SPLF Webmaster

SPLF Webmaster

Le vapotage chez les adolescents nord-américains ne freine pas le passage au tabagisme ; et c’est peut-être même le contraire

Info Respiration se fait l’écho de l’actualité de la cigarette électronique depuis des années, et bien souvent nous avons rendu compte de publications plaidant pour son utilisation large en tant qu’outil de sevrage alors que les autorités de santé n’avaient pas franchi ce pas. Bien des auteurs soulignent que le vapotage est — en toutes hypothèses — moins dangereux que le tabac, lequel est responsable de 73 000 morts en France l’année dernière selon les chiffres publiés par le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) en octobre 2016. Mais ne passons pas sous silence les craintes de voir dans le vapotage un mode d’entrée dans le tabagisme. Sur ce point, une étude (Research Letter) récemment publiée dans le JAMA ne rassure pas. 1. Aux États-Unis plus d’un tiers des adolescents scolarisés d’une quinzaine d’années dans ce qui équivaut en France à la classe de seconde vapotent. Outre-Atlantique, les enquêtes suggèrent qu’à cet âge l’e-cigarette favoriserait le passage à la vraie cigarette, mais sans savoir s’il s’agit d’une expérimentation temporaire ou d’une entrée dans un tabagisme plus soutenu. Pour en savoir plus sur les conséquences du vapotage à cet âge, Adam Leventhal (Université de Los Angeles) et collègues ont réalisé deux enquêtes à six mois d’intervalle auprès de 3 084 adolescents scolarisés. Ils ont comparé le niveau de vapotage lors de la première enquête et la fréquence et le niveau de tabagisme lors de la deuxième enquête six mois après.
Parmi ceux qui ne vapotaient pas du tout, seuls 0,9 % étaient devenus fumeurs occasionnels et 0,7 % fumeurs réguliers six mois après. Parmi ceux qui étaient d’anciens vapoteurs, 4,1 % étaient devenus fumeurs occasionnels et 3,3 % fumeurs réguliers. Parmi ceux qui vapotaient de façon occasionnelle, 9 % étaient devenus fumeurs occasionnels et 5,3 % fumeurs réguliers. Et parmi les vapoteurs réguliers, 11,6 % étaient devenus fumeurs occasionnels et 19,9 % fumeurs réguliers. Donc, selon ces données déclaratives, plus ces adolescents consomment l’e-cigarette, plus ils risquent de devenir fumeurs de cigarettes, et notamment fumeurs réguliers, six mois après. Les auteurs constatent qu’il y a également un lien entre le vapotage et le nombre de cigarettes fumées six mois après. Au total, les adolescents qui utilisent une cigarette électronique de façon régulière ont un risque accru de consommer du tabac six mois après. Comme l’indiquent les auteurs, il faut continuer à surveiller ce phénomène avec des données portant sur un plus long terme.

Nicolas Postel-Vinay

[hr]

Info-Respiration N°136 Décembre  2016

Le vapotage chez les adolescents nord-américains ne freine pas le passage au tabagisme ; et c’est peut-être même le contraire Lire la suite »

Anti-inflammatoires non stéroïdiens et pleurésies purulentes : il faut limiter, voire proscrire leur prescription

La revue de la littérature montre que la prise d’AINS est un facteur de risque de complications infectieuses sévères lors des pneumopathies aiguës communautaires de l’enfant et de l’adulte.

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) forment une vaste famille de composés hétérogènes mais partageant des propriétés communes tant du point de vue de leurs actions thérapeutiques que de leurs effets indésirables. Certaines spécialités d’ibuprofène, de kétoprofène, de naproxène et de diclofénac ont une indication dans la fièvre et la douleur. L’ibruprofène, qui bénéficie d’une prescription médicale facultative, constitue la deuxième spécialité la plus vendue en ville en 2013 (données ANSM). La plus faible posologie utilisée dans ces indications ne doit pas faire oublier le risque accru d’effets indésirables en cas d’infection bactérienne.
Le rôle favorisant d’une exposition aux AINS dans la survenue de complications infectieuses sévères lors d’infections bactériennes a fait l’objet de plusieurs rapports. Une enquête de pharmacovigilance réalisée en 2002 a conduit à fortement déconseiller l’usage des AINS chez les enfants atteints de varicelle en raison d’une augmentation du risque d’infections bactériennes cutanées et sous-cutanées sévères.12 L’objectif de ce travail est de faire une revue de la littérature des études publiées tentant de déterminer le risque de complications suppuratives liées à la prise d’AINS chez des patients atteints de pneumonie communautaire.

 

Prise d’AINS chez l’enfant atteint de pneumopathie : facteur de risque de développer des complications suppuratives…

Trois grandes études ont été menées dans des populations pédiatriques. Dans une première étude rétrospective, Byington L., et al. (2002) 3 ont observé que l’incidence annuelle des pleurésies purulentes chez les moins de 19 ans dans l’Utah a été multipliée par 5 entre 1993 et 1999. En analyse multivariée, l’âge ≥ 3ans, une durée d’évolution des symptômes ≥ 7 jours, une prise de ceftriaxone ou d’ibuprofène (OR : 4,0 [IC95 2,5-6,5]) avant l’admission étaient des facteurs de risque indépendant de survenue de pleurésie purulente. Dans un second travail, François P., et al. (2010)4 ont comparé les traitements reçus en préadmission d’enfants de moins de 15 ans admis pour une pneumopathie aiguë communautaire avec ou sans complication. Les auteurs ont retrouvé une corrélation entre la prévalence des complications suppuratives et les ventes annuelles d’AINS(r = 0,94 ; p < 0,001). La prise d’ibuprofène était le seul facteur de risque indépendant de survenue de pneumopathie suppurative (OR : 2,57 [IC95 1,51-4,35]. Enfin, dans une étude cas-témoins, Elemraid M.A., et al. (2014) 5 ont déterminé les facteurs de risque de survenue d’une pleurésie purulente. Sur 160 patients de moins de 17 ans hospitalisés pour pneumopathie, 40 (25 %) enfants ont développé un empyème pleural. Bien que les enfants avec empyème aient plus fréquemment pris de l’ibuprofène, ce dernier n’était pas un facteur de risque indépendant de pleurésie purulente (OR : 1,94 [IC97,5 0,80-3,18]). Une des raisons pouvant expliquer ce résultat divergent par rapport aux études précédentes était la forte proportion de pneumopathie virale dans cette cohorte (31 %).

…mais aussi chez l’adulte

Plusieurs travaux similaires ont été menés chez l’adulte. Dans une étude prospective, Voiriot G., et al (2011)6 ont comparé les caractéristiques des patients hospitalisés pour une pneumopathie aiguë communautaire prouvée. Une maladie invasive était définie par la présence d’une bactériémie ou d’un empyème. Sur 90 patients inclus, 32 avaient pris des AINS. Chez ces patients, une maladie invasive (25 % vs 5 %, p =0,014) et les complications pleuropulmonaires (37,5 % vs 7 %, p =0,0009) étaient plus fréquentes. En analyse multivariée, la prise d’AINS était un facteur de risque indépendant de survenue de complications pleuropulmonaires (OR : 8,1 [23-28]). Dans une seconde étude rétrospective, Messika J., et al. (2014)7 ont observé que 20 patients sur 106 hospitalisés avaient reçu un AINS. Les patients exposés aux AINS présentaient plus souvent une complication pleuropulmonaire (OR : 5,75 [1,97-16,76]) et avaient plus souvent besoin d’une assistance ventilatoire non invasive (25 % vs 4,6 %, p = 0,003). La durée d’hospitalisation en unité de soins intensifs et la mortalité étaient similaires dans les deux groupes.

Quelles sont les limites de ces études ?

Parmi tous ces travaux, seule l’étude menée par Voiriot G., et al.5 a été réalisée de manière prospective Le caractère rétrospectif des études détaillées expose à plusieurs biais. Le principal est celui de l’exhaustivité du recueil de prise des anti-inflammatoires réalisé a posteriori.
Enfin, l’autre biais majeur est l’absence de la date exacte du début de la prise d’AINS par rapport aux premiers symptômes de l’infection ou de ses complications. Il s’agit du
biais protopathique. Dans la plupart des études mentionnées, ce biais ne permet pas de conclure définitivement à l’imputabilité de l’ibuprofène dans les complications suppuratives. En revanche, François P., et al. (2010) 4 démontrent que la prise de glucocorticoïdes, de doliprane ou d’aspirine, susceptibles d’être entachés du même
biais, n’est pas associée à la survenue de complications suppuratives.

Au total que retenir ?

Qu’il s’agisse d’une population pédiatrique ou adulte, ces études établissent que la prise d’AINS multiplie de 2 à 8 le risque de survenue de complications suppuratives pulmonaires. Les raisons expliquant ce résultat sont probablement liées à une atténuation de la sévérité des premiers signes de gravité engendrant un retard à la prise en charge efficace, et notamment à la mise en route de l’antibiothérapie. Le médecin et le pharmacien ont donc un rôle majeur à jouer dans l’éducation et la surveillance des patients. Le paracétamol doit être utilisé en première intention en cas de fièvre ; il convient de proscrire la prise d’AINS en cas d’infection respiratoire des voix basses.

Pascale Lainé-Cessac 10
Annie-Pierre Jonville-Béra 11

tableau-vigilance-steroide

[hr]

Info-Respiration N°136 Décembre  2016

Anti-inflammatoires non stéroïdiens et pleurésies purulentes : il faut limiter, voire proscrire leur prescription Lire la suite »

programme DPC au CPLF 2017

pneumodpcAprès l’inscription au CPLF,
inscrivez vous au DPC!

Les inscriptions aux actions DPC du CPLF 2017 sont ouvertes !!!

Inscrivez vous vite, les places sont limitées…

Listes des programmes de DPC – CPLF 2017

 

[themify_box style=”blue rounded download” ]

Télécharger le PneumoDPC-ProgrammesDPC–CPLF 2017 

[/themify_box]

 

• Cancérologie /CPLF 2017 – Référence N° 40001700001

Formation continue : Cours de perfectionnement CPLF – Vendredi 27 janvier 2017

IHC, FISH, CISH, NGS : quelles évolutions dans l’ère des bio-marqueurs ?
WISLEZ Marie, Paris

CBNPC avec mutation
CORTOT Alexis, Lille

Immunothérapie dans le CBNPC
GIRARD Nicolas, Lyon

Les métastases cérébrales : quelle stratégie ?
BESSE Benjamin, Villejuif

Le mésothéliome
SCHERPEREEL Arnaud, Lille

Evaluation des pratiques professionnelles : Participation à au moins 2 Réunions de Concertation Pluridisciplinaire telles que définies par la Loi et selon le Plan Cancer et dûment enregistrée auprès d’un centre de coordination en cancérologie (3C), au cours desquelles sont présentés des dossiers patients d’oncologie thoracique, que ce soit par la personne inscrite au DPC ou par d’autres confrères.

 

•  Infectiologie / CPLF 2017 – Référence N° 40001700002

Formation continue : Cours de perfectionnement CPLF – Vendredi 27 janvier 2017

Faut-il rechercher un virus respiratoire devant une pneumopathie communautaire ?
VOIRIOT Guillaume, Paris

Complications pulmonaires des patients traités par immunothérapie pour un cancer bronchique : infectieux ou non infectieux ?
LORILLON Gwenaël, Paris

Pneumopathie du sujet vieillissant : y penser, la gérer…
GAVAZZI Gaétan, Grenoble

Place des antibiotiques inhalés dans les maladies bronchiques suppuratives
MURRIS-ESPIN Marlène, Toulouse

Evaluation des pratiques professionnelles : Participer à 2 RCP parmi les possibilités suivantes : RCP mucoviscidose, RCP tuberculose multi résistante, RCP mycobactéries non tuberculeuses, staff d’antibiothérapie, réunions du CLIN ou réunions du CLAT d’un établissement de santé

 

•  Sommeil / CPLF 2017 – Référence N° 40001700004

Formation continue : Cours de perfectionnement CPLF – Vendredi 27 janvier 2017

Approche personnalisée du SAOS
GAGNADOUX Frédéric, Angers

Cibler les voies aériennes supérieures dans le SAOS
ATTALI Valérie, Paris

Apnées du sommeil et risques cardiovasculaires, actualités
TAMISIER Renaud, Grenoble

Evaluation des pratiques professionnelles : Inclusion de 15 dossiers patients dans l’observatoire OSFP

 

• Endoscopie Bronchique / CPLF 2017 – Référence N° 40001700005

Formation continue : Cours de perfectionnement CPLF – Vendredi 27 janvier 2017

Prise en charge des opacités distales
VERGNON Jean-Michel, Saint Etienne

Bronchoscopie au tube rigide en pratique clinique
MARQUETTE Charles-Hugo, Nice

Prise en charge d’un ganglion médiastinal pathologique
JOUNIEAUX Vincent, Amiens

Bonnes pratiques en endoscopie souple
DAYEN Charles, Saint Quentin

Evaluation des pratiques professionnelles : Réalisation et analyse d’endoscopies bronchiques (10 CR minimum)

 

• Maladies vasculaires pulmonaires / CPLF 2017 – Référence N° 40001700006

Formation continue : Cours de perfectionnement CPLF – Vendredi 27 janvier 2017

Actualités diagnostiques dans l’embolie pulmonaire : du neuf avec du vieux ?
SANCHEZ Olivier, Paris

La recherche systématique d’un cancer est-elle utile après maladie thromboembolique veineuse inexpliquée ?
MEYER Guy, Paris

Parcours de soins en 2017 : du diagnostic au suivi à long terme
COUTURAUD Francis, Brest

Actualités thérapeutiques dans l’HTP thromboembolique chronique
JAIS Xavier, Le Kremlin-Bicêtre

Evaluation des pratiques professionnelles : Participation à 2 staffs médicaux soignants organisés dans le centre de référence et les centres de compétences de l’hypertension pulmonaire sévère et dans les centres spécialisés dans la maladie trombe-embolique veineuse. ou – Participation à une revue de morbi-mortalité (RMM) ou à une revue des erreurs médicamenteuses (REMED) portant sur les thérapeutiques de l’hypertension pulmonaire et de la maladie thrombo-embolique veineuse.

 

Comment s’inscrire au DPC lors du CPLF 2017?

L’inscription au CPLF ne vaut pas inscription à un programme DPC. Les 2 inscriptions sont indépendantes.

Pour vous inscrire à un programme DPC vous devez suivre les étapes suivantes :

– Si vous êtes libéral :

1) Se connecter à son profil sur www.mondpc.fr

2) S’inscrire au programme sélectionné :

Cliquer sur « Recherche Action » (dans la bande latérale gauche orange),

Saisir la référence du programme OGDPC (11 chiffres) puis cliquer sur « Rechercher »,

Cliquer ensuite sur « Détail Action de DPC»,

Puis cliquer sur « s’inscrire » en bas de page

3) Vous recevrez un mail de l’OGDPC qui confirmera votre inscription

 – Si vous êtes hospitalier :

1) Envoyer un mail de demande d’inscription à pneumodpc@gmail.com mentionnant le numéro du programme souhaité. Vous recevrez par retour de mail votre convention

2) Effectuer votre demande de prise en charge auprès du service des affaires médicales de votre établissement et leur faire compléter et signer la convention individuelle de prise en charge des frais de formation DPC

3) Après accord de votre établissement, renvoyer la convention complétée et signée par mail à pneumodpc@gmail.com – Voilà vous êtes inscrits !

programme DPC au CPLF 2017 Lire la suite »

Journée des CLAT 15 décembre 2016

Les diaporamas de la journée des CLAT du 15 décembre 2016

[themify_box style=”green download rounded” ]•  Complications du BCG thérapeutique intravésical, enquête nationale et série locale.
M. le Dr F. SCHLEMMER (hôpital Henri Mondor Paris et GREPI) + Mme le Dr Mathé (CLAT Perpignan)[/themify_box]

[themify_box style=”green download rounded” ]•  « Grosse enquête dans un petit CLAT : cas index travaillant dans la petite enfance. Description, issue, obstacles. Faut-il protocoliser la gestion des grosses enquêtes dans les petits
CLAT ?» Mme le Dr M. BIBOULET (CLAT 09).[/themify_box]

[themify_box style=”green download rounded” ]• Carnet de santé et dépistage de la tuberculose. Mme M. BRIZARD et C. MERIENNE (CLAT 53 Hôpital de Laval)[/themify_box]

[themify_box style=”green download rounded” ]•  Itinérance des migrants en France et dépistage de la tuberculose : quelle réponse possible des CLATs ? (M. le Dr B. FABRE-TESTE (CLAT du Littoral 62)[/themify_box]

[themify_box style=”green download rounded” ]• Suites des conséquences de la pénurie de vaccins BCG. Dr P. FRAISSE (CLAT 67).[/themify_box]

[themify_box style=”green download rounded” ]• La situation actuelle liés au nouveau vaccin BCG polonais et aux difficultés d’approvisionnement : où en est-on depuis juin 2016 ? Mme le Dr A-S RONNAUX-Baron (CLAT 69).[/themify_box]

[themify_box style=”green download rounded” ]•  Un centre de documentation ? que proposer ? sur quelles modalités ? Mme le Dr AS RONNAUX-Baron (CLAT 69).[/themify_box]

[themify_box style=”green download rounded” ]•  Mise à disposition sur le site de la SPLF d’un corpus réglementaire de l’ensemble des articles de loi concernant la lutte antituberculeuse. Dr P. FRAISSE (CLAT 67).[/themify_box]

[themify_box style=”green download rounded” ]•   Conclusions et perspectives [/themify_box]

>>Télécharger le Programme de la journée

 

Journée des CLAT 15 décembre 2016 Lire la suite »

Numéro 136 – Décembre 2016

IR136-décembre2016

[themify_icon icon=”fa-lock” link=”https://splf.fr/documents/info-respiration/acces-abonnes/” style=”large” icon_color=”#088A85″ ] Accès abonnés

ÉDITORIAL
Techniques innovantes entre espoirs et désenchantements…, Daniel Piperno

VIE DE LA SOCIÉTÉ
Le CPLF 2017 s’annonce comme être un grand cru abordant à la fois les urgences respiratoires et les dilatations des bronches et la mucoviscidose, Claire Andrejak

RÉGLEMENTATION
Nouvelle convention nationale, Bruno Stach

HYGIÈNE
Bactéries hautement résistantes émergentes, Jean-Christophe Lucet, Sarah Jolivet

EN PRATIQUE
Initier — ou pas — une antibiothérapie en tenant compte de l’aspect purulent des expectorations, Micaela Egger, Omar Kherad

NTIC
Certification diagnostique du mésothéliome Françoise Galateau-Sallé, et al
Traceurs d’activités connectés associés à des récompenses financières, Nicolas Postel-Vinay
Résolution de cas cliniques sans examen clinique ni examen complémentaire, Pierre Mordant

TRIBUNE LIBRE
De la trachée qui régénère aux publications qui dégénèrent, Pierre Mordant

SANTÉ PUBLIQUE
Prise en charge des orthèses d’avancée mandibulaire dans le syndrome d’apnées du sommeil, Justine Frija-Masson
Appel des 100 000 !

CULTURE
Le souffle révolutionnaire, Jean-Pierre Orlando

VIGILANCE
Anti-inflammatoires non stéroïdiens et pleurésies purulentes, Pascale Lainé-Cessac, Annie-Pierre Jonville-Béra
Le vapotage chez les adolescents nordaméricains ne freine pas le passage au tabagisme ; et c’est peut-être même le contraire
Sofosbuvir, source d’hypertension artérielle pulmonaire ? Soyons vigilants !
Fluoroquinolones orales en ambulatoire
Baclofène responsable d’apnées du sommeil sévères
Usage médical du cannabis et des cannabinoïdes
Nexplanon®, Nicolas Postel-Vinay

ACTUALITÉS
Promouvoir et assurer l’intégrité scientifique, Nicolas Postel-Vinay
S’il vous plaît… imprime-moi un poumon !, Daniel Piperno
Les petites annonces

LU POUR VOUS
Faut-il s’intéresser à l’épidémiologie de la sarcoïdose dans le monde ?, Daniel Piperno

COMMUNIQUÉS DE PRESSE
Mobilisation des pneumologues avec la Fondation du Souffle, journée mondiale BPCO –  Journée BPCO : les différentes actions du laboratoire Boehringer Ingelheim France
–  Syndrome obésité-hypoventilation : avec l’ANTADIR, une note d’actualité depuis le Congrès du Sommeil – Chiesi lance Innovair® 200/6μg/dose spray et poudre NEXThaler®
– BPCO : les associations LAMA/LABA dans la Stratégie GOLD 2017 – Rapport GOLD 2017 : Chiesi Farmaceutici souligne des limites

Numéro 136 – Décembre 2016 Lire la suite »

Plan du site de la SPLF

Ci-dessous, le plan qui vous permettra de retrouver les informations que vous pouvez rechercher dans le site de la SPLF

[wp_sitemap_page only=”page”]

[wp_sitemap_page only=”post”]

[wp_sitemap_page only=”recos”]

[wp_sitemap_page only=”portfolio”]

 

 

 

 

 

Plan du site de la SPLF Lire la suite »

Retour en haut
SPLF-APPLI

GRATUIT
VOIR