analyse et interprétation des rapports de PPCC. Philippe[/themify_box]

C. Schroder -Strasbourg [/themify_box]

[themify_box style=”upload purple rounded” ]SAS de l’enfant : Epidémiologie, pathophysiologie, signes cliniques,complications et traitement B Fauroux[/themify_box]
[themify_box style=”upload purple rounded” ] Synthèse sur le sommeil de l’enfant P. Franco – Lyon[/themify_box]

Cours e-learning

Remarque : Cours à revoir avant le séminaire: Techniques d’enregistrement cardio-respiratoires (N. Meslier 1er séminaire) ; Physiopathologie du SAHOS, traitement du SAOS par PPC, orthèses d’avancée mandibulaire, traitement chirurgical du SAOS.

• Contrôle ventilatoire au cours du sommeil  (cours en 2 parties) – C. Straus –Paris
• Physiopathologie du SAS S Launois rappelle à R Tamisier – P. Lévy– Grenoble
• Epidémiologie du SAOS S Launois – Paris
• Syndrome métabolique associé au SAOS F. Gagnadoux– Angers
• Complications Cardiovasculaires du SAOS (cours en 2 parties) P. Escourrou – Paris
• Bilan pré-thérapeutique du SAOS,-Bilan cardio-respiratoire J.L. Pépin- Grenoble
• Bilan pré-thérapeutique du SAOS-Fosses nasales et pharynx E. Béquignon–Créteil
• Bilan pré-thérapeutique du SAOS-Bilan dentaire et squelettique B. Petelle –Paris

• Traitement par PPC : indications et modalités – J.C.Meurice
Traitement chirurgical du SAS – F. Chabolle –Paris
• Pathologies restrictives et neuromusculaires . Indications et place des explorations au cours du sommeil. JF. Muir -Rouen
Pathologies restrictives et neuromusculaires. Modalités pratiques et surveillance de la ventilation assistée. F. Viau -Paris
• S
yndrome obésité-hypoventilation A.Chaouat-Nancy
• BPCO et sommeil. Association SAS et BPCO. Overlap syndrome(cours en 2 parties) R. Kessler– Strasbourg
Apprentissage de la lecture de polygraphies sous VNI J. Gonzales– Paris
Insuffisance cardiaque, SAS et Cheyne -Stokes (cours en 2 parties) M.P. d’Ortho – Paris
Syndrome d’apnée central du sommeil M.P. d’Ortho – Paris

• Spécificité de la VNI chez l’enfant. Indications et modalités. Prise en charge des enfants souffrant de maladies neuro -musculaires.B. Fauroux -Paris
Prise en charge ORL, odontologique et maxillo-faciale du SAOS de l’enfant P. J. Monteyrol –Bordeaux

 

[themify_button bgcolor=”orange” link=”https://splf.fr/seminaire-1-diu-sommeil-2018-2019/”]seminaire 1[/themify_button] [themify_button bgcolor=”blue” link=”https://splf.fr/seminaire-2-diu-sommeil-2018-2019/”]seminaire 2[/themify_button] [themify_button bgcolor=”green” link=”https://splf.fr/seminaire-4-diu-sommeil-2018-2019/”]seminaire 4[/themify_button]

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Se « décongestionner » avec de la pommade en cas d’infections respiratoires banales ? Non merci !

La revue Prescrire rappelle que l’usage de la pommade Vicks aux allures inoffensives ne doit pas être banalisé.

La revue Prescrire nous informe que début 2018, le centre régional de pharmacovigilance Nord-Pas-de-Calais a rapporté une série d’observations d’effets indésirables et d’usages à risque de la pommade Vicks Vaporub, commercialisée en France comme décongestionnant dans les affections respiratoires banales chez les adultes et les enfants âgés de 6 ans et plus. 1, 2, 3

Cette pommade est présentée pour être appliquée sur la poitrine ou sur le cou, ou mélangée à de l’eau en inhalation.3

Elle contient des dérivés terpéniques concentrés, qui exposent à une toxicité neurologique, notamment à des convulsions : camphre, lévomenthol, huile essentielle d’eucalyptus, thymol.2, 3

Quelques observations détaillées d’effets indésirables liés à l’application de pommade Vicks Vapurub ont été publiées dont des pneumopathies lipidiques après applications sur le nez, même sans application intranasale, sur une longue durée ; des convulsions ; des taches de dépigmentation sur le visage.7 8

Par voie cutanée, le passage des dérivés terpéniques dans la circulation générale augmente avec la quantité appliquée, la durée de l’exposition et sous pansement occlusif, comme cela semble être pratiqué sur le ventre, de façon prolongée, à visée amaigrissante.2

En pratique, les médicaments qui contiennent un concentré de dérivé terpénique exposent à des effets indésirables graves, surtout en cas d’utilisation augmentant leur absorption. « Voilà de quoi ne surtout pas banaliser ces médicaments, même à visée locale », met en garde Prescrire

[hr]

Nicolas Postel-Vinay, Hôpital Européen Georges-Pompidou

L’auteur n’a déclaré aucun lien d’intérêt en relation avec cet article.

InfoRespiration N°148 – Décembre 2018

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Quand le fer fait fausse route, un accident respiratoire est possible

La revue Prescrire rapporte le récent travail (juin 2018) d’une équipe portugaisequi a analysé la trentaine d’observations publiées concernant des fausses routes avec des comprimés à base de fer.1, 2

Prescrire nous rappelle que le fer a un effet corrosif connu sur la muqueuse digestive, avec des troubles digestifs fréquents pendant le traitement. Les comprimés de fer inhalés accidentellement causent des brûlures chimiques profondes de la muqueuse bronchique, avec des conséquences immédiates et parfois des séquelles.2 4Passé dans les voies respiratoires, un comprimé de fer inhalé se délite, causant des inflammations parfois graves avec nécroses, saignements, voire sténoses bronchiques et/ou atélectasies pulmonaires.2 6

La littérature avait ainsi rapporté cette observation spectaculaire d’une femme âgée de 36 ans, enceinte de 8 mois, ayant consulté un service des urgences pour une toux sévère et une dyspnée.3 Elle prenait chaque jour des comprimés de fer. La laryngoscopie étant normale, et la patiente était sortie. Une semaine plus tard, elle a expectoré un comprimé de fer dans un effort de toux alors que les symptômes pulmonaires persistaient.

Après l’accouchement, un diagnostic d’asthme a été porté et les troubles ont persisté pendant des mois malgré une corticothérapie. Un scanner thoracique a alors été réalisé, montrant une atélectasie des lobes inférieur et médian droit. La bronchoscopie a montré une sténose de la bronche intermédiaire. Une dilatation et la pose d’un stent n’ont pas permis la réexpansion des deux lobes pulmonaires et une bilobectomie a été effectuée.

En pratique, conclut Prescrire, la constatation de symptômes pulmonaires chez des patients prenant des comprimés de fer doit faire envisager la fausse route d’un comprimé. Il faut alors intervenir rapidement avant la constitution de séquelles. L’information des patients les incitera à consulter sans attendre

[hr]

Nicolas Postel-Vinay, Hôpital Européen Georges-Pompidou

L’auteur n’a déclaré aucun lien d’intérêt en relation avec cet article.

InfoRespiration N°148 – Décembre 2018

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Fluoroquinolones par voie systémique ou inhalée : en plus du risque accru de tendinites, voici celui des anévrismes et de dissection aortique

Une information de plus à faire connaître aux patients. En octobre dernier, les laboratoires commercialisant des médicaments à base de fluoroquinolones, l’Agence européenne des médicaments (EMA) et l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) ont émis une mise en garde concernant le risque de survenue d’anévrisme et de dissection aortiques associé à l’utilisation des fluoroquinolones par voie systémique ou inhalée.1

Sont ainsi en cause la ciprofloxacine, la lévofloxacine, la moxifloxacine, la norfloxacine, la fluméquine et l’ofloxacine. Les études épidémiologiques1 3 4rapportent un risque environ deux fois plus élevé de survenue d’anévrisme et de dissection aortique chez les patients prenant 5.] des fluoroquinolones par voie systémique, en comparaison avec les patients ne prenant pas d’antibiotiques ou prenant d’autres antibiotiques (amoxicilline) ; les personnes âgées présentent un risque encore plus élevé. Une étude non clinique 6 a montré que la ciprofloxacine augmente la susceptibilité à la dissection et à la rupture aortique dans un modèle de souris. Ce résultat est probablement en relation avec un effet de classe des fluoroquinolones similaire à celui impactant les tissus tendineux conduisant à un risque majoré de troubles tendineux.

Chez les patients présentant un risque de survenue d’anévrisme et de dissection aortique, les fluoroquinolones ne doivent être utilisées qu’après une évaluation attentive du rapport bénéfice/risque et après prise en compte des alternatives thérapeutiques. Les facteurs prédisposant à la survenue d’un anévrisme et d’une dissection aortique comprennent les antécédents familiaux d’anévrisme, la préexistence d’un anévrisme ou d’une dissection aortique, le syndrome de Marfan, le syndrome vasculaire d’Ehlers-Danlos, l’artérite de Takayasu, l’artérite à cellules géantes (ou maladie de Horton),la maladie de Behçet, l’hypertension artérielle et l’athérosclérose.

En pratique, les patients doivent être informés du risque d’anévrisme et de dissection aortique. Ils doivent être avertis de la nécessité d’une prise en charge immédiate par un médecin au sein d’un service d’urgence en cas d’apparition brutale d’une douleur intense abdominale, thoracique ou dorsale.

[hr]

Nicolas Postel-Vinay, Hôpital Européen Georges-Pompidou

L’auteur n’a déclaré aucun lien d’intérêt en relation avec cet article.

Communiqué de l’ANSM octobre 2018

InfoRespiration N°148 – Décembre 2018

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Important : les AVK désormais contre-indiqués durant la grossesse, sauf cas particulier, et interdiction des initiations par Préviscan®

En raison d’un risque immunoallergique et des risques pour le foetus et l’enfant à naître lors d’une exposition aux antivitamines K (AVK) pendant la grossesse, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a décidé de prendre de nouvelles mesures. Contre-indication de la prise d’AVK chez la femme enceinte, sauf cas particulier. En cas de prise pendant la grossesse, les AVK peuvent nuire gravement au foetus et à l’enfant à naître — risque d’avortement spontané, de mort in utero, de malformations notamment de la face, du squelette et du cerveau, de retard de croissance, d’hémorragies chez l’enfant à naître ou le nouveau-né. C’est pourquoi leur usage était déconseillé. Ils sont désormais contre-indiqués, lit-on dans un message de l’ANSM daté du 30 novembre 2018. Les AVK ne doivent aussi jamais être utilisés pendant la grossesse, excepté pour les femmes porteuses d’une valve cardiaque mécanique présentant un risque élevé de thrombose, pour qui il n’existe pas d’alternative thérapeutique plus efficace. Les femmes en âge d’avoir des enfants doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement et prévenir leur médecin en cas de grossesse ou de souhait de grossesse afin de changer de traitement. En cas de prise d’un AVK pendant la grossesse, un diagnostic prénatal spécialisé — échographique voire IRM — adapté en fonction de la période d’exposition pendant la grossesse doit être instauré et un suivi particulier de l’enfant à naître devra être mis en place. En cas de nécessité de poursuite d’un traitement anticoagulant pendant la grossesse, le passage à l’héparine s’impose à partir de la 36e semaine d’aménorrhée.

Arrêt des initiations de traitement par fluindione (Préviscan®) pour tous les patients

L’initiation de traitement par Previscan® n’est plus autorisée depuis le 1er décembre 2018. En plus du risque hémorragique commun à tous les anticoagulants, les AVK peuvent causer des effets indésirables d’ordre immunoallergique, en particulier des atteintes rénales tubulo-interstitielles, hépatiques, hématologiques ou des atteintes cutanées à type de DRESS. Ce type d’effets indésirables est plus fréquent avec la fluindione qu’avec les coumariniques (warfarine et acénocoumarol). Ces réactions immunoallergiques surviennent habituellement au cours des six premiers mois de traitement. Si leur évolution est généralement favorable après l’arrêt précoce du traitement et la mise en place d’une corticothérapie, des séquelles sur la fonction rénale peuvent être observées en cas de retard au diagnostic et d’arrêt tardif du traitement par la fluindione. Au regard de ce risque rare, mais souvent sévère et compte tenu de l’existence d’alternatives médicamenteuses, l’ANSM a décidé de restreindre les indications de la fluindione.
Les professionnels de santé sont donc invités :

  • À ne plus initier de traitement par la fluindione et à privilégier la prescription de coumariniques ou de médicaments appartenant à une autre classe d’anticoagulant
  • À être particulièrement attentifs, pour les patients déjà traités, à ce risque immunoallergique au cours des six premiers mois d’un traitement par fluindione. La poursuite de la fluindione chez les patients déjà traités depuis plus de six mois et bien équilibrés est à privilégier au regard des risques hémorragiques ou thromboemboliques potentiellement graves liés au changement de ce type de traitement.

 

[hr]

Nicolas Postel-Vinay, Hôpital Européen Georges-Pompidou

L’auteur n’a déclaré aucun lien d’intérêt en relation avec cet article.

Source ANSM (30 novembre 2018)

InfoRespiration N°148 – Décembre 2018

Important : les AVK désormais contre-indiqués durant la grossesse, sauf cas particulier, et interdiction des initiations par Préviscan® Lire la suite »

Désensibilisation par voie sous cutanée dans la rhinite allergique saisonnière : 1 mort pour environ 50 000 patients traités

Dans une de ses récentes livraisons, La Revue Prescrire s’arrête en détail sur la désensibilisation dans la rhinite allergique saisonnière. 1  La Revue se demande quelles sont les balances bénéfices-risques des désensibilisations en 2018 ?

Construite sur une synthèse de l’évaluation disponible 2

2-8 son jugement est résumé par ces mots : « Trop de risques et trop peu d’efficacité ».1  En bref, Prescrire souligne que la désensibilisation sous-cutanée expose à des réactions d’hypersensibilité graves tandis que la désensibilisation sublinguale, certes moins contraignante que la désensibilisation sous-cutanée, expose aussi à des effets indésirables graves mais avec un moindre niveau de surveillance par un soignant. Nous détaillons ici les données de la désensibilisation par voie sous cutanée, certes de moins en moins pratiquée et qui échappe à l’AMM (voir encadré). Désensibilisation par voie sous-cutanée : contraignante et risquée Les protocoles de désensibilisation par voie sous-cutanée supposent une surveillance pendant les minutes suivant chaque injection, dans un environnement permettant la prise en charge immédiate d’une éventuelle réaction allergique grave. 4 5; 6; 7, 8, 9

Ces désensibilisations exposent notamment à des réactions allergiques parfois graves, des exacerbations d’asthme, des toux, des rhinopharyngites, des oedèmes buccaux et oculaires, des troubles psychiques (somnolences, dépression). Dans les essais recensés par une synthèse d’un groupe du Réseau Cochrane, 855 réactions allergiques locales, n’ayant le plus souvent justifié aucun traitement, et 670 réactions allergiques systémiques, toutes gravités confondues, ont été rapportées parmi environ 1 000 patients traités par désensibilisation sous-cutanée — plusieurs réactions allergiques ont pu être observées chez un même patient.7. Le risque de réaction allergique menaçant la vie des patients est difficile à quantifier commente Prescrire : 1 pour 25 000 à 100 000 injections suivant les enquêtes, avec une mortalité à 1 pour 1 million à 2,5 millions d’injections.8, 9

Dans les essais recensés par la synthèse Cochrane, ce risque parait plus élevé : dix-neuf réactions justifiant une injection d’adrénaline rapportées parmi 1 645 patients ayant reçu en moyenne dix-huit injections dans le cadre d’une désensibilisation sous-cutanée, soit 1 injection d’adrénaline pour environ 90 patients ou 1 500 injections.7. En France, les données de pharmacovigilance disponible pour les APSI Alustal® et Phostal®, destinés à la désensibilisation par voie sous-cutanée font état de onze morts, dont six à huit probablement liées au traitement, pour environ 360 000 patients traités.7 Au total environ un mort pour environ 50 000 patients traités synthétise Prescrire — pour comparaison le Stade de France peut recevoir 80 000 personnes. Ce risque est notamment bien précisé dans une brochure d’information patients des allergologues canadiens (Québec) qui précise que Les facteurs de risque pour des réactions graves d’immunothérapie incluent l’administration du vaccin pendant la saison de pollen, les erreurs de dosage et d’administration, la présence d’un degré élevé d’hypersensibilité, utilisation de bêta-bloquants et l’asthme non contrôlé. Dans une enquête récente de l’AAAAI sur l’immunothérapie et les réactions mortelles ou sévères pendant la période de 1990-2001, 15 des 17 patients décédés étaient asthmatiques, dont 9 pour lesquels l’asthme a été considéré comme le facteur déterminant. En fait, la défaillance respiratoire sévère se produit exclusivement chez les patients asthmatiques, et 4 (57 %) des 7 patients asthmatiques avaient un VEMS de moins de 70 % de leur valeur prédite.14

Nicolas Postel-Vinay Hôpital Européen Georges-Pompidou

L’auteur n’a déclaré aucun lien d’intérêt en relation avec cet article. InfoRespiration N°147- Octobre 2018

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Séminaire 2 – DIU sommeil 2018-2019

Séminaire 2 – 2018-2019

[themify_box style=”upload orange rounded” ]• Le DIU “Le sommeil  et sa pathologie” : présentation et organisation pratique M.-P. D’ORTHO (Paris)[/themify_box]

Séminaire 2 : Insomnie/chronobiologie

Cours en présentiel : 

[themify_box style=”upload purple rounded” ] 1- Diagnostic  de l’insomnie chez l’adulte 
outils subjectifs et objectifs, évaluation, diagnostic différentiels.Recommandations de l’HAS pour le diagnostic de l’insomnie. – I. POIROT (Lille)
[/themify_box]

2 – Stratégie thérapeutique dans l’insomnie (présentation des thérapeutiques détaillées dans les cours e-learning)– I. POIROT (Lille)

[themify_box style=”upload purple rounded” ] 3 – Clinique des troubles du sommeil en Psychiatrie. Recommandations pour la prise en charge
– Abord clinique de l’anxiété, de la dépression et de la schizophrénie
-Insomnies psychogènes et hypersomnies psychogènes
– Recommandations de l’HAS pour la prise en charge des troubles dépressifs et anxieux – A BRION (Paris) [/themify_box]

[themify_box style=”upload purple rounded” ] 4 – Particularités de l’insomnie du sujet âgé – M.F. VECCHIERINI (Paris) [/themify_box]

Cours e-learning

Remarque : Cours du séminaire 2 à voir avant le début du séminaire : Définition et épidémiologie de l’insomnie (D. Léger) 

5 – Définitions et épidémiologie de l’insomnie. – D – LÉGER

6 – L’insomnie : un phénomène complexe. Abord neuro-biologique de l’insomnie et nouveautés – P.-A. GEOFFROY

7 – Prise en charge médicamenteuse de l’insomnie. Hypnotiques : données générales et utilisation en pratique « Autres classes » thérapeutiques dans l’insomnie (utilisées en pratique) – V. VIOT BLANC (Paris)

8 – Psychotropes hors hypnotiques et sommeil – L. STANER (Rouffach)

9 – Prise en charge non médicamenteuse de l’insomnie (2 cours en elearning):
–          Education thérapeutique.
–          Thérapies comportementales (contrôle du stimulus et restriction de sommeil).
–          Thérapies cognitives (restructuration cognitive, principe de programme de groupes).
S. ROYANT PAROLA (Paris)

10 – Effet de la privation de sommeil, et contre-mesure – en attente
Travail et sommeil – Travail de nuit – Travail posté –  Jet-Lag  – D. LEGER (Paris)

11 – Troubles du sommeil liés aux rythmes circadiens : diagnostic
–          Retard et avance de phase
–          Syndrome nycthéméral, rythme en libre cours
–          Particularités du sommeil des adolescents – T. QUERA SALVA (Paris)

12 – Sommeil et activité physique/ conditions de vie extrême – F. DUFOREZ  (Paris)

[themify_button bgcolor=”orange” link=”https://splf.fr/seminaire-1-diu-sommeil-2018-2019/”]seminaire 1[/themify_button]

[themify_button bgcolor=”purple” link=”https://splf.fr/seminaire-3-diu-sommeil-2018-2019/”]seminaire 3[/themify_button]

[themify_button bgcolor=”green” link=”https://splf.fr/seminaire-4-diu-sommeil-2018-2019/”]seminaire 4[/themify_button]

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ASTHMIRINE

  • Maladie : Asthme sévère avec polypose nasosinusienne
  • Catégorie : étude académique
  • Promoteur :
  • Objectif principal : Évaluer l’effet de l’aspirine, versus placebo, sur le contrôle de l’asthme chez des patients asthmatiques avec PNS, tolérants à l’aspirine ou rendus tolérants à l’aspirine après une désensibilisation.
    Mesure de la variation du score ACQ 6 (asthma control questionnaire) entre la visite d’inclusion (V0) et la fin de l’étude à 6 mois (V4).
  • Date de début de l’étude : 2018-10-01
  • Date de fin de l’étude : 2021-10-01
  • Autorisation  : 2016-000739-42
  • Investigateur-coordinateur : Pr Camille Taillé
  • Investigateurs associés : 
    Pr Camille TAILLE
    Dr Loubna ALAVOINE loubna
    Pr Gilles GARCIA
    Pr Alain DIDIER
    Pr Philippe BONNIAUD
    Dr Marion VERDAGUER
    Pr Pascal CHANEZ
    Pr Frédéric de Blay
    Pr Arnaud BOURDIN
    Pr Gilles DEVOUASSOUX
    Dr Angelica TIOTU
    Pr Cécile CHENIVESSE
    Dr Wanda GASPARD
  • Principaux critères d’inclusion:
    Patients dont l’âge est compris entre 18 et 75 ans
    · Recevant des corticoïdes inhalés (>1000μg/j de beclométhasone ou équivalent) en association avec un béta 2 agoniste de longue durée d’action à dose stable depuis plus d’un mois et du montelukast depuis au moins deux semaines.
    · Recevant un inhibiteur de la pompe à protons (IPP) depuis au moins 2 semaines
    · Asthme incontrôlé défini par un score ACQ6 ≥1.5 à l’inclusion
    · Rhinosinusite chronique avec polypose nasosinusienne avérée par une endoscopie nasale faite par un ORL
    · Réversibilité de l’obstruction bronchique définie par une augmentation du VEMS de plus de 12% et plus de 200ml après bronchodilatateur, documentée au cours du suivi médical dans le dossier source.
    · VEMS>1.5 l et 60% de la valeur prédite à l’inclusion
    · Non-fumeur ou ex-fumeur de plus de 6 mois avec un tabagisme cumulé <10 paquets-années.
    · Contraception efficace, autre qu’un DIU, chez une femme en âge de procréer, pendant la
    durée de la recherche
    • Principaux critères d’exclusion:
    Autre pathologie pulmonaire évolutive (BPCO, DDB,fibrose…) qui pourrait modifier l’évaluation du contrôle
    de l’asthme
    · Réaction d’hypersensibilité au Lansoprazole
    · Traitement par nelfinavir
    · Autre pathologie nécessitant l’usage régulier
    d’aspirine ou d’un AINS.
    · Exacerbation d’asthme dans les 4 semaines précédant l’inclusion (définie par corticothérapie orale de plus de 48h ou doublement de la dose habituelle de corticoïdes oraux)
    · Grossesse ou allaitement
    · Infarctus du myocarde datant de moins de 6 moisavant l’inclusion
    · Patients recevant des bétabloquants
    · Contre-indication à l’aspirine: antécédent de saignement digestif ou cérébral, ulcère gastrique ouduodénal actif, chirurgie majeure dans les 4 semaines précédant l’inclusion, HTA non contrôlée,anticoagulation efficace orale ou sous cutanée pendant la période de l’étude à dose curative ou préventive, ou tout risque hémorragique considéré par l’investigateur, déficit en G6PD, insuffisance cardiaque, hépatique ou rénale, hyperuricémie, phénylcétonurie, traitement par méthotrexate,probénécide, inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine, diurétique, uricosurique, inhibiteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine, inhibiteur
    du récepteur de l’angiotensine, acétazolamide, carbocystéine, N acetyl cysteine, anti-aggrégants
    plaquettaires : abciximab, cilostazol, clopidogrel,époprosténol, eptifibatide, iloprost, iloprost
    trométamol, prasugrel, ticagrélor, ticlopidine, tirofiban, anagrélide
    · Chirurgie majeure programmée pendant les 6 mois del’étude
    · Sous mesure de sureté ou sous mesure de protection légale (tutelle et curatelle)
    · Patient intolérant au lactose ou à un autre excipient (ex : amidon de maïs)
    · Patiente avec Dispositif Intra Utérin
    · Patient n’ayant pas donné son consentement écrit
    · Patient non affilié à un régime de sécurité sociale (bénéficiaire ou ayant droit)
    • Nombre de patients prévus : 180
    • Nombre de patients inclus  :
    • Site internet : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT02906761?term=aspirin&cond=asthma&draw=2&rank=1

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Effets des pressions manuelles lors de l’augmentation du flux expiratoire sur le débit expiratoire, chez des patients atteints de bronchectasies hors mucoviscidose.

  • Maladie : Dilatations des bronches
  • Catégorie : étude académique
  • Promoteur :
  • Objectif principal : L’objectif principal de cette étude est d’évaluer l’effet de l’augmentation du flux expiratoire (AFE) avec pressions manuelles thoraciques, sur l’augmentation du débit expiratoire (comparativement à l’AFE sans pressions manuelles), chez des patients atteints de bronchectasies hors mucoviscidose.
  • Date de début de l’étude : 2019-02-01
  • Date de fin de l’étude : 2019-03-01
  • Autorisation  : 
  • Investigateur-coordinateur : Bertrand Selleron
  • Marc BEAUMONT, MK, PhD, Université de Brest
    Melissa PERDERAU, étudiante en 4ème année de kinésithérapie, IRFMK Orléans
  • Principaux critères d’inclusion:
    – Patient ayant accepté de donner leur accord en signant le formulaire de consentement
    – Patient de plus de 18 ans
    – Patient ayant une bronchectasie diagnostiquée par tomodensitométrie thoracique
    – Patient ayant des bronchectasies modérées ou sévères selon le Bronchiectasis Severity Index (BSI) [3]
    – Patient présentant des signes d’encombrement bronchique
    • Principaux critères d’exclusion:
    Exclusion Criteria:– Patient ayant refusé de donner leur accord
    – Patient ayant une maladie respiratoire associée à la bronchectasie (BPCO sévère, fibrose pulmonaire…)
    – Patient ayant la mucoviscidose
    • Nombre de patients prévus : 42
    • Nombre de patients inclus  :

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