Depuis l’annonce de Gabriel Attal en avril dernier, de nombreuses voix se sont élevées contre le principe d’une taxe « lapin ». Si le problème des rendez-vous non honorés est bien réel, la mise en oeuvre d’une telle taxe s’annonce pour l’heure encore compliquée, tant sur le plan éthique que pratique.
Bruno Stach Président du syndicat de l’appareil respiratoire, Vice-Président du Conseil National Professionnel de Pneumologie (FPP), Secrétaire général du syndicat Avenir-Spé, Président de l’URPS des Hauts de France
d’après une interview réalisée par Agnès Lara
1. Institut Médical du Sommeil, Neuilly sur Seine. 2. Département de Pneumologie, Hôpital Arnaud de Villeneuve, CHRU de Montpellier – Inserm U1046 – CNRS 9214 Physiologie et Médecine Expérimentale Coeur et Muscle, Université de Montpellier
Dr Stach, pouvez-vous nous rappeler en quoi consiste cette taxe « lapin » etles raisons qui ont amené le Premier ministre à la proposer ?
D
Selon Gabriel Attal, cette taxe consisterait à faire payer 5 euros à tout patient qui n’honorerait pas son rendez-vous chez le médecin sans l’avoir prévenu au moins 24h avant. Elle serait directement versée au médecin, avec une mise en oeuvre prévue dès 2025.
Il est vrai que le problème des rendez-vous non honorés prend des proportions importantes et que cela n’est pas sans conséquences. Les statistiques récentes estiment que 10 à 20 millions de rendez-vous pris auprès des médecins libéraux ne sont pas honorés chaque année en France, ce qui représente 3,5 % des rendez-vous de la médecine générale, et 4 % à 4,5 % de ceux pris auprès des spécialistes, selon la plateforme Doctolib.
Pour les médecins, ces « lapins » peuvent représenter un coût, en particulier lorsqu’il s’agit d’actes médicaux programmés comme les polygraphies ou les fibroscopies par exemple. Mais du côté des patients, ces rendez-vous non honorés représentent surtout une perte de chance, des créneaux bloqués inutilement et qui rallongent les délais d’accès aux professionnels de santé dans un contexte de pénurie d’offre de soins. On comprend donc que le phénomène irrite les professionnels de santé autant que les politiques, et la nécessité de responsabiliser les patients.
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Sandrine Launois-Rollinat 1, Dany Jaffuel 2 1. Institut Médical du Sommeil, Neuilly sur Seine. 2. Département de Pneumologie, Hôpital Arnaud de Villeneuve, CHRU de Montpellier – Inserm U1046 – CNRS 9214 Physiologie et Médecine Expérimentale Coeur et Muscle, Université de Montpellier
Pathologie peu fréquente mais complexe à prendre en charge, le syndrome d’apnées-hypopnées centrales du sommeil (SAHCS) de l’adulte représente un défi pour le clinicien spécialiste des troubles du sommeil : comment faire le diagnostic de SAHCS ? Quels sont les signaux qui permettent d’affirmer le caractère central d’un événement ? Faut-il systématiquement faire une polysomnographie ? Une fois le SAHCS diagnostiqué, quels sont les examens complémentaires à réaliser systématiquement, tant dans le cadre d’un bilan étiologique que pré-thérapeutique ? Enfin, si un traitement est indiqué, quelle(s) option(s) choisir ? Comment mettre en place et suivre ce traitement ? Autant d’interrogations auxquelles les documents de références utilisés jusqu’alors (ICSD3, ICSD3-R, manuel de codage AASM, consensus Européen) ne répondaient pas toujours de manière pragmatique
De nouvelles recommandations disponibles depuis mars 2024
Des experts issus de la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil, la Société de Pneumologie de Langue Française, la Société Française de Cardiologie, la Société Française de Neurologie et la Société de Physiologie, ont donc uni leurs efforts pour établir un consensus sur la prise en charge du SAHCS4. Lorsqu’il existait des données probantes issues de la littérature, les experts se sont basés sur celles-ci pour aboutir à des recommandations. En revanche, lorsque ces données étaient manquantes, la méthode CORE, déjà utilisée de manière efficace lors de la pandémie de COVID19, a été utilisée pour proposer des recommandations. On soulignera qu’un accord fort sur ces recommandations a pu être obtenu quasi-systématiquement.
Au total, ce sont 58 recommandations qui sont proposées. Nous encourageons les professionnels de santé concernés à télécharger le texte complet du consensus, qui est en accès libre sur le site de la revue Médecine du Sommeil (www.sciencedirect.com/ journal/medecine-du-sommeil/issues), pour prendre connaissance du détail des recommandations et de l’argumentaire. Nous détaillerons ici celles qui sont susceptibles d’avoir le plus d’impact sur la pratique de la médecine du sommeil.
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Chantal Raherison Hôpital les Abymes, CHU de Pointe-à-Pitre (Guadeloupe) d’après une interview réalisée par Agnès Lara
L’activité physique adaptée était au coeur de ce troisième colloque des États généraux de la santé respiratoire. Quels ont été les principaux points abordés ?
Effectivement, pour la première fois tous les acteurs de l’activité physique adaptée (APA) étaient rassemblés autour d’une même table : Maisons sport-santé, établissements du secteur sanitaire, social et médicosocial dispensant de l’APA, fédérations de sport et payeurs (Caisse Nationale d’Assurance Maladie et mutuelles). Rappelons que ce colloque était soutenu par le gouvernement et parrainé par le Comité d’organisation des Jeux Olympiques. Quelle meilleure occasion que les Jeux Olympiques en effet pour inciter à l’activité physique et clamer haut et fort la nécessité d’aller plus loin dans la prise en charge non médicamenteuse des maladies respiratoires. Le Pr Degano (Grenoble) a rappelé l’efficacité de l’APA et de la réhabilitation respiratoire dans les maladies respiratoires chroniques, en particulier dans la BPCO, ainsi que les éléments de preuve dont on dispose aujourd’hui. Malgré cette avancée des connaissances, plusieurs participants ont pourtant témoigné de leurs difficultés à déployer plus largement l’APA en l’absence de remboursement.
Ces troisième États généraux de la santé respiratoire ont également été l’occasion de présenter une mise à jour de l’Observatoire de la santé respiratoire concernant l’action des politiques publiques. L’ensemble des échanges a été filmé et la vidéo est disponible sur YouTube (https://www.youtube.com/live/_CVs7uYijEg).
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IMPORTANT RIFAMPICINE / Publication ANSM – Conduites à tenir dans la situation actuelle de tension en approvisionnement
Chers amis,
Quelques informations importantes, si possible à diffuser à tous vos collègues, à toute votre équipe :
– La tension d’approvisionnement va durer au moins jusqu’à la fin de l’année :
o On ne peut donc pas différer les traitements des ITL. La monothérapie par INH est actuellement le traitement de référence (sauf pour ceux déjà sous bithérapie qui peuvent terminer leur traitement telles que débuté)
o Il faut anticiper l’envoi du formulaire/ordonnance à la pharmacie du patient lors de l’hospitalisation pour s’assurer que le patient puisse récupérer son traitement à la sortie sans rupture de traitement
– Il faut vraiment faire attention à bien remplir le formulaire (indication, nom et tampon du prescripteur, poids/taille/ posologie….) lorsque vous donnez l’ordonnance aux patients. Si le formulaire est mal rempli, la pharmacie et/ou le labo vont tenter de vous joindre, mais si ils n’arrivent pas à vous joindre du premier coup, le dossier risque d’être laissé de côté au vu du nombre de demandes et donc le délai pour avoir le traitement est rallongé. Si malgré tout cela, le délai est long, n’hésitez pas à le signaler. L’ANSM fait tout pour comprendre les problèmes de délai.
– Un onglet spécifique « pénurie rifampicine » est disponible sur le site de la SPLF
– Pour les CLAT, des mesures spécifiques ont été prises. Le Dr Philippe Fraisse a mis un mail explicatif à tous les CLAT. Si vous ne l’avez pas reçu (peut être bloqué dans les spams), n’hésitez pas à revenir vers nous et à aller sur le site de la SPLF où un onglet « pénurie rifampicine/CLAT) est disponible
o Si patient déjà sous traitement : pas de souci : cocher « renouvellement »
o Dans les essais cliniques : aucun souci : cocher « autre indication » et préciser essai clinique et le nom de l’étude
o Hors essais cliniques : des propositions sont faites par l’ANSM pour MAC, M. kansasii et M. xenopi, qui bien sur sont à adapter aux interactions médicamenteuses potentielles et aux comorbidités des patients (Contre indications éventuelles). Si votre patient n’est pas dans un essai, qu’il ne peut recevoir le traitement proposé soit du fait de CI/EI/interactions ou si la MNT du patient ne fait pas partie de celles pré-citées, n’hésitez pas à solliciter l’une des 2 RCP nationales : RCP du CNR MyRMA ou RCP nationale Mycobactéries/aspergillus du GREPI
Dès que de nouvelles informations seront disponibles, vous serez avertis.
Le 27 juin 2024
Chers amis,
Ci-joint le message de l’ANSM : il y a pénurie mondiale de rifampicine (sous toutes ses formes: rifampicine rifater, rifinah) et donc restriction des possibilités de prescription ci-dessous les deux documents de l’ANSM convertis en pdf : la conduite à tenir, et le formulaire proposé à remplir par le prescripteur pour toute demande initiale.
En pratique, il sera utile de prévenir dans vos structures les plus jeunes afin, quand ils font des ordonnances de traitement de tuberculose maladie (ordonnances de sortie comprises), qu’ils s’assurent auprès de la pharmacie du patient de la disponibilité du traitement que la pharmacie devra donc systématiquement commander.
Si les pneumologues (notamment libéraux, hors établissements de santé) ont besoin d’aide, les CLAT sont prévenus qu’ils sont là pour les aider.
Pour les Infections tuberculeuses latentes: rimifon monothérapie 6 à 9 mois.
Enfin, voici des précisions à propos des prises en charge des traitements des mycobactéries non tuberculeuses :
1- renouvellement possible de la rifampicine si le traitement a déjà été initié 2- aucun problème pour continuer à inclure dans l’étude CLAZI pour les infections à MAC 3- pour l’initiation d’un traitement à MAC : – soit inclusion dans l’étude CLAZI (et donc possibilité de rifampicine) : si besoin informations : mail : andrejak.claire@chu-amiens.fr – soit pas d’inclusion dans l’étude CLAZI : pas de rifampicine, et dans ce cas possibilité de mise de lamprene à la place en l’absence de CI ou de pb d interactions et sous réserve de l’ECG initial et avec un suivi ECG 4- pour M. kansasii : possibilité de mettre ansatipine à la place de rifampicine avec surveillance NFS 5- pour les autres avis mycobactéries : se renseigner auprès de la rcp GREPI mycobactéries (RCPaspergillus-MNT-asthme@chu-amiens.fr) ou celle du centre national de référence (http://cnr.myctb.bch@aphp)
C’est la semaine de la vaccination ! Votre patient est-il bien protégé contre les infections respiratoires ?
Quels vaccins lui proposer ?
Journée de lutte contre la tuberculose 24 mars 2023
LA TUBERCULOSE N’A PAS DISPARU EN 2023 ! N’ayons pas peur d’assumer notre responsabilité historique contre ce fléau !
Avec 4 306 cas déclarés en 2021 en France et plus de 10 millions de cas mondiaux, cette maladie qui semblerait d’un autre âge est toujours la première cause mondiale de décès par une maladie infectieuse unique (après le pic dû à la Covid en 2020). La méconnaissance de cette maladie est une des causes du délai de plus de 3 mois en France entre le premier symptôme et la mise sous traitement. Plus de 70% des cas de tuberculose sont de site pulmonaire, ce qui en fait le paradigme de l’infection transmise par voie aérosol et justifie l’implication des pneumologues. Des pratiques thérapeutiques défectueuses sont la cause de l’émergence des multi-résistances des bacilles tuberculeux dans de nombreux pays. La tuberculose ne connaît pas de frontières.
Les pneumologues hospitaliers, pour peu qu’ils s’investissent dans ce domaine classique de leur spécialité, sont en première ligne pour le diagnostic et le traitement. Les pneumologues libéraux sont les seuls spécialistes en ville de la tuberculose. Les Centres de lutte antituberculeuse, fédérés dans un Réseau national sous l’égide de la SPLF, sont responsable de mesures sanitaires préventives telles que les enquêtes d’entourage et le vaccin BCG, ou de dépistage en populations à risque. La SPLF a créé le DU tuberculose pour la formation continue, et le Réseau des CLAT fournit 4 formations annuelles pour ses membres et les ARS. Le GREPI compte nombre d’interventions sur ce sujet lors de ses Journées annuelles.
Des progrès considérables sont réalisés dans la compréhension de la cohabitation très complexe des bacilles tuberculeux chez leur hôte humain, ce qui laisse espérer des progrès imminents en termes de prévention dans le domaine de l’infection latente.
Staff thérapeutique tuberculose multi et extra résistante: Lieu : Bibliothèque Laboratoire de Bactériologie de la Pitié Salpétrière Organisation: CNR Mycobactéries (Nicolas Véziris) Rythme : mensuel, un jeudi 15h par mois Fiche à remplir (à demander à Nicolas Véziris) Possibilité de présenter sur place ou par téléphone Lien: cnr.myctb@psl.aphp.fr Staff thérapeutique mycobactéries non tuberculeuses des Hauts de France Lieu: CHU Amiens Organisation: Claire Andréjak (avec participation membres CNR mycobactéries Rythme: lundi 19h30 tous les deux mois Fiche à remplir (à demander à Claire Andréjak) Possibilité de présenter sur place, par téléphone et à partir de janvier en Visio Lien: clandrejak@gmail.com
Je cherche un ou une remplaçante pour mon congé maternité de octobre 2024 a mars 2025.
Nous sommes 4 pneumos installés dans un cabinet libéral situé au sein de la clinique clémentville, on en cherche peut-être un 5ème à court ou moyen terme.
J’ai une activité très variée et agréable, je travaille 4 jours/semaine.
Je ne fais que de consultations avec une orientation de pneumologie générale (bronchopathie, asthme sévère, PID, sommeil), et nous avons accès au plateau technique de la clinique (hospitalisation y compris en soins intensifs avec ventilation non invasive, Optiflow, et également fibroscopie, drains pleuraux, ponction pleurale…).
Nous avons le scanner sur place et très facile d’accès, la possibilité d’organiser des ponctions thoraciques au sein de l’établissement.
Pour l’activité de remplacement, je laisse le choix à mon remplaçant de faire ou non une activité d’hospitalisation, à sa convenance, et de choisir le nombre de jours travaillés par semaine.
Je n’ai pas d’activité d’oncologie thoracique, mais une de mes associées en fait et elle effectue les chimiothérapies directement à la clinique. Nous avons des radiothérapeutes pour effectuer la radiothérapie.
Nous n’avons pas de service d’urgence à proprement parler, mais un service de « soins non programmés » gérés par de très bons médecins généralistes, qui permettent de bilanter le patient, si nous paraît nécessaire d’orienter la prise en charge avant la consultation, ou dans le cadre de l’urgence.
Il n’y a pas de garde nocturne, nous avons des astreintes téléphoniques (non assuré par le futur remplaçant)
Nous avons trois secrétaires pour les quatre médecins, et une infirmière pour nous aider sur la réalisation des EFR, qui pose également les polygraphies ventilatoires.
La clinique est située en plein centre-ville de Montpellier, ville très dynamique, proche de la mer, des rivière (gorges de l’Hérault et autre), à 2h de l’Espagne, avec un arrière-pays exceptionnel.
Si vous êtes intéressé par un remplacement pendant mon congé maternité, ou éventuellement par rejoindre notre cabinet pour une activité à mi-temps en dehors de mon congé maternité, n’hésitez pas me contacter au 06. 66. 41. 83. 41. Marine Salama
Recommandations du GOLF pour la vaccination contre le SARSCoV2 des patients atteints de cancers pulmonaires, tumeurs solides de la plèvre et médiastin (à la date du 13.02.2021) Télécharger
Propositions de prise en charge des patients atteints de cancers thoraciques dans le contexte de la pandémie COVID-19-groupe GOLF de la SPLF – IFCT 18/03/2020 Télécharger les propositions du GOLF
Information et suivi des patients atteints de cancer bronchopulmonaire
Ce livret, rédigé à l’intention des patients, peut servir de support de discussion avec vos proches ou votre médecin référent. Il a été élaboré avec l’aide d’une association de patients, Mon Réseau Cancer du Poumon.
Avec la participation de :
Boris DUCHEMANN, hôpital Avicenne, Bobigny Nicolas GIRARD, Institut Curie, Paris Etienne GIROUX-LEPRIEUR, hôpital Ambroise-Paré, Paris Laurent GREILLIER, hôpital Nord, Marseille Nicolas POSTEL-VINAY, hôpital européen Georges Pompidou, Paris Gaelle ROUSSEAU-BUSSAC, centre hospitalier intercommunal de Créteil Marine SAHUT d’IZARN, hôpital Ambroise-Paré, Paris Marie WISLEZ, hôpital Cochin, Paris
Illustrations Milivoj Miško Pavlović et Carole Fumat.
• Marina Gueçamburu : actualités concernant les biothérapies dans la BPCO • Florence Jeny : Fibrose pulmonaire : actualités des essais thérapeutiques • Pierre-Yves Brillet : Tomodensitométrie thoracique : biomarqueurs et intelligence artificielle • Kinan El Husseini : Actualités en transplantation pulmonaire • Christophe Girault SDRA : Définition mondiale et dernières recommandations de prise en charge • Marjolaine Georges : L’oxygénothérapie de déambulation en question • Jean-Claude Meurice (Poitiers) : Traitements pharmacologiques du SAHOS
Ce lien https://us02web.zoom.us/j/83705344880 sera disponible à partir de 19h le 2 juillet 2024. Merci de renseigner votre nom, prénom et adresse mail lors de votre connexion
Retour sur le congrès de San Diego avec les experts de la Mission ATS 2024
• Anh-Tuan Dinh-Xuan (Paris) : L’intelligence artificielle en 2024 : Docteur Jekyll ou Monsieur Hyde ? • Xavier Blanc (Nantes) : Asthme : quelques nouveautés intéressantes • Athénais Boucly (Le Kremlin Bicêtre) : Voie du PDGF: une nouvelle option thérapeutique dans l’HTAP? • Frédéric Schlemmer (Créteil) : Actualités dans la dilatation des bronches et les infections à mycobactéries non tuberculeuses • Thomas Villeneuve (Toulouse) : Nouveautés en endoscopie bronchique • Sandrine Pontier (Toulouse) : Arrêt de la PPC : facteurs de risque et conséquences
26 mars 2024 de 19h à 21h Webinaire BPCO et asthme : quelles associations avec le zona ?
Modérateurs: Pr Claire Andrejak et Jacques Gaillat
Asthme et zona-Elodie Blanchard, CHU Bordeaux Risque de zona avec asthme sous-jacents : mécanismes potentiels (rappel physiopathologie zona et complications) Association entre l’asthme et le zona Impact du zona chez les patients asthmatiques (risque accru de zona ophtalmique)
BPCO et zona -Nicolas Roche, APHP Cochin Risque de zona avec BPCO sous-jacentes : mécanismes potentiels Association entre BPCO et zona (corticoïdes) Impact du zona chez les patients BPCO (risque accru de NPZ et hospitalisation et aggravation/exacerbation de la BPCO)
Stratégie de prévention du zona -Benjamin Wyplosz CHU Du Kremlin Bicêtre Actualisation de la recommandation vaccinale
14 février 2024 de 19h à 21h Webinaire Post-CPLF 2024
Modérateurs: Étienne-Marie Jutant, Jésus Gonzalez
L’équipe des rédacteurs d’Info Respiration de la Mission CPLF 2024 reviennent pour un webinaire post CPLF le 14 février, pour rattraper tout ce que vous n’avez pas pu voir au CPLF 2024. Au programme : actualités BPCO, infectiologie, maladies vasculaires pulmonaires, oncologie thoracique, physiologie respiratoire et sommeil. En vous espérant nombreux.
• Infections des voies aériennes hautes et basses : Comment expliquer les différents tropismes des virus respiratoires ? Olivier Le Rouzic (Lille) • PCR multiplex ou ciblé pour qui et que faire du résultat? Astrid Vabret (Caen) • VRS chez l’adulte, moyens de prévention et prise en charge thérapeutique. Elodie Blanchard (Bordeaux)
23 novembre 2023 de 19h à 21h Quoi de neuf dans la BPCO en 2023 ? Le GOLD 2023 et au delà…
Modérateurs: Nicolas Roche, Gaëtan Deslée
– L’évolution des concepts sur la BPCO à travers le prisme du GOLD 2023 : trajectoires, préBPCO, étiotypes, définition des exacerbations Lucile Regard, Paris
– Parcours de soin optimal du patient BPCO: comment l’intégrer dans une démarche pratique ? Maeva Zysman,Bordeaux
– Prise en charge thérapeutique de la BPCO à l’état stable: quels outils ? quels objectifs ? Hugues Morel, Orléans
Thèmes : 1. Cancers du poumon non à petites cellules localisés et localement avancés 2. Cancers du poumon non à petites cellules avancés 3. Cancers du poumon à petites cellules et autres tumeurs thoraciques
5 juin 2023 de 19h à 21h Traitements de l’asthme sévère : besoins et avancées
Modérateurs : Cindy Barnig et Jeanne-Marie Perotin
Focus sur la physiopatholie, les voies à cibler – Pascal CHANEZ, Marseille Les données sur les biothérapies – Gilles DEVOUASSOUX, Lyon Reste-il un besoin non couvert dans l’asthme sévère ? Camille TAILLÉ, Paris
20 mars 2023 de 19h à 20h30 CBNPC : du nouveau pour les patients avec mutation KRAS G12C !
Modérateurs : Romain Corre & Céline Mascaux
Epidémiologie, caractéristiques des patients et stratégie de testing – Didier DEBIEUVRE Prise en charge des patients avec mutation KRAS G12C au regard des nouvelles données – Laurent GREILLIER A quoi s’attendre à l’avenir dans la prise en charge des patients ? – Alexis CORTOT
Mise à jour des recommandations (2021) pour la prise en charge et le suivi des patients asthmatiques ADULTES sous l’égide de la Société de pneumologie de langue française (SPLF) et de la Société Pédiatrique de Pneumologie et allergologie (SP2A)
• 1er Décembre de 19h à 21h Webinaire SPLF groupe Interdisciplinarité et BPCO
Réadaptation respiratoire : la science, l’expérience, les clés du succès
Introduction
• Que nous apprend la science ? Transition : Des publications aux recommandations
• Que nous apporte l’expérience ? – Table ronde de discussions
• Quand et pour qui demander une RR ?
• Comment réaliser la RR ?
• Que contient un programme de réadaptation ?
• Comment évaluer les résultats de la RR ?
• Et après une première RR…
• RR et situations particulières
• Quelles sont les clés du succès ?
• Questions-Réponses
Conclusion
Avec la participation de : Pr Frédéric Coste (pneumologue), Pr Nicolas Roche (pneumologue), Dr Alain Bernady (pneumologue), Dr Gilles Jébrak (pneumologue), Dr Joël Pon (psychiatre), Dr Bertrand Legrand (médecin généraliste), Hughes Gauchez (kinésithérapeute)
Avec le soutien des laboratoires Boehringer Ingelheim
• 5 octobre 19h à 21h Webinaire SPLF et le groupe Interdisciplinarité et BPCO
Quand le neurone s’essouffle, l’alvéole se déprime
Modérateurs : Hervé Huguel , Gilles Jébrak Introduction : « Adresser les patients BPCO au psychiatre : pourquoi ? Quand ? » Gilles Jébrak. 15 minutes. Table ronde en interaction avec l’audience : 1 heure.
Dr Joël Pon (Psychiatre), Pr Nicolas Roche (Pneumologue), Dr Roger Escamilla (Pneumologue), Dr Gilles Jébrak (Pneumologue), Dr Hervé Huguel (Médecin généraliste), Bruno Julia (Pharmacien). Implications thérapeutiques : Joël Pon. 15 minutes. Questions-réponses de l’audience. 10 minutes.
Webinaire SPLF/Groupe BPCO Optimisation du traitement médicamenteux des patients atteints de BPCO en état stable. Actualisation 2021 de la position de la SPLF.
Prise en charge de la Covid-19 – 1ère partie
Quand ? Le mardi 1er juin de 19h à 21 h sous l’égide de la SPLF et des groupes de travail
Modérateurs: Professeur Chantal Raherison (Bordeaux) et Docteur Didier Debieuvre (Mulhouse)
• Professeur Vincent Cottin (Lyon) pour le groupe ORPHALUNG • Docteur Thomas Flament (Tours) pour le groupe GECHO • Professeur David Montani (Le Kremlin Bicêtre) et Professeur Olivier Sanchez (Paris) pour le groupe CP2 • Docteur Anne Ruppert (Paris) pour le groupe Tabac et Toxiques Inhalés • Docteur Philippe Fraisse (Strasbourg) pour le groupe GREPI • Professeur Jean-Michel Vergnon (St Etienne) pour le groupe GETIF • Docteur Gaëlle Dauriat (Le Plessis Robinson) pour le groupe Transplantation Pulmonaire • Professeur Laurent Greillier (Marseille) pour le groupe GOLF
Quand? : Mercredi 24 mars de 19h à 21h sous l’égide de la SPLF et de la SP2A
Transition et maladies respiratoires : l’expérience des pneumologues adultes et pédiatriques.
Modération :Professeur Ralph Epaud (Créteil) Professeur Camille Taillé (Paris)
Intervenants :
PID de l’enfant et de l’adulte : parlons-nous la même langue ? Exemples de la sarcoïdose et des pathologies du surfactant. Docteur Nadia Nathan (Paris)
Asthme de l’enfulte : un problème, un enjeu ?. Docteur Pierrick Cros (Brest)
Ensemble pour une meilleure transition : l’exemple de la DCP. Professeur Bernard Maitre (Créteil)
Quand? : Lundi 11 janvier 2021 de 19h à 21h Sous l’égide du groupe Toux
Mise au point de la toux chronique réfractaire
Animation : DrDanielle Brouquières (Toulouse) et Pr Nicolas Roche (Paris) Intervenants :
Tour d’horizon des recommandations internationales sur la toux chronique Pr Roger Escamilla (Toulouse) Toux chronique par excès de sensibilité Pr Laurent Guilleminault (Toulouse) Nouvelles thérapies dans la toux chronique Pr Stanislas Grassin Delyle (Suresnes)
Asthme sévère et évaluation de la réponse aux biologiques ? Professeur Gilles Devouassoux (Pierre-Bénite) Polypose naso-sinusienne et asthme. Que nous dit cette association ? Professeur Camille Taillé (Paris) Les corticoïdes dans l’asthme: un excellent marqueur ? Professeur Arnaud Bourdin (Montpellier)
Quand? : Mercredi 18 novembre de 19h à 21h Sous l’égide du groupe GOLF
Thrombose associée au cancer: de la biologie à la clinique
Animation : Pr Marie Wislez (Paris) & Pr Olivier Sanchez (Paris) Intervenants : Interaction hémostase – cancer : de la physiopathologie à la clinique. Dr Corinne Frère (Paris) Traitement anticoagulant initial : quelle molécule pour quels patients ? Pr Laurent Bertoletti (St-Etienne) Quelle durée de traitement anticoagulant ? Chez qui peut-on arrêter ? Chez qui faut-il continuer ? Pr Isabelle Mahé (Paris) Prise en charge des thromboses sur PAC. Dr Stéphanie Bonhomme (Paris)
Avec le soutien des laboratoires Boehringer Ingelheim France
Quand? : Mardi 13 octobre de 19h à 21h Webinaire sous l’égide du groupe GREPI
Actualités Covid-19
Animation : Pr François-Xavier Blanc (Nantes) – Dr Hugues Morel (Orléans) Intervenants : Anticoagulation et Covid-19 Dr Nicolas Brebion(La Roche-sur-Yon Place de la corticothérapie dans la Covid-19 Pr Claire Andréjak (Amiens) De l’air ambiant à la réanimation : différentes facettes de la ventilation dans la Covid- 19 Dr Maxime Patout (Mont-Saint-Aignan)
COVID-19 et oncologie thoracique Animation: Pr Laurent Greillier (Marseille) – Pr Marie Wislez (Paris) Intervenants : La maladie COVID-19 et le cancer du poumon non à petites cellules : Résultats cliniques et modulation du microenvironnement de la tumeur après l’infection par le SRAS-CoV-2 (COV-LUNCA) Pr Isabelle Cremer (Paris) Presentation de l’étude Theravolt et mise en perspectives Pr Fabrice Barlesi (Villejuif) Recommandation prise en charge des patients atteints de cancer du poumon en période COVID Pr Nicolas Girard (Paris) Questions-réponses
Comment reprendre son activité et la réalisation des EFR ?
Animation : Pr F.Xavier Blanc (Nantes) – Dr Bruno Stach (Valenciennes)
Intervenants : Pr Laurent Plantier (GT Fonction SPLF) (Tours) Pr Didier Lepelletier (pilote du groupe de travail du Haut Conseil de Santé Publique) (Nantes)