asthme

Exposition aux moisissures et asthme sévère

A21 – Polluants biologiques et allergies respiratoires

Exposition aux moisissures et asthme sévère

RAHERISON-SEMJEN Chantal, Bordeaux

[themify_icon icon=”fa-exclamation-triangle” label=”la vidéo peut mettre quelques dizaines de secondes avant d’apparaître” icon_color=”#F60A0A” ] [themify_button style=”large orange” link=”https://splf.fr/videoconferences-cplf-2018/” ]SOMMAIRE[/themify_button]

Exposition aux moisissures et asthme sévère Lire la suite »

Béta bloquant et asthme : la fin d’un dogme

A15 – Poumon et médicaments

Béta bloquant et asthme : la fin d’un dogme

DIDIER Alain, Toulouse

[themify_icon icon=”fa-exclamation-triangle” label=”la vidéo peut mettre quelques dizaines de secondes avant d’apparaître” icon_color=”#F60A0A” ] [themify_button style=”large orange” link=”https://splf.fr/videoconferences-cplf-2018/” ]SOMMAIRE[/themify_button]

Béta bloquant et asthme : la fin d’un dogme Lire la suite »

Pics polliniques et asthme : comment prévenir les exacerbations ?

A14 Qualité de l’air extérieur et santé

Pics polliniques et asthme : comment prévenir les exacerbations ?

MICHEL Olivier, Bruxelles

[themify_icon icon=”fa-exclamation-triangle” label=”la vidéo peut mettre quelques dizaines de secondes avant d’apparaître” icon_color=”#F60A0A” ] [themify_button style=”large orange” link=”https://splf.fr/videoconferences-cplf-2018/” ]SOMMAIRE[/themify_button]

Pics polliniques et asthme : comment prévenir les exacerbations ? Lire la suite »

Immunité et environnement dans l’asthme

A09 – Génétique et environnement

Immunité et environnement dans l’asthme

JUST Jocelyne, Paris

[themify_icon icon=”fa-exclamation-triangle” label=”la vidéo peut mettre quelques dizaines de secondes avant d’apparaître” icon_color=”#F60A0A” ] [themify_button style=”large orange” link=”https://splf.fr/videoconferences-cplf-2018/” ]SOMMAIRE[/themify_button]

Immunité et environnement dans l’asthme Lire la suite »

Jeudis de la SPLF – Programme 2018

Programme

11 Janvier : Prise en charge respiratoire des patients atteints de SLA , Marjolaine GEORGES

15 Février : Syndrome d’hyperventilation : savoir le diagnostiquer et le prendre en charge, Cécile CHENIVESSE

15 Mars : Médecine personnalisée dans les apnées obstructives du sommeil , Fréderic GAGNADOUX

12 Avril : Dilatations de bronches : le point en 2018, Marlène MURRIS

17 Mai : Urgence et asthme, Camille TAILLE

14 Juin : Traitements pharmacologiques de la BPCO : les évolutions Maeva ZYSMAN

13 Septembre : Réhabilitation respiratoire et pathologie interstitielle, Benoit WALLAERT

11 Octobre : L’évolution des valeurs de référence pour la spirométrie : le système GLI2012, Laurent PLANTIER

15 Novembre : La pollution crée-t-elle des BPCO ? Chantal RAHERISON

13 Décembre : L’antibiothérapie inhalée, Stephan EHRMANN, Tours

 


Jeudis de la SPLF – Programme 2018 Lire la suite »

Pictogramme femmes enceintes et traitement de l’Asthme la position de la SPLF

Un pictogramme mentionnant un danger d’utilisation chez la femme enceinte a été apposé récemment sur les boîtes de conditionnement des corticoïdes inhalés et des bronchodilatateurs de type beta 2 mimétiques suite à un décret paru le 17/10/2017.

Le Groupe Asthme et Allergie (G2A) de la SPLF, en lien avec le groupe Femmes et Poumon, a effectué une analyse de la littérature scientifique sur le sujet, aboutissant à une prise de position de la Société.
Cette prise de position souligne les dangers de l’arrêt de ces traitements en cas de grossesse et l’absence de donnée confirmant le danger liés à l’utilisation de ces médicaments chez la femme enceinte.

Cette position rejoint celles de l’Académie Nationale de Médecine et du Centre de Référence sur les Agents Tératogènes.

[hr]

L’argumentaire complet peut être trouvé ici.  
Sont également disponibles un texte court et une version ultra-courte. 

Pictogramme femmes enceintes et traitement de l’Asthme la position de la SPLF Lire la suite »

Effet du benralizumab sur le sevrage des corticoïdes oraux chez les asthmatiques sévères


Le benralizumab est un anticorps monoclonal ciblant le récepteur α de l’IL-5. Son effet sur la réduction des exacerbations a déjà été montré dans deux études de phase 3. L’objectif de cette étude était d’évaluer la possibilité de réduire la corticothérapie orale chez des patients corticodépendants.

Ce large essai multicentrique randomisé a inclus 220 patients asthmatiques non contrôlés, dont le taux d’éosinophiles circulant était > 150/mm3 à l’inclusion. Après une période d’optimisation de la corticothérapie, afin de trouver la dose minimale maintenant le même niveau de contrôle, les patients étaient randomisés en 3 bras (placebo, benralizumab administré toutes les 4 ou 8 semaines). Les corticoïdes étaient réduits progressivement pendant une période de 20 semaines, suivie de 4 semaines pendant laquelle la dose était maintenue.
La dose de corticoïdes oraux à la fin de l’étude était réduite de 75 % dans le groupe traité, quelle que soit la fréquence d’injection, et de 25 % dans le groupe placebo (p < 0,01), avec 52 % des patients sevrés dans le groupe « 8 semaines » et 19 % dans le groupe placebo (p = 0,002). La proportion de patients dont la dose de corticoïdes était stable ou augmentée en fin d’étude était de 21 % dans le groupe traité et 47 % dans le groupe placebo. Parallèlement, les patients traités présentaient moins d’exacerbations que ceux du groupe placebo.
A noter, deux décès au cours de l’essai dans le groupe « 8 semaines »: un de pneumonie, attribué au traitement, et un de défaillance cardiaque aiguë, non attribué au traitement.
Cet essai confirme donc l’intérêt du benralizumab dans l’asthme sévère éosinophile, sur un critère « fort » qui est le sevrage de la corticothérapie orale, source de nombreuses complications.

[hr] Camille Taillé, hôpital Bichat, Paris

D’après le poster présenté par P. Nair. Benralizumab significantly reduced oral corticosteroid dosages and asthma exacerbations rates for patients with severe uncontrolled asthma : results of the ZONDA phase III trial. Am J respire Crit Care Med 2017;195:A 4678.

[hr] [themify_button style=”purple  rounded” color=”#79143d” link=”https://splf.fr/ats-2017-en-direct/” text=”#79143d” ]Retour au sommaire[/themify_button]

© iSPLF – Mission ATS – MAI 2017

Effet du benralizumab sur le sevrage des corticoïdes oraux chez les asthmatiques sévères Lire la suite »

Macrolides dans l’asthme : un premier essai positif


C’est la conclusion de cet essai académique randomisé mené en Australie, incluant 420 patients asthmatiques non-fumeurs non contrôlés malgré un traitement de palier 3. Ils recevaient de l’azithromycine ou un placebo pendant 48 semaines à la dose de 500 mg 3 fois par semaine.

 L’incidence des exacerbations était réduite de 40 % par le traitement, comparativement au placebo (p < 0,001). Ce bénéfice était associé à une amélioration de la qualité de vie plus importante dans le groupe traité (0,36 ; p < 0,001), ainsi qu’une réduction du nombre d’infections respiratoires nécessitant des antibiotiques au cours de l’essai. Les analyses de sous-groupes, notamment en fonction de l’éosinophilie ou de la présence de toux et d’expectoration, n’ont pas identifié une population bénéficiant davantage du traitement.
La tolérance du traitement, notamment cardiaque, était jugée bonne, en dehors de diarrhées plus fréquentes chez les patients traités. La proportion de patients ayant interrompu le traitement pour effet secondaire était de 7 % dans le groupe traité et 4,8 % dans le groupe placebo.
Cet essai diffère de l’étude AZISAST, qui ne montrait pas d’effet sur la survenue des exacerbations, par une dose plus forte d’azithromycine (500 mg vs 250 mg), une durée de traitement plus longue (48 semaines vs 24 semaines) mais également par un effectif plus important de patients (420 vs 109). Cela pourrait peut-être expliquer la différence entre les résultats obtenus.
Cet essai est-il susceptible de modifier les recommandations qui n’intègrent pas actuellement les macrolides dans le traitement de l’asthme sévère ?

[hr]
Camille Taillé, hôpital Bichat, Paris

D’après  le poster présenté par P.G. Gibson. Azithromycin reduces exacerbations in adults with persistent eosinophilic asthma. Am J Respir Crit Care Med 2017;195:A4679.
Session B101

[hr] [themify_button style=”purple  rounded” color=”#79143d” link=”https://splf.fr/ats-2017-en-direct/” text=”#79143d” ]Retour au sommaire[/themify_button]

© iSPLF – Mission ATS – MAI 2017

Macrolides dans l’asthme : un premier essai positif Lire la suite »

L’ e-cigarette fait-elle tousser les asthmatiques ?

 

C’est une plainte fréquente des asthmatiques fumeurs tentant de se sevrer du tabac en vapotant mais aucune donnée dans la littérature ne suggère une mauvaise tolérance de l’e-cigarette dans cette population.

Pour en avoir le cœur net, une équipe de Québec a donc fait vapoter 10 sujets sains et 10 sujets asthmatiques pendant 60 minutes, au rythme de 3 bouffées par minute, soit sans liquide (placebo) soit avec un liquide sans nicotine et sans parfum (70 % de propylène glycol et 30 % de glycérol). Les symptômes (toux, dyspnée, sifflements, oppression….) étaient relevés 20, 40 et 60 minutes après la dernière inhalation. Une spirométrie et une mesure des oscillations forcées étaient faites à 60 minutes.

Les résultats sont sans appel : le vapotage n’induisait ni symptômes ni modification fonctionnelle respiratoire, que ce soit chez les sujets sains ou les asthmatiques. On peut s’interroger néanmoins sur l’intérêt d’avoir utilisé un liquide sans nicotine.

Par conséquent, l’e-cigarette (sans nicotine) n’augmente pas l’hyperréactivité bronchique de l’asthmatique.

[hr]

Camille Taillé, hôpital Bichat, Paris

D’après la communication de M.E. Boulay. Acute effect of electronic cigarette use on lung function in healthy and asthmatics individuals. A2547
Session A77 Changes in the lung due to dietary and environmental exposure.

[hr] [themify_button style=”purple  rounded” color=”#79143d” link=”https://splf.fr/ats-2017-en-direct/” text=”#79143d” ]Retour au sommaire[/themify_button]

© iSPLF – Mission ATS – MAI 2017

L’ e-cigarette fait-elle tousser les asthmatiques ? Lire la suite »

Consulter plus tard ne réduit pas le nombre de rendez-vous non honorés par les asthmatiques sévères !

 

Les médecins du centre d’Asthme Sévère d’un hôpital universitaire britannique ont fait l’amer constat que 20 % des rendez-vous de consultation n’étaient pas honorés, soit le plus fort taux de l’hôpital.

Pensant s’adapter aux particularités de la population d’asthmatiques sévères adultes, majoritairement des femmes d’âge inférieur à 65 ans, ils ont proposé des plages de consultation plus tardives, entre 17 et 19 h 15. Au cours des 17 mois étudiés, le taux de rendez-vous non honorés était de 19,8 % sur les plages « du soir » et de 23,7 % sur les plages « de l’après-midi » (p = 0,42). Les caractéristiques des patients ratant des rendez-vous n’étaient pas différentes en fonction de l’heure de consultation.

Un travail est en cours pour comprendre les raisons, probablement multifactorielles, des difficultés de suivi chez les asthmatiques pourtant sévères.

[hr]

Camille Taillé, hôpital Bichat, Paris

D’après  le poster présenté par MJ Brady, Non attendance at the difficult asthma clinic. Is timing the issue ? Am J Respir Crit Care Med. 2017; 195 : A2986 – Session B23

[hr] [themify_button style=”purple  rounded” color=”#79143d” link=”https://splf.fr/ats-2017-en-direct/” text=”#79143d” ]Retour au sommaire[/themify_button]

© iSPLF – Mission ATS – MAI 2017

Consulter plus tard ne réduit pas le nombre de rendez-vous non honorés par les asthmatiques sévères ! Lire la suite »

Retour en haut
APPLI-SPLF

GRATUIT
VOIR