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Avec l’aimable autorisation du Professeur Mathieu Molimard – Service de Pharmacologie Médicale – CHU de Bordeaux-Université de Bordeaux-INSERM CR1219 – 33076 Bordeaux
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The Medical Letter On Drug and Therapeutics nous informe de la mise sur le marché nord-américain, d’un nouvel inhibiteur d’albutérol pour
traiter l’asthme.1 Le sulfate d’albutérol est un bêta2-agoniste à courte durée d’action, maintenant disponible sous forme d’un inhalateur de poudre sèche (ProAir®RespiClick — États-Unis ; non commercialisé en France), pour la prévention et le traitement du bronchospasme chez les patients âgés de 12 ans et plus. Le ProAir®RespiClick est le seul bêta2-agoniste à courte durée d’action disponible en inhalateur de poudre sèche aux États-Unis. Les inhalateurs de poudre sèche, comme le ProAir®RespiClick, qui sont actionnés par la respiration, ne nécessitent pas de gaz propulseur et n’ont pas besoin d’être amorcés avant l’utilisation. Ils ne nécessitent pas non plus de coordonner l’inspiration et l’actionnement, mais les patients doivent être capables d’effectuer une inspiration rapide et profonde, qui peut être difficile durant les crises d’asthme sévères. Le ProAir®RespiClick peut contenir des traces de protéines du lait, et son utilisation est contre-indiquée chez les patients ayant des antécédents d’hypersensibilité sévères aux protéines du lait.
Info-Respiration n°131 – Février 2016
MAGNAN Antoine, Nantes
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Biothérapie dans l’asthme sévère : comment choisir ? Lire la suite »
DIDIER Alain, Toulouse
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The Medical Letter On Drug and Therapeutics nous informe de la mise sur le marché nord-américain, d’un nouvel inhibiteur d’albutérol pour
traiter l’asthme.1 Le sulfate d’albutérol est un bêta2-agoniste à courte durée d’action, maintenant disponible sous forme d’un inhalateur de poudre sèche (ProAir®RespiClick — États-Unis ; non commercialisé en France), pour la prévention et le traitement du bronchospasme chez les patients âgés de 12 ans et plus. Le ProAir®RespiClick est le seul bêta2-agoniste à courte durée d’action disponible en inhalateur de poudre sèche aux États-Unis. Les inhalateurs de poudre sèche, comme le ProAir®RespiClick, qui sont actionnés par la respiration, ne nécessitent pas de gaz propulseur et n’ont pas besoin d’être amorcés avant l’utilisation. Ils ne nécessitent pas non plus de coordonner l’inspiration et l’actionnement, mais les patients doivent être capables d’effectuer une inspiration rapide et profonde, qui peut être difficile durant les crises d’asthme sévères. Le ProAir®RespiClick peut contenir des traces de protéines du lait, et son utilisation est contre-indiquée chez les patients ayant des antécédents d’hypersensibilité sévères aux protéines du lait.
Info-Respiration n°131 – Février 2016
Nouveau aux États-Unis : un nouvel inhibiteur d’albutérol pour traiter l’asthme Lire la suite »
Un comité consultatif de la FDA des États-Unis a demandé des études de détermination de dose contrôlées par placebo pour établir l’efficacité du décongestionnant oral phényléphrine (non commercialisé en France), en vente libre (OTC) seul ou en combinaison avec d’autres médicaments pour le traitement des refroidissements et des symptômes allergiques. Le but étant de remplacer la pseudo-éphédrine, certes efficace pour diminuer la congestion nasale, mais source d’effets indésirables tels qu’insomnies, excitabilité, céphalées, nervosité, anorexie, palpitations, tachycardie, arythmies, hypertension artérielle, nausées, vomissements et rétention urinaire. De plus, la pseudoéphédrine doit être utilisée avec précaution chez les patients ayant une maladie cardiovasculaire, une hypertension artérielle, un diabète, une hyperthyroïdie, un glaucome à angle étroit ou une obstruction du col vésical.
Hélas ! comme le rapporte The Medical Letter On Drug and Therapeutics, la phényléphrine orale est inefficace pour réduire la congestion nasale.1 Plusieurs travaux le montrent : dans une étude ouverte et randomisée
de détermination de dose portant sur 539 patients présentant une rhinite allergique saisonnière, des doses de phényléphrine allant jusqu’à 4 fois la posologie recommandée de 10 mg ne se sont pas montrées plus efficaces qu’un placebo pour diminuer les symptômes de congestion nasale.2 D’autres études récentes ont aussi montré que la phényléphrine par voie orale n’était pas plus efficace qu’un placebo.3 – 4 5
En conclusion, The Medical Letter suggère l’emploi des décongestionnants appliqués par voie intranasale, comme l’oxymétazoline (Aturgyl® et autres en France) qui sont efficaces et moins enclins que la pseudoéphédrine à induire des effets indésirables systémiques. Toutefois ils peuvent provoquer des picotements, des brûlures, des éternuements, une sécheresse nasale et pharyngée et, s’ils sont utilisés plus de 3-5 jours consécutifs, une congestion nasale par effet rebond (rhinite médicamenteuse). Par ailleurs, les corticostéroïdes par voie intranasale sont les médicaments les plus efficaces pour prévenir et soulager la congestion nasale et les autres symptômes de la rhinite allergique saisonnière, précise The Medical Letter.
[hr]Info-Respiration n°131 – Février 2016
Cliquez sur la carte pour voir les centres d’essais cliniques dans l’asthme en France
Maj février 2016
ÉDITORIAL
La médecine en fait-elle trop ? (bis)
Nicolas Postel-Vinay
VIE DE LA SOCIÉTÉ
Accueillir les pneumologues de demain, une mission essentielle pour la SPLF d’aujourd’hui
Maxime Patout, Alain Didier
Groupes de travail de la SPLF, Nicolas Roche, Jean-Michel Vergnon
Hommage à Isabelle Tillie-Leblond, Alain Didier Bruno Housset, Charles-Hugo Marquette
TRIBUNE LIBRE
Dangers de la biologie ? Science sans conscience… Isabelle Tillie-Leblond ✝, Bruno Housset
THERAPEUTIQUE
Tuberculose, révision des schémas posologiques en pédiatrie
ENTRETIEN
Dépistage du cancer du poumon par scanner thoracique : beaucoup de questions éthiques et financières non résolues, Thierry Rochat
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CULTURE
Savez-vous jouer de l’hypoglosse ? Jean-Pierre Orlando
VIGILANCE
Jus de pamplemousse : bon pour la santé, mais pas au moment de la prise des médicaments
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LU POUR VOUS
25. Fast-food : siffler la fin de partie pour les jeunes asthmatiques ? Justine Frija-Masson
26. Parité des sexes : mauvaise nouvelle, les femmes fumeuses deviennent les égales des hommes!
28. Attente des patients sur le dépistage ou la chimiothérapie : d’incorrigibles optimistes pas nécessairement bien informés
30. Traitement symptomatique des pleurésies néoplasiques : l’alternative talcage ou cathéter tunnélisé n’est pas, claire Pierre Mordant
ENCADRÉS
12. 6e Conférence Internationale du WASOG
23 et 31. Les petites annonces
COMMUNIQUÉS DE PRESSE
Stallergenes soutien l’association Asthme & Allergies– Tiotropium Respimat®: nouveaux résultats de phase III