2017

Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique : évitons les curares en cas de pneumopathie !

 

Les curares font partie de l’arsenal thérapeutique dans l’insuffisance respiratoire aiguë (IRA) hypoxémique évoluée au stade de syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA). Ils permettent d’éviter ou de limiter le risque de lésions pulmonaires induites par la ventilation mécanique invasive, avec un bénéfice potentiel sur la survie lorsqu’ils sont utilisés au cours des 24-48 premières heures de l’évolution d’un SDRA. Néanmoins, les curares ont des effets délétères notamment sur la clairance mucociliaire dont la fonction s’avère essentielle au cours des pneumopathies.

Une étude de cohorte sur la base de données menée d’octobre 2014 à avril 2015 a ainsi comparé les effets des curares sur le devenir de 196 patients atteints de SDRA (rapport PaO2/FiO2 < 300 mmHg) en rapport (n = 125) ou non (n = 71) avec une pneumopathie. Trente-trois patients (26 %) du groupe SDRA avec pneumopathie contre 13 patients (18 %) du groupe sans pneumopathie recevaient des curares. L’odds-ratio pour la mortalité observée associée à l’utilisation de curares était de 3,18 (intervalle de confiance à 95 % : 1,40-7,24 ; p = 0,006) en cas de pneumopathie et de 0,89 (IC95 % : 0,26-3,04 ; p = 0,85) en l’absence de pneumopathie. Après contrôle des données démographiques, des paramètres ventilatoires et des comorbidités par régression logistique, l’odds-ratio ajusté était retrouvé respectivement à 2,77 (IC95 % : 1,05-7 ,30 ; p = 0,04) et 0,75 (IC95 % : 0,12-4,58 ; p = 0,76).

Les curares apparaissent donc susceptibles d’impacter le bénéfice attendu en termes de survie chez les patients selon que l’étiologie du SDRA est en rapport ou non avec une pneumopathie infectieuse. Il n’en reste pas moins que les pneumopathies sont souvent à l’origine des SDRA les plus sévères (rapport PaO2/FiO2 < 100 mmHg) pour lesquels il peut s’avérer difficile de se passer d’une curarisation initiale. Dans l’attente d’études prospectives complémentaires, il convient donc probablement d’être prudent dans le recours aux curares au cours des pneumopathies sévères évoluées au stade de SDRA, tout au moins dans leur durée d’utilisation.

[hr]

Christophe Girault, hôpital Charles Nicolle, CHU-Hôpitaux de Rouen

D’après la communication de Ruan S, et al. Neuromuscular blockers in pneumonia and non-pneumonia related hypoxemic respiratory failure. Am J Respir Crit Care Med 2017 ; 195 : A1896. Session A54.

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10 èmes JRKR

Les 10èmes JRKR (JOURNEE DE RECHERCHE EN KINESITHERAPIE RESPIRATOIRE)

auront lieu le samedi 24 juin 2017 Hôpital COCHIN-PORT ROYAL à PARIS
Amphithéâtre Jean Dausset

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PROGRAMME

8h30 : Accueil
9h00 : Présentation de la journée : Anne Bisserier, Pascal Gouilly, Nicolas Roche
9h20 : Présentation des laboratoires

Première session

Modérateurs : Bruno Pierre (Picquigny), Françoise Barthe Lepimpec (Paris), Jean Roeseler (Bruxelles)
Innovation
9h45 : Etude de l’efficacité des traitements non pharmacologiques chez des patients atteints d’une pneumopathie aiguë
communautaire hospitalisés T. Clément, A. Le Neindre (Nancy)
10h00 : Synthèse de la 2ème journée européenne : Evaluation des séquences de simulation en kinésithérapie
respiratoire Bisserier A et le groupe SIMEKR
10h15 : Effet à court terme du drainage autogène chez les adultes atteints de mucoviscidose mesuré par un appareil de
tomographie par impédance électrique Bottasso L., Bars N., Reychler G., Aubriot A. S., (Bruxelles)
10h30 : Tomographie par impédancemétrie électrique dans l’évaluation de l’efficacité de la kinésithérapie respiratoire chez
des patients hypoxémiques, respirant spontanément Norrenberg M., Guiraut N., Vincent JL. (Bruxelles)
10h45 : Effets des techniques de méditation telles que le yoga, tai chi et qigong sur la fonction respiratoire et la qualité de vie
liée à la santé des personnes atteintes de bronchopneumopathie obstructive chronique : une revue systématique. Montigny S.,
Reychler G. (Bruxelles)

 11h00 – 11h30 : PAUSE


Deuxième session

Modérateurs : Pascal Gouilly (Nancy), Nicolas Roche (Paris), Olivier Contal (Lausanne),
Validation des outils d’évaluation
11h30 : Validation et reproductibilité des échelles de dyspnée chez les enfants entre 6 et 12 ans. Liliane Bilodeau-
Lamontagne Gregory Reychler (Bruxelles)
11h45 : Validation de la version française de l’échelle du London Chest Activity of Daily Living (LCADL) et du
questionnaire Dyspnea-12. Beaumont M., Jego ., Reychler G., Pichon R., Le Ber C., Péran L., Rogé C., Renault D., Narayan S.
and Couturaud F. (Pays de la Morlaye)
12h00 : Où faut-il placer le pavillon du stéthoscope afin d’entendre les bruits venant des bronches primaires ? Dupuis B.;
Duprez F.; Cuvelier G.; Bonus T.; Ollieuz S.; Mashayekhi S.; Reychler G.(Tournai)
Réhabilitation et BPCO
12h15 : Utilisation du test stepper pour débuter la réhabilitation respiratoire de patients atteints de BPCO. Bonnevie T,
Gravier F.E, Viacroze C, Cuvelier A, Muir J.F, Tardif C, Debeaumont D., Medrinal C., Leboullenger M (Rouen)
12h30 : Qu’en est-il du sevrage tabagique au sein des unités de Réhabilitation Respiratoire en France ? Jean V. (Nantes)
12h45 : Suivi et évaluation sur une année de projets élaborés en réhabilitation respiratoire L. Péran , C. Le Ber, R. Pichon, M.
Cabillic, M. Beaumont (Pays de Morlaye)

13h00 -14h00 : DEJEUNER

Troisième session

Modérateurs : François Barbotin (Paris), Bertrand Selleron (Orléans) Antoine Rabbat (Paris)
Activités sportives
14h00 : L’effet de la cohérence cardiaque sur la performance sportive Esentato Laura (Marseille)
14h15 : Intérêt de la kinésithérapie respiratoire chez le hockeyeur subaquatique. Guedes.M, (Marseille).
Débits et Aérosols
14h30 : Débit inspiratoire de pointe et dyspnée inspiratoire chronique ou subaigüe Sanchez-Guerrero J, Guerlain J, Samaha
S, Bourges A, Lacau St Guily J , Perié S. (Paris)
14h45 : Evaluation de l’apport du sérum physiologique par nébulisation à la kinésithérapie respiratoire dans la bronchiolite du
nourrisson – étude expérimentale menée en libéral au sein du réseau Bronchiolite Picard Barbier Sally (Amiens)
Réanimation
15h00 : Effets de l’AFE sur la capacité résiduelle fonctionnelle (CRF) chez des patients intubés,ventilés et sédatés. Freynet A,
Gobaille G (Bordeaux)
15h15 : Intérêt de l’échographie du diaphragme dans la prédiction du succès de l’extubation. Une revue systématique Morel
J., Le Neindre A., Wormser J., Philippart F., Bouhemad B. (Evreux)
15h30 : Evaluation de l’impact de l’échographie pulmonaire et diaphragmatique sur le processus de décision clinique en
kinésithérapie respiratoire chez des patients hospitalisés en réanimation A. Le Neindre, D. Ferreiro, B.Bouhemad, F. Philippart,
J. Wormser, G. Ntoumenopoulos (Férolles-Atilly)

15h45 – 16h15 : PAUSE

Quatrième session

Modérateurs : Madalina Grigoroï (Paris), Anne Bisserier (Paris), Grégory Reychler (Bruxelles)
Pédiatrie
16h15 : Effets comparatifs de la position du cartable sur la fonction respiratoire d’enfants et adolescents atteints de la
mucoviscidose et d’enfants sains : essai croisé contrôlé et randomisé. Combret Y, Medrinal C, Prieur G, Robledo Quesada A,
Le Roux P, Reychler G (Bruxelles)
16h30 : Les coliques du nourrisson atteint de bronchiolite sont-elles des limites à la prise en charge en kinésithérapie
respiratoire ? Recensement des signes cliniques et adaptation des modalités d’application Sagadevin R. (Paris)
16h45 : Validation et reproductibilité du sit-to-stand test chez l’enfant Gaspar V., Reychler G., Bruxelles
Posters
17h00 : Les effets du renforcement des muscles inspiratoires chez les sujets
parkinsoniens par l’utilisation de l’appareil IMT Threshold. Leroy C. Jubert
L., Leclercq I. (Ploeren)
17h10 : Impact de la durée d’un stage de réhabilitation intensive sur les
patients atteints de la mucoviscidose modérée à sévère. Chaabi A., Gauchez
H (Bruxelles)
17h20 : Bronchiolite Aigüe du Nourrisson : Évaluation des connaissances et
du ressenti des parents vis-à-vis de la kinésithérapie respiratoire exercée en
milieu ambulatoire. Groussiaut E., Pierre B., Weissland T. (Amiens)
17h30 : Comparaison du test de marche de six minutes (6MWT) et du step
test de trois minutes (3MstepT) chez des patients BPCO stable Losq A.,
Beaumont M., Reychler G. (Bruxelles)
17h40 : Bronchiolite du Nourrisson : Bénéfices de la Kinésithérapie Respiratoire sur le sommeil et l’alimentation en pratique de ville. Léauté M., Sarhan FR.,Naguet de St. Vulfran P., Pierre B. (Amiens)

17h50 Présentation des prix Henri Fouré et Eric Beauvois
Conclusion de la journée : A. Bisserier, P. Gouilly, N. Roche

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EMBARC

PARTICIPEZ A EMBARC FRANCE

R
egistre
français des bronchectasies hors mucoviscidose

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EMBARC c’est quoi ?
European Multicentre Bronchectasis Audit and Research Collaboration

ers

  • Un registre européen soutenu par l’ERS, initié en 2015
  • Constitué de registres nationaux autonomes
  • Concernant les bronchectasies HORS mucoviscidose
  • Alimenté par de nombreux cliniciens provenant de différents horizons
  • Promoteur: Université de Dundee;
  • Investigateur coordonnateur: Dr James Chalmers
  • Le rationnel
  • Très peu de données sur bronchectasies non muco en termes d’épidémiologie, diagnostic et prise en charge
  • Objectifs
  • Mieux comprendre et prendre en charge les DDB non muco
  • Registre autonome

EMBARC France ?

–Données appartiennent à la France

–Soutien SPLF-GREPI

–Validation CCTIRS-CNIL

–Un conseil scientifique

  • Objectifs :
  • Contribuer à la recherche clinique dans ce domaine
  • Mieux connaitre les spécificités des bronchectasies en France
  • Proposer une prise en charge standardisée au niveau du territoire

–Observation clinique = CRF

–Consensus thérapeutiques

  • Avoir facilement accès à des référents spécialistes
  • Vous pouvez tous participer à EMBARC France !

…lire la suite

  • Les documents utiles à télécharger

>>> Inclusion centre
>>> CRF Français

>>> Données France
>>> EMBARC mode d’emploi
>>> Information patient EMBARC
>>> Consentement EMBARC
>>> Observation suivi annuel
>>> Qualité de vie France
>>> Avis favorable CEPRO
>>>
EMBARC-auto-questionnaire
>>>Reponse-CNIL-EMBARC

>>> fichesbacterio
>>>La charte couleurs des expectorations

 

Maj 16/05/2017

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Numéro 138 – Avril 2017

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ÉDITORIAL
De l’expérimentation à la « vraie vie » : un défi pour la télémédecine, Nicolas Postel-Vinay

VIE DE LA SOCIÉTÉ
Rapports d’activité 2016 des groupes de travail : Groupe assistance ventilatoire, Jésus Gonzalez ; Groupe dyspnée, Capucine Morélot-Panzini ; Groupe de travail aérosolthérapie, Jean-Christophe Dubus ; Groupe Endoscopie de langue française, Jean- Michel Vergnon ; Groupe Pneumologie et culture, Jean-Pierre Orlando ; Association des jeunes pneumologues, Victor Margelidon-Cozzolino ; Groupe Sarcoïdose francophone, Dominique Valeyre ; Groupe Pathologies pulmonaires professionnelles environnementales et iatrogènes, Denis Caillaud

THÉRAPEUTIQUE
Macrolides au long cours dans les bronchectasies : une stratégie hors AMM, Gaëtan Deslée

NTIC
La base Claude-Bernard en accès libre sur les mobiles, Philippe Eveillard

E-SANTÉ/TÉLÉMÉDECINE
Télémédecine entre pneumologue et généraliste : éviter l’envoi au spécialiste dans certains cas, Philippe Eveillard
La formation au cœur de la spirométrie en médecine générale, Philippe Eveillard, Dany Baud, Nicolas Postel-Vinay
Spiromètres inexacts, manque de formation des opérateurs : espérons que le projet français saura éviter ces écueils ! Thierry Perez

DÉBAT
Place de la VNI dans la BPCO à l’état stable ? Nouvelles précisions sur un sujet à controverses, Claudio Rabec, Marjolaine Georges

INITIATIVES
Améliorer la délivrance de l’oxygénothérapie par ajustement automatisé de l’oxygène : la proposition de FreeO2, François Lellouche, Erwan L’Her
FreeO2 : un nouveau dispositif proche de la mise sur le marché, Entretien Djamel Zekri

SUR LE VIF
Candidats à la présidentielle et tabac : peut mieux faire pour certains ! Justine FRIJA-MASSON

EN PRATIQUE
Soulager les signes respiratoires au domicile du patient : notions pratiques en contexte de soins palliatifs, Nicolas Postel-Vinay, Catherine Monier, Nathalie Métivier, Christine Pailler

VIGILANCE
SAOS : savoir évoquer l’hypothèse d’une origine médicamenteuse, Dany Baud
Prescription informatisée : attention ! l’excès de confiance est source d’erreurs, Nicolas Postel-Vinay

CULTURE
Les Deux Fridas, Jean-Pierre Orlando

LU POUR VOUS
Et si se faire soigner par une femme était une chance… Daniel Piperno
Mycoplasma pneumoniae, un germe fréquent, délicat à diagnostiquer. Et bientôt difficile à traiter ? Aurélien Justet
Service téléphonique pour l’aide au sevrage tabagique
Le sport sur ordonnance devient réalité, Daniel Piperno

MORCEAU CHOISI
« Cas d’une affection périodique des yeux et de la poitrine » : première description princeps du rhume des foins.

ENCADRÉS
Les petites annonces

COMMUNIQUÉS DE PRESSE
Workshop AstraZeneca sur la recherche clinique en santé respiratoire : des données encourageantes, Justine Frija-Masson
– Chiesi commercialise de nouveaux aérosolsdoseurs avec compteur de doses –  Mukk, une application pour les patients atteints de mucoviscidose – La Fédération française d’allergologie publie son Livre Blanc

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SAOS : savoir évoquer l’hypothèse d’une origine médicamenteuse

La liste des médicaments exposant à des apnées du sommeil cache des surprises.
Comme le rapporte la revue Prescrire 1 au cours des 37es Journées françaises de pharmacovigilance, il a été fait mention, entre autres, des notifications
d’effets indésirables médicamenteux concernant les apnées du sommeil.2À partir de la base de données de pharmacovigilance de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Centre de pharmacovigilance (CRPV) de Toulouse a analysé plus de 5 000 observations de  syndrome d’apnées du sommeil d’origine centrale ou obstructive notifiées entre 1995 et 2015, considérées comme exploitables pour 3 325 d’entre elles, concernant des patients d’âge moyen de 51 ans. Moins de dix notifications appartiennent à la base de données française de pharmacovigilance. 3
Les médicaments impliqués sont très divers ; en premier lieu viennent les neuroleptiques (152 fois), les opioïdes (91 fois), les antiépileptiques (88 fois), les antidépresseurs (85 fois) et les benzodiazépines (65 fois). En dehors de leur effet dépresseur connu sur les centres respiratoires, certaines de ces drogues, notamment les neuroleptiques, peuvent entraîner des prises de poids importantes ayant pour conséquence des apnées
obstructives au cours du sommeil.
De façon plus inattendue, viennent ensuite les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), notamment le rofécoxib (ex Viox) retiré du marché en 2004
(637 fois) et à un degré moindre les autres AINS. Le mécanisme évoqué dans la genèse des apnées obstructives est l’oedème des voies aériennes supérieures provoqué par la rétention hydrosodée imputable à cette classe médicamenteuse.
De nombreux autres médicaments ont été mis en cause sans que le mode d’action ait été élucidé. Ce sont, notamment, les diphosphonates (176 fois), les anti-TNF alpha (144 fois) dont l’étanercept (fois), les interférons (134 fois), l’ésoméprazole (89 fois), la digoxine (82 fois), le natalizumab (70 fois).
En pratique, commente Prescrire, il faut penser à évoquer plus souvent qu’une origine médicamenteuse aux syndromes d’apnées du sommeil permet de rendre service aux patients. Notifier ces notifications aux centres régionaux de pharmacovigilance est important pour y voir plus clair.

[hr]

Dany Baud, hôpital Suisse, Paris

Info-Respiration N°138 Avril 2017

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