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Zone de partage GAV

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DOCUMENTS POUR VOS MALADESPROCÉDURES OU FICHES TECHNIQUESOUTILS POUR VOS FORMATIONSVIDÉOS
Voyage en avion en cas d’insuffisance respiratoire
GH Pitié Salpétrière 2015
Voyage en avion en cas d’insuffisance respiratoire
GH Pitié Salpétrière 2015
Guide VNIFiche urgence malade appareillé
Check list patient dépendant ventilation(Version test)

 

 

 

 

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Cours du GOLF 2016 – Les présentations

Cliquez sur les titres pour télécharger au format pdf les diaporamas.

• Introduction : Jacques Margery, Denis Moro-Sibilot

EPIDEMIOLOGIE ET FACTEURS DE RISQUES
• Epidémiologie Marc Colonna
• La cancérogénèse Céline Mascaux
• Facteurs de risque professionnels, la pollution, Vincent Bonneterre
• Anatomo-pathologie Elisabeth Brambilla

BILAN
• IHC, FISH, CISH, NGS : quelles évolutions dans l’ère des bio-marqueurs ? Marie Wislez
• Les biopsies liquides : quel avenir ? Sébastien Couraud
• Bilan loco régional et à distance, bilan post op Laurent Greillier
Évaluation de la réponse Gilbert Ferretti
• Évolution de la méthodologie des essais cliniques David Planchard
• Prise en charge du tabagisme Michelle Bertocchi

TRAITEMENTS
• Stratégie chirurgicale Paul Van Schill
• Les radiothérapies Françoise Mornex
• Les traitements péri-opératoires Gérard Zalcman
• Les associations chimio-radiothérapie (CBNPC stade IIIB) Pierre Fournel
• Les Carcinomes à petites cellules J.L. Pujol
• Les CBNPC stade IV 1° ligne et maintenance (hors mutation/translocation) Pierre Jean Souquet
• CBNPC Stade IV (hors mutation/translocation) 2° ligne et lignes ultérieures Maurice Pérol
• CBNPC avec mutation EGFR. Alexis Cortot
• CBNPC avec translocation ALK/ROS Denis Moro-Sibilot
• CBNPC : les autres cibles KRAS, HER, BRAF,C M et Jacques Cadranel
• Le dépistage : pourquoi et pour qui ? Sébastien Couraud

IMMUNOTHÉRAPIE
• Immunothérapie : les checkpoint Christophe Caux
• Immunothérapie : les traitements Nicolas Girard
• Immunothérapie : la prise en charge des effets secondaires Julie Charles

LES « POPULATIONS » PARTICULIÈRES
• Les patients « âgés » Elisabeth Quoix
• Les PS >1 Virginie Westeel
• Cancers HIV / Cancers des greffés Armelle Lavollé
• Cancers des non fumeurs Thierry Berghmans

LES SITES THÉRAPEUTIQUES « D’INTÉRÊT »
Traitements endoscopiques Vincent Ninane
• Les métastases cérébrales : quelle stratégie ? Benjamin Besse
• Les métastases osseuses Chantal Decroisette

LES TUMEURS « PARTICULIÈRES »
Les tumeurs Neuro-Endocrines Catherine Lombard-Bohas
Le mésothéliome Arnaud Scheerperel
Les tumeurs thymiques Nicolas Girard

L’AVENIR
Les indicateurs médico-économiques Christos Chouaid
Les nouvelles stratégies thérapeutiques 2016-2020 Fabrice Barlesi

SOINS DE SUPPORT
Infection et cancer Julien Mazieres
PIC et PAC Laurence Gérinière
SOINS DE SUPPORT
• La fin de vie, la sédation Bénédicte Mastroianni
• Conclusion Denis Moro-Sibilot

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Lettres de liaison obligatoires à compter du 1er janvier 2017

Pour éviter les ruptures dans le parcours de soins entre la ville et l’hôpital il faudra lors d’hospitalisation rédiger et envoyer un courrier de liaison. Cela de façon obligatoire à compter du 1er janvier 2017. Le décret publié au Journal Officiel précise le contenu attendu d’une lettre de liaison à l’entrée et à la sortie d’un établissement, ainsi que les modalités de transmission et de remise de la lettre au patient. À son arrivée dans l’établissement, le patient doit avoir en sa possession une lettre du médecin adresseur, contenant les motifs de la demande d’hospitalisation, les traitements en cours et les allergies connus. Ce document doit aussi être versé dans le dossier médical partagé du patient (si ce dernier existe). À son départ, le patient repart avec une autre lettre en poche, rédigée par le praticien hospitalier à l’attention du médecin traitant et, le cas échéant, au praticien à l’origine de son hospitalisation. La lettre de sortie contient une synthèse du séjour précisant, si besoin, « les événements indésirables survenus pendant l’hospitalisation, l’identification de micro-organismes multirésistants ou émergents, l’administration de produits sanguins ou dérivés du sang et la pose d’un dispositif médical implantable », précise le décret. Le traitement est également détaillé (ordonnance de sortie, posologie et durée des traitements durant le séjour avec l’éventuel motif d’arrêt ou de remplacement). Le médecin hospitalier peut indiquer être dans l’attente de résultats d’examens et peut recommander les suites à donner à l’hospitalisation (actes à programmer, surveillances particulières).

>>> Lire le décret pdf-icon-fond-gris

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Stylos injecteurs d’adrénaline : attention aux lacérations lors de mauvaises manipulations en urgence !

L’adrénaline (épinéphrine) est le traitement de choix des réactions anaphylactiques sévères. Une présentation en stylo injecteur (Anapen® ou autre) facilite l’injection. Reste que ce médicament indispensable peut connaître des difficultés d’utilisation lors des administrations en urgence comme le montre une étude récente citée par La Revue Prescrire. 1 Une équipe nord-américaine a recensé 12 cas de blessures liées à la manipulation d’un stylo d’adrénaline lors d’une réaction allergique chez des enfants âgés de 1 an à 11 ans. L’injection a été effectuée dans la face externe de la cuisse le plus souvent. Seize enfants ont eu une ou des lacérations d’environ 2 à 8 cm autour du point d’injection après s’être débattus. Pour trois d’entre eux, la plaie a été suturée. Quatre fois, l’aiguille restée en place et tordue a été retirée sous anesthésie générale ou sédation. L’injection avait été effectuée par les parents (12 fois), une personne gardant l’enfant ou un enseignant (3 fois), un soignant (6 fois). La Revue Prescrire rappelle que précédemment des cas d’injection dans un doigt, aux conséquences cliniques parfois graves par l’ischémie provoquée, avaient déjà été rapportés. En pratique, l’apprentissage du maniement du stylo injecteur par l’entourage des patients et les soignants est une mesure indispensable pour prévenir les erreurs d’administration en urgence d’adrénaline.

D’après La Revue Prescrire 2

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Info-Respiration N°134 août-septembre 2016

Stylos injecteurs d’adrénaline : attention aux lacérations lors de mauvaises manipulations en urgence ! Lire la suite »

Arrêter la prescription de riociguat (Adempas ®) chez les patients ayant une hypertension pulmonaire associée à une pneumopathie interstitielle idiopathique (HTP-PII)

L’étude de phase II RISE-IIP évaluant l’efficacité et la sécurité du riociguat en traitement de l’HTP-PII symptomatique a été arrêtée précocement suite aux résultats de l’analyse intermédiaire ayant montré une mortalité plus élevée et un risque accru d’événements indésirables graves dans le groupe de patients recevant le riociguat comparativement au placebo. De plus, l’analyse des données disponibles dans cette étude indique l’absence de bénéfice cliniquement significatif avec le riociguat. Au vu de ces données, l’EMA a conclu à un rapport bénéfice/risque défavorable du riociguat chez les patients ayant une
HTP-PII et le Résumé des caractéristiques du produit (RCP) ainsi que la notice d’information destinée aux patients de la spécialité Adempas® seront mis à jour afin d’y mentionner une contre-indication du riociguat chez les patients ayant une HTP-PII.
C’est pourquoi, en accord avec l’Agence européenne du médicament (EMA) et l’ANSM, les laboratoires MSD France et Bayer Pharma AG informent que les patients souffrant d’une hypertension pulmonaire associée à une pneumopathie interstitielle idiopathique (HTP-PII) ne doivent pas être traités par le riociguat (Adempas®). De plus, ces patients, qui seraient actuellement traités par le riociguat, doivent interrompre ce traitement, et leur état clinique doit être surveillé attentivement.
L’ANSM rappelle que Adempas® est indiqué chez les patients en classe fonctionnelle II et III de l’OMS avec une hypertension pulmonaire thromboembolique chronique (HTP-TEC) inopérable ou une HTPTEC persistante ou récurrente après traitement chirurgical. Adempas® est également indiqué chez les patients présentant une hypertension artérielle pulmonaire (HTAP) en classe fonctionnelle II et III de l’OMS. Les études conduites avec riociguat dans le traitement de l’HTAP ont inclus principalement des patients présentant une HTAP idiopathique ou une HTAP associée à une connectivite. Le rapport bénéfice/risque du riociguat reste favorable dans les indications actuellement octroyées dans l’autorisation de mise sur le marché (AMM). Au total, l’utilisation du riociguat n’est pas recommandée dans les autres formes d’HTP qui n’ont pas été étudiées.

D’après une lettre d’information de l’ANSM, juillet 2016.

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Info-Respiration N°134 août-septembre 2016

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Source d’effets indésirables pulmonaires, la nitrofurantoïne est trop prescrite

En 2012, du fait d’effets indésirables pulmonaires et hépatiques graves, l’ANSM avait rappelé les règles de bon usage de la nitrofurantoïne (Furadantine®) et restreint ses indications. Quatre ans plus tard, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de Santé (ANSM) signale la persistance de son utilisation hors du cadre restrictif de l’autorisation de mise sur le marché (AMM). Les données nouvelles portent sur une cohorte de près de 8 000 patients ayant reçu entre mars 2012 et février 2015 un traitement par nitrofurantoïne. Il y a été mis en évidence que 60 % (!) des prescriptions étaient non conformes
à l’AMM. Parmi celles-ci, la proportion de patients masculins traités par nitrofurantoïne (15 % environ) reste importante malgré l’absence
d’indication pour cette population. Rappelons que la nitrofurantoïne doit être réservée au traitement des infections urinaires sous quatre conditions : en traitement curatif et non prophylactique, pour des infections documentées, uniquement chez la femme et non chez l’homme, et pour une durée brève (5-7 jours). Elle doit être réservée aux situations lorsqu’aucun autre antibiotique présentant un meilleur rapport bénéfice-risque ne peut être utilisé par voie orale. Une utilisation en traitement curatif probabiliste peut toutefois être envisagée, mais uniquement en cas d’urgence à instaurer un traitement et/ou selon les antécédents de cystites chez la patiente.

D’après un communiqué de l’ANSM du 26 mai 2016.

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Info-Respiration N°134 août-septembre 2016

Source d’effets indésirables pulmonaires, la nitrofurantoïne est trop prescrite Lire la suite »

Atelier cœur-poumons 11 octobre 2016

JOURNEE INTERACTION CŒUR-POUMONS & ECHOCARDIOGRAPHIE PRATIQUE

pour LE PNEUMOLOGUE

Mardi 11 octobre 2016

Maison du Poumon, 66 Boulevard Saint-Michel 75006 Paris

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PROGRAMME

08h30                         Accueil
Sessions plénières

Le ventricule droit

Modérateurs: Robert Naeije et Andrew Peacock

9h00               Physiopathologie du ventricule droit                             Robert Naeije, Bruxelles
9h30               Place de l’IRM dans l’exploration du cœur droit           Andrew Peacock, Glasgow
10h00             Echocardiographie et cœur droit                        Bouchra Lamia, Rouen-Le Havre
10h30             Derrière une embolie pulmonaire peut se cacher   une hypertension pulmonaire post embolique chronique   Olivier Sanchez, Paris
11h00                         Pause

Interactions cœur poumons au cours de ventilation

Modérateurs: Jean-François Muir et François Chabot

11h15             Effets hémodynamiques de la ventilation                      Bouchra Lamia
11h45             Comorbidités cardiovasculaires et prise en charge ventilatoire de la BPCO                         Bruno Degano, Besançon
12h15             Comorbidités cardiovasculaires et prise en charge ventilatoire du SAS                          Renaud Tamisier, Grenoble

12h45                        Déjeuner Buffet

13h30             ATELIERS (*): Bouchra LAMIA (Rouen) Dominique MOUTON-SCHLEIFFER (Rouen), Simon LAMBERT et Ingénieurs d’applications

Coupes d’échocardiographie transthoracique (échographie bidimensionnelle et Doppler)

Bouchra LAMIA (Rouen) et Simon LAMBERT

– Atelier 1 (Salle Mistral) :Débit cardiaque, fraction d’éjection du ventricule gauche, pressions de remplissage et dysfonction diastolique : GROUPE 1
– Atelier 2 (Salle Alizé 1) : Ventricule droit, artère pulmonaire et embolie pulmonaire : GROUPE 2
– Atelier 3 (Salle Alizé 2) :Dysfonction du ventricule droit et cœur pulmonaire chronique : GROUPE 3

15h15             ATELIERS (*)

– Atelier 1 (Salle Mistral) :Débit cardiaque, fraction d’éjection du ventricule gauche, pressions de remplissage et dysfonction diastolique : GROUPE 2
– Atelier 2 (Salle Alizé 1) : Ventricule droit, artère pulmonaire et embolie pulmonaire : GROUPE 3
– Atelier 3 (Salle Alizé 2) :Dysfonction du ventricule droit et cœur pulmonaire chronique : GROUPE 1

16h15                         ATELIERS (*)

– Atelier 1 (Salle Mistral) :Débit cardiaque, fraction d’éjection du ventricule gauche, pressions de remplissage et dysfonction diastolique : GROUPE 3
– Atelier 2 (Salle Alizé 1) : Ventricule droit, artère pulmonaire et embolie pulmonaire : GROUPE 1
– Atelier 3 (Salle Alizé 2) :Dysfonction du ventricule droit et cœur pulmonaire chronique : GROUPE 2

17h30                         Fin du séminaire

(*) Descriptifs des ateliers

– 3 ateliers pour 3 groupes de 15 personnes maximum.
– 1 à 2 formateurs dont un ingénieur application pour 15 personnes maximum.
– Formation sur sujets sains.
– 2 échographes et 2 sujets sains pour un groupe de 15 personnes maximum.
– 10 stations d’analyse des images à posteriori (Q station) : sujets sains et cas cliniques.
– Chaque groupe pratique dans chacun des ateliers au cours de la journée de formation.

En partenariat avec le Groupe Interaction Cœur-Poumon de la SPLF

logoICP

Tarif  : 210 euros TTC – chèque à libeller au nom de la SPLF

Inscriptions auprès de Fabienne DUGUET, SPLF 66 boulevard Saint Michel 75006 Paris

Le nombre de places étant limité à 45 personnes, seules les inscriptions avec règlement seront prises en compte selon l’ordre d’arrivée.

 

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