Résultats de recherche pour : recommandations

Présentation GOLF

Responsable :Professeur Laurent Greillier 

Créé en 1985, le Groupe Oncologie de la Société de Pneumologie de Langue Française (G.O.L.F.) est un groupe de travail constitué de plus de 200 membres avec 3 réunions annuelles dont une « administrative » lors du CPLF. Son rôle est :
– de proposer au conseil scientifique des thèmes de présentation, ateliers, controverses et questions d’actualités pour les CPLF ;
– d’organiser une semaine annuelle d’enseignement en septembre ou octobre dans une ville différente chaque année, ouverte à tous les médecins en formation et ceux voulant se perfectionner en cancérologie thoracique ;
– d’organiser deux réunions thématiques (2 demi-journées) une en automne après le cours de cancérologie, une au printemps ;
– d’élaborer des recommandations, synthèse, et documents divers (livret d’information destiné au patient atteint de cancer bronchique, par exemple).

Pour devenir membre :
contacter le Pr Laurent Greillier

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Journée des CLATs – 12 juin 2018

Les diaporamas de la journée d’été des CLAT du 12 juin 2018

[themify_box style=”orange download rounded” ]Programme[/themify_box] [themify_box style=”green download rounded” ]Education Thérapeutique des patients infectés par la tuberculose multirésistante (TB-MR) à MSF. L’exemple de l’Arménie – Dr P. BLASCO [/themify_box] [themify_box style=”green download rounded”] Les voies d’amélioration pour l’accès aux soins des mineurs non accompagnés
–Dr R. LAPORTE PASS , Dr B. BERTINI[/themify_box] [themify_box style=”green download rounded” ]Conception d’un outil de communication –M. BRIZARD [/themify_box] [themify_box style=”green download rounded” ]Les recommandations récentes–Dr P.FRAISSE[/themify_box] [themify_box style=”green download rounded” ]Conclusion[/themify_box]

 

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Contrat et charte de partenariat

Conditions de Parrainage de réunions scientifiques ou pédagogiques par la SPLF

Charte-de-parrainage-21.06.2018

  • Préciser date, titre, lieu en contactant le Secrétariat de la SPLF au moins 3 mois avant la réunion.
  • Le nombre de participants envisagé doit être adapté en fonction des caractéristiques du projet : congrès, atelier, séminaire… Le programme ne doit pas entrer en compétition avec celui du congrès annuel de Pneumologie ni avec un séminaire organisé par la SPLF (en terme de dates et de sujets).
  • Le parrainage n’implique pas une aide financière de la SPLF.
  • Sur demande du Président, le secrétaire scientifique :
    • examine la proposition de programme en s’attachant particulièrement à la qualité scientifique et aux objectifs pédagogiques. Il s’entoure d’avis spécialisés autant que de besoin.
    • apprécie l’intérêt de la SPLF à parrainer cet événement scientifique ou pédagogique
    • Présente ses conclusions et recommandations argumentées au Président pour décision définitive, après une discussion en Bureau si cela est jugé nécessaire par l’un ou l’autre.
    • Communique la décision finale au demandeur.
  • Les obligations du demandeur sont :
    • Soumettre les épreuves du programme préliminaire au secrétariat scientifique de la SPLF
    • Transmettre ses liens d’intérêt
    • Réduire de façon substantielle et d’au moins 20%, le prix d’inscription à la réunion pour les membres de la SPLF
    • Offrir gracieusement un stand à la SPLF permettant de promouvoir les publications, missions et actions de la SP
  • Les prestations offertes par la SPLF dans le cadre du parrainage sont :
    • Une information des membres de la SPLF sur la réunion, son programme et les conditions d’inscription à travers une publication dans Info Respiration et sur le site internet de la SPLF.
    • D’offrir la possibilité d’une publication en numéro spécial de la revue des maladies respiratoires en accord avec le Rédacteur en Chef et aux frais de l’organisateur
    • Le parrainage est associé à la seule mention de “ réunion parrainée par la SPLF ” et à la possibilité d’apposer le logo de la Société.

MAJ 21/06/2018

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Est-il possible qu’il y ait du nouveau dans le diagnostic de la fibrose pulmonaire idiopathique ? Probable….

La classification des pneumopathies interstitielles repose sur des bases anatomocliniques. L’imagerie thoracique par scanner haute résolution a pris une place importante lors des dernières recommandations ATS/ERS 2011 pour le diagnostic de fibrose pulmonaire idiopathique (FPI). En effet, les experts, en s’appuyant sur les données de la littérature, ont défini un aspect tomodensitométrique de pneumopathie interstitielle commune (PIC), terme auparavant réservé à la définition anatomopathologique de la FPI. Ces recommandations ont permis d’éviter le recours à la biopsie pulmonaire dans ces cas précis.

Plusieurs études ont montré que l’aspect en rayon de miel, indispensable au diagnostic, peut être confondu avec des bronchectasies distales. La société Fleishner a proposé une modification de ces critères (Tableau, d’après Lynch DA, et al, Lancet Respiratoryl 2017). En particulier, en l’absence de rayon de miel, la présence de bronchectasies sous pleurales rend le diagnostic de PIC probable. C’est dans ce contexte que G. Raghu (Seattle, États-Unis) a présenté les grandes lignes des nouvelles recommandations.

Les points importants sont :

  • Devant toute pneumopathie interstitielle, une enquête étiologique exhaustive doit être réalisée, en fonction des expositions potentielles de chaque patient. Un bilan sérologique pour rechercher une connectivite est indispensable.
  • L’établissement de quatre catégories des lésions vues sur scanner thoracique et des lésions histologiques : « certaine », « probable », « indéterminée » et « évoquant un autre diagnostic ». Les scanners auparavant classés dans la catégorie « PIC possible » sur le TDM thoracique se retrouvant soit dans la catégorie « probable » soit dans la catégorie « indéterminée » selon la présence ou non de bronchectasies de traction.
  • La nécessité de discuter en réunion multidisciplinaire les dossiers de PID sans cause retrouvée avec un scanner thoracique « probable », « indéterminé » ou « évoquant un autre diagnostic » qu’une PIC. Malgré les controverses, la présence de rayon de miel reste un élément diagnostic important.
  • En cas de scanner thoracique avec un aspect de « probable PIC » de discuter, en réunion multidisciplinaire de la réalisation d’un lavage bronchoalvéolaire et/ou une biopsie pulmonaire chirurgicale en l’âge et l’état général du patient le permettent.
  • La cryobiopsie peut être une alternative à la biopsie pulmonaire chirurgicale dans les centres expérimentés.
  • Il n’est pas recommandé de réaliser une biopsie pulmonaire, quelle que soit la technique en cas de scanner avec un aspect « typique » de PIC.
  • ll n’y a pas de place pour l’utilisation en routine de biomarqueurs tels que KL-6, CCL-18, MMP7, et SPD.
  • La place des tests génétiques devra être précisée.

Ces recommandations seront bientôt publiées de façon détaillée dans l’AJRCCM.

 

Diane Bouvry, service de pneumologie, hôpital Avicenne, Bobigny

D’après G. Raghu (Seattle, États-Unis) 2018. Diagnosis of Idiopathic Pulmonary Fibrosis. An Official ATS-ERS-JRS-ALAT Clinical Practice Guideline.
Session C93 ATS Clinical practice guidelines : clinical practice on the cutting edge

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© iSPLF – Mission ATS – MAI 2018

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Traitement médicamenteux de la BPCO : ça s’en va et ça revient ?

Plusieurs essais récents confirment que, sur les exacerbations notamment, trois traitements inhalés font mieux que deux. Mais qui sont précisément les patients bénéficiant de l’ajout d’un corticostéroïde inhalé (CSI) à une double bronchodilatation ? Et si les éosinophiles confirmaient leur intérêt dans ce sens ? De session en session, les discussions vont bon train…

Il y a deux ans, un essai randomisé montrait qu’une double bronchodilatation est plus efficace pour la prévention des exacerbations qu’une association CSI + bêta2 longue action (LABA). Au début de l’année, une triple thérapie (CSI + LABA + anticholinergique longue action, LAMA) a fait mieux que ladite double bronchodilatation. Et voilà maintenant que, non seulement la triple fait mieux que les associations LABA + LAMA et CSI + LABA, mais le rapport de force entre ces dernières paraît s’inverser (CSI + LABA semble faire mieux que LABA + LAMA) !

Cette apparente contradiction suggère que tous les malades ne sont pas égaux face aux différents agents et à leurs combinaisons possibles. Donc, il faudrait pouvoir identifier des sous-populations spécifiquement répondeuses à telle ou telle stratégie (essentiellement, avec vs sans CSI). Depuis plusieurs années, des analyses a posteriori d’essais randomisés montrent que le taux d’éosinophiles circulants serait un candidat potentiellement intéressant dans ce sens. Nous disposons maintenant d’analyses planifiées a priori (donc, plus robustes) qui confirment ce potentiel, non seulement pour « prédire » qui peut bénéficier de la mise en place d’un CSI, mais aussi qui risque de pâtir de son retrait parmi les malades déjà sous triple thérapie.

Reste à savoir ce que les recommandations à venir vont faire de ces données : les éosinophiles vont-ils réellement être adoptés, quels seront les seuils choisis, d’autres variables seront-elles combinées pour améliorer la prédiction de réponse aux CSI (historique d’exacerbation ?), une triple thérapie sera-t-elle envisagée en première ligne pour certains profils de patients ou resterons-nous sur des stratégies progressives, les éosinophiles seront-ils utilisés pour guider les stratégies de désescalade ? Les données sont là, à nous de les digérer…

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Nicolas Roche, service de pneumologie, HUPC, hôpital Cochin, Paris

D’après la session A15 : ICS in COPD : the pendulum keeps swinging.

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Numéro 143- Février 2018

Accès abonnés

 ÉDITORIAL
La SPLF : continuité, enjeux et défis. Nicolas Roche, François Chabot

VIE DE LA SOCIÉTÉ
Naissance du groupe de travail CP2 « Circulation
pulmonaire et interactions coeur-poumons ». Bouchra Lamia, David Montani, Olivier Sanchez
Groupe ALVÉOLE : le bilan 2017, Frédéric Costes

SANTÉ AU TRAVAIL
Syndrome d’apnées-hypopnées obstructives du sommeil et travail à un poste de sécurité : le médecin du travail doit être partie prenante,
Mathilde Boulanger

DROIT ET SANTÉ
Télésuivi de l’observance des dispositifs à PPC dans la prise en charge du SAOS: le retour, Nicolas Postel-Vinay

EN PRATIQUE
Une exploration de la fonction respiratoire à l’effort : le test de stepper, Jean-Marie Grosbois
Limiter les dépenses sans nuire à la qualité des soins ? La campagne Choosing Wisely émet des recommandations, Philippe Eveillard

INITIATIVES
Motivation à la marche des patients BPCO : cherchons pneumologues pour remettre un document aux patients,
Nicolas Postel-Vinay, Bruno, Housset, Daniel Piperno, Alain Bernady, Nicolas Roche

CULTURE
Cancer : dessin d’un malaise, malaise d’un dessin, Jean-Pierre Orlando

VIGILANCE
Pictogrammes « Grossesse » sur la boîte de certains médicaments antiasthmatiques : une fausse bonne mesure des autorités
de santé ? — Prise de poids sous antihistaminiques — L’oséltamivir désormais copié : mais pour quoi faire ? — Budésonide et autres corticoïdes inhalés : troubles oculaires — Association ceftazidine 1 avibactam : nouvel antibiotique pour les infections compliquées, dont les pneumonies acquises sous ventilation mécanique — La solution injectable de Nebcine ne peut être inhalée, Nicolas Postel-Vinay, Philippe Eveillard

LU POUR VOUS
L’activité physique a un effet favorable sur la santé : même pour l’exercice lié au travail et cela quel que soit le revenu des pays, Jérémy Khau
Pompes à protons : trop de mauvaises habitudes, Nicolas Postel-Vinay
Bronchiolite : les épidémies se suivent et se ressemblent, Philippe Eveillard
Quel est l’impact de la PPC sur la réduction du risque cardiovasculaire ? Aucune, selon une récente méta-analyse
L’oxygénothérapie administrée de façon routinière pendant les décennies: il est grand temps que cela change ! Dany Baud

COMMUNIQUÉS DE PRESSE ET CONGRÈS
Gibiter® Easyhaler® : nouveau traitement de l’asthme et de la BPCO – Boehringer Ingelheim France lance une page Facebook : « la BPCO et moi » – Congrès de la SPLF: regards sur la BPCO et FPI

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Séminaire 2 – DIU sommeil 2017-2018

Séminaire 2 : Insomnie – Chronobiologie

Remarque : Cours du séminaire 2 à voir avant le début du séminaire : Définition et épidémiologie de l’insomnie (D. Léger)

[themify_box icon=”download” color=”orange”]JO_16_dec_2017_LPPR_PPC[/themify_box]

[themify_box icon=”download” color=”orange”]Arrete_JO_conduite_18_12_2015[/themify_box]

 

 

Cours en présentiel : 

[themify_box style=”upload blue rounded” ]1- Diagnostic de l’insomnie chez l’adulte : outils subjectifs et objectifs, évaluation, diagnostic différentiels.

Recommandations HAS pour le diagnostic de l’insomnie.    – I. POIROT (Lille)[/themify_box]

[themify_box style=”upload gray rounded” ]2- Stratégie thérapeutique dans l’insomnie (présentation des thérapeutiques détaillées dans les cours e-learning) – I. POIROT (Lille)[/themify_box]

[themify_box style=”upload blue rounded” ] 3- Clinique des troubles du sommeil en Psychiatrie. Recommandations pour la prise en charge

– Abord clinique de l’anxiété, de la dépression et de la schizophrénie

– Insomnies psychogènes et hypersomnies psychogènes

– Recommandations de l’HAS pour la prise en charge des troubles dépressifs et anxieux

A. BRION (Paris)[/themify_box]

[themify_box style=”upload gray rounded” ] 4- Particularités de l’insomnie du sujet âgé – M.-F. VECCHIERINI (Paris) [/themify_box]

 

Cours en e-learning : 

5- Définitions et épidémiologie de l’insomnie – D. LEGER (Paris)

6- L’insomnie : un phénomène complexe. Abord neuro-biologique de l’insomnie et nouveautés (imagerie fonctionnelle, axe HPA….) – C. SCHRÖDER ( Strasbourg)

7- Prise en charge médicamenteuse de l’insomnie. Hypnotiques : données générales et utilisation en pratique.

« Autres classes » thérapeutiques dans l’insomnie (utilisées en pratique) – V. VIOT BLANC (Paris)

8- Psychotropes hors hypnotiques et sommeil – L. STANER (Rouffach)

9- Prise en charge non médicamenteuse de l’insomnie (2 cours en elearning):

  • Education thérapeutique.
  • Thérapies comportementales (contrôle du stimulus et restriction de sommeil).

Thérapies cognitives (restructuration cognitive, principe de programme de groupes). S. ROYANT-PAROLA (Paris)

10- Travail et sommeil ; Travail de nuit ; Travail posté ; Jet-Lag – D.LEGER ( Paris)

11- Troubles du sommeil liés aux rythmes circadiens : diagnostic

– Retard et avance de phase

– Syndrome nycthéméral, rythme en libre cours

Particularités du sommeil des adolescents – M.-A. QUERA-SALVA (Paris)

12- Sommeil et activité physique/ conditions de vie extrême – F. DUFOREZ (Paris)

13- Insomnies comorbides :

– troubles respiratoires asthme allergie et sommeil

– troubles endocriniens et sommeil

– ménopause et sommeil

– troubles prostatiques, hemodialyse et sommeil (excepté sommeil et douleurs)

 

[themify_button bgcolor=”gray” size=”large” link=”https://splf.fr/seminaire-3-diu-sommeil-2017-2018/”]Séminaire 3[/themify_button]

[themify_button bgcolor=”blue” size=”large” link=”https://splf.fr/seminaire-1-diu-sommeil-2017-2018/”]Séminaire 1[/themify_button]

 

 

Séminaire 2 – DIU sommeil 2017-2018 Lire la suite »

5èmes journées du Grépi

Les 5èmes journées ont eu lieu du jeudi 30 novembre  au vendredi 1er décembre 2017 à Chantilly.

LES DIAPORAMAS disponibles au téléchargement

PROGRAMME MEDECINS

JM1 • Communautaire

> Les nouveautés de l’année > Olivier Le Rouzic (Lille)

> Pleurésies purulentes : de la physiopathologie à la prise en charge > Gilles Mangiapan (Créteil)

> Pneumonie aigue communautaire et bon usage des antibiotiques > Aurélien Dinh (Garches)

JM2 • Immunodéprimés

> Les nouveautés de l’année > Marie-Alice Cornetto (Paris)

> Infections pulmonaires du patient pris en charge pour un cancer bronchique > Julien Mazières (Toulouse)

> Controverse : Faut-il faire un LBA pour l’exploration d’une pneumopathie chez un patient immunodéprimé ?

> Pour > Karine Risso (Nice)

                       > Contre > Virginie Lemiale (Paris) En attente

JMI-At • Ateliers Médecins – IDE

JMI-At1 >   • Que faire d’une PCR pneumocystis positive dans un LBA ? > Nathalie De Castro (Paris)

JMI-At2 >   • Y a-t-il une place pour la sérologie de la coqueluche ? > Nicole Guiso (Paris)

JMI-At3   • Le coup de froid existe-t-il ? > Marlène Murris-Espin (Toulouse)

VM1 • Mycobactéries

> Les nouveautés de l’année >Thomas Maitre (Paris)

> Recommandations thérapeutiques des mycobactéries non tuberculeuses > Claire Andréjak (Amiens)

Tuberculose et inflammation : exemple de l’IRIS du non VIH > Anne Bourgarit (Bondy)

VM2 • Infections des pathologies pulmonaires chroniques

> Les nouveautés de l’année > Hélène Morisse-Pradier (Rouen)

> Co-isolement de pathogènes au cours d’une dilatation des bronches > Boubou Camara (Grenoble)

> L’immunosénescence doit-elle faire remettre en cause la vaccination du patient BPCO ? > Jean-Daniel Lelièvre (Créteil)

VM-At • Ateliers Médecins

VM-At1 >    Hémoptysie et infection respiratoire (un cas PAC nécrosante/un cas HIA) > Guillaume Voiriot (Paris)

VM-At2 >    Quand demander un GenXpert pour le diagnostic de la tuberculose ? > Jean-Louis Herrmann (Garches)


PROGRAMME IDE

JI1 • Intérêt de l’ETP dans la prévention des exacerbations du patient mucoviscidosique > Clémence Bae (Toulouse) En attente

JI2 • Infection pulmonaire aigue ou pneumopathie du sujet âgé (hospitalisé)

> Antoine Bizard (Suresnes), Emilie Catherinot (Suresnes)

JI3 • Faut-il isoler tous les patients ayant une infection à virus influenza ou virus respiratoire syncytial ? > Christine Lawrence (Garches) 

JI4 • L’intérêt des tests IGRA par rapport au test intradermique pour le dépistage de l’infection tuberculeuse latente > Ariane Luneau-Simonet (Grenoble)

VI1 • La vaccination chez les patients ayant une pathologie respiratoire chronique > Elodie Blanchard (Bordeaux)

VI2 • L’impact de la non observance des traitements inhalés dans la fréquence des exacerbations chez le patient BPCO > Roger Escamilla (Toulouse)

VI3 • La légionellose > Christine Lawrence (Garches)

VI4 • IDE et recherche en infectiologie respiratoire : le bilan > Edith Copol (Paris) En attente

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Bibliographie

  • Asthme

  • BPCO

    Risque augmenté de BPCO chez les infirmières exposées aux désinfectants de surface

    Dr Irène Drogou| 12.09.2017
    Source : Lequotidiendumedecin.fr

    Les infirmières exposées de façon régulière aux désinfectants de surface présentent un risque augmenté de bronchopathie chronique obstructive (BPCO), selon une étude présentée ce lundi par le Dr Orianne Dumas de l’INSERM au Congrès international de l’European Respiratory Society (ERS).

    Cette étude réalisée auprès de plus de 55 000 infirmières aux États-Unis avec un suivi d’environ 8 ans révèle que l’exposition professionnelle régulière aux désinfectants de surface, et en particulier certains composés chimiques, majore de 22 % à 32 % le risque de BPCO.

    Première étude chez les professionnels de santé

    Si un lien avait été montré entre asthme et utilisation de désinfectants chez les professionnels de santé, c’est la première étude à mettre en évidence un lien avec la BPCO, peu étudiée, « malgré deux études récentes en Europe montrant que travailler comme agent de nettoyage est associé à un risque de BPCO », explique le Dr Dumas.

    Pour ce travail, l’équipe du Dr Dumas a analysé les données de la US Nurses’ Health Study II, qui a débuté en 1989. Les infirmières toujours en activité et sans antécédent de BPCO en 2009 ont été suivies jusqu’en mai 2017. Au cours de cette période, 663 infirmières ont développé une BPCO. L’exposition aux désinfectants était évaluée par questionnaire et par une matrice affectant certaines tâches à l’exposition aux désinfectants. Les résultats étaient ajustés au tabagisme, à l’âge, à l’indice de masse corporelle et à l’appartenance ethnique.

    Dans la population étudiée, 37 % des infirmières ont utilisé des désinfectants pour nettoyer des surfaces une fois par semaine et 19 % pour nettoyer du matériel médical, expliquent les auteurs.

    Cinq désinfectants pointés du doigt

    Une association significative est ressortie pour l’utilisation régulière de désinfectants de surface, c’est-à-dire au moins une fois par semaine, mais pas pour les produits de désinfection du matériel médical. « L’étude suggère un lien entre l’utilisation hebdomadaire de désinfectants pour le matériel médical mais ce n’était statistiquement significatif », explique le Dr Dumas.

    En regardant de plus près la composition des désinfectants, les chercheurs ont retrouvé un risque augmenté de BPCO de 24 % à 32 % avec le glutaraldéhyde, l’eau de Javel, l’eau oxygénée (ou peroxyde d’hydrogène), l’alcool et les composés ammonium quaternaires.

    Pour les chercheurs, si cette étude observationnelle ne permet pas de conclure au lien de causalité, c’est un élément de plus en faveur de l’impact de l’exposition aux désinfectants sur la santé respiratoire, démontrant « l’urgence d’intégrer des considérations de santé professionnelle dans les recommandations de nettoyage et de désinfection de lieux de soins, comme les hôpitaux », a estimé le Dr Dumas.


    Socioeconomic Status, Sex, Age and Access to Medications for
    COPD in Ontario, Canada

    Andrea Gershon, Michael A. Campitelli, Jeremiah Hwee, Ruth Croxford,
    Teresa To, Matthew B. Stanbrook, Ross Upshur, Anne Stephenson & Thérèse A. Stukel (2015)
    Socioeconomic Status, Sex, Age and Access to Medications for COPD in Ontario, Canada, COPD:
    Journal of Chronic Obstructive Pulmonary Disease, 12:6, 668-679
    https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.3109/15412555.2015.1020148

    Abstract
    Disparities in COPD health outcomes have been found with older individuals, men and those of lower socioeconomic status doing worse. We sought to determine if this was due to differences in access to COPD medications. We conducted a retrospective cohort study using population health administrative data from Ontario, Canada, a province with universal prescription drug coverage for older

    adults. All individuals with COPD aged 67 years and older in 2008 who were not taking inhaled long-acting bronchodilators or inhaled corticosteroids were followed for 2 years. Poisson regression was used to determine the effects of age, sex, and socioeconomic status on the likelihood of initiating one of these
    medications, after adjusting for potential confounders. Over the study period, 54,050 of 185,698 (29.1%) older individuals with COPD not previously taking any inhaled long-acting bronchodilators or corticosteroids were initiated on one or more of these medications. After adjustment, individuals of low socioeconomic status, measured using neighborhood income level quintiles, were slightly more likely to initiate COPD medications than those of high socioeconomic status (relative risk (RR) 1.05; 95% confi dence interval (95% CI) 1.02–1.08). While men received COPD medication at a consistent rate across all age groups, the likelihood that a woman received medication decreased with increasing age. With the exception of older women, there was minimal disparity in prescription for COPD medications.
    Disparity in health outcomes among Ontario COPD patients is not clearly explained by differences in medication access by socioeconomic status, sex or age.


    Improving the Management of COPD in Women

    Christine R. Jenkins, MDCorrespondence information about the author MD Christine R. JenkinsEmail the author MD Christine R. Jenkins, Kenneth R. Chapman, MD, James F. Donohue, MD, Nicolas Roche, MD, Ioanna Tsiligianni, MD, MeiLan K. Han, MD

    COPD is a highly debilitating disease that represents a substantial and growing health burden in women. There is increasing evidence for sex-related differences in COPD risk, progression, and outcomes. However, the disease receives scant attention as a women’s health issue. Thus, a multifaceted approach is required to address COPD in women, including greater awareness, minimization of risk, and further elucidation of the sex-specific factors (biological and cultural) that affect risk, disease progression, and treatment success. This article reviews the current literature on the topic and provides suggestions for achieving better outcomes for the millions of women with COPD worldwide.

    CHEST March 2017Volume 151, Issue 3, Pages 686–696

    DOI: http://dx.doi.org/10.1016/j.chest.2016.10.031


    Gender inequalities in COPD decision-making in primary care

    Ana Delgado, Lorena Saletti-Cuesta , , Luis Andrés Lopez-Fernandez ,
    Natalia Gil-Garrido c, Juan de Dios Luna del Castillo

    Abstract
    Background: COPD is a frequent severe illness that increasingly affects females. Gender inequalities have been reported in COPD care.
    Objective: To analyze decision-making in primary care for men and women with identical COPD as a
    function of the gender of the family physician (FP).
    Methods: Cross-sectional, multicenter study in 457 Andalusian FPs, using a self-administered vignettebased
    questionnaire on COPD featuring a male or female patient, with four variables on clinical
    reasoning: “tobacco as most important risk factor (RF)”, “ordering of spirometry”, “COPD as most likely
    diagnosis”, and “referral”. Multilevel logistic regression analysis.
    Results: Response rate was 67.4% (308/457). In analysis of the four FP gender-patient gender dyads, tobacco
    was more frequently considered as priority RF for the man than for the woman in the vignette by
    female (95.6%vs.67.1%) and male (79.8%vs.62.5%) FPs. COPD was more frequently the most likely diagnosis
    for the man versus woman by female (84.4%vs.49.9%) and male (78.5%vs.57.8%) FPs. Male FPs more
    frequently ordered spirometry for the man versus woman (68.1%vs.46.8%). There were no differences in
    referral between male and female patients. Male FPs were more likely than female FPs to consider tobacco
    as priority RF for the man (p ¼ 002). Female FPs were more likely than male FPs to refer the man
    (22.5%vs.8%).
    Conclusions: There may be gender inequalities in primary care for COPD in our setting. Diagnostic and
    therapeutic efforts appear lower in female patients. Male and female FPs only differed in care of the male
    patient, indicating FP gender-patient gender interaction.
    © 2016 Elsevier Ltd. All rights reserved.


    1.    Int J Chron Obstruct Pulmon Dis. 2016 Oct 26;11:2681-2690. eCollection 2016.

    Management of COPD, equal treatment across age, gender, and social situation? A register study.

    Henoch I1, Strang S1, Löfdahl CG2, Ekberg-Jansson A3.
    Author information:

    1Angered Hospital, Research and Development Department; The Sahlgrenska Academy, Institute of Health and Care Sciences, University of Gothenburg, Gothenburg.
    2Angered Hospital, Research and Development Department; University of Lund, Lund.
    3Angered Hospital, Research and Development Department; Sahlgrenska Academy, Institute of Medicine, University of Gothenburg, Gothenburg, Sweden.

    Abstract
    Chronic obstructive pulmonary disease (COPD) is a progressive chronic disease where treatment decisions should be based on disease severity and also should be equally distributed across age, gender, and social situation. The aim of this study was to determine to what extent patients with COPD are offered evidence-based interventions and how the interventions are distributed across demographic and clinical factors in the sample. Baseline registrations of demographic, disease-related, and management-related variables of 7,810 patients in the Swedish National Airway Register are presented. One-third of the patients were current smokers. Patient-reported dyspnea and health-related quality of life were more deteriorated in elderly patients and patients living alone. Only 34% of currently smoking patients participated in the smoking cessation programs, and 22% of all patients were enrolled in any patient education program, with women taking part in them more than men. Less than 20% of the patients had any contact with physiotherapists or dieticians, with women having more contact than men. Men had more comorbidities than women, except for depression and osteoporosis. Women were more often given pharmacological treatments. With increasing severity of dyspnea, participation in patient education programs was more common. Dietician contact was more common in those with lower body mass index and more severe COPD stage. Both dietician contact and physiotherapist contact increased with deteriorated health-related quality of life, dyspnea, and increased exacerbation frequency. The present study showed that COPD management is mostly equally distributed across demographic characteristics. Only a minority of the patients in the present study had interdisciplinary team contacts. Thus, this data shows that the practical implementation of structured guidelines for treatment of COPD varies, to some extent, with regard to age and gender. Also, disease characteristics influence guideline implementation for each individual patient. Quality registers have the strength to follow-up on compliance with guidelines and show whether an intervention needs to be adapted prior to implementation in health care practice.

    >>>Voir l’abstract sur PubMed 

  • Cancer

    J Occup Environ Med. 2016 Jun;58(6):610-6. doi: 10.1097/JOM.0000000000000722.

    Professional Cleaning Activities and Lung Cancer Risk Among Women: Results From the ICARE Study.

    Atramont A1, Guida F, Mattei F, Matrat M, Cenée S, Sanchez M, Carton M, Menvielle G, Marrer E, Neri M, Luce D, Stücker I; Icare study group.

    Author information

    Abstract

    OBJECTIVES:

    Lung cancer risk associated with occupational cleaning activities has been investigated in the population-based case-control study ICARE.

    METHODS:

    Occupational history was collected by standardized interviews. Jobs were first defined according to the International Standard Classification of Occupations (ISCO) codes and then categorized according to activity sectors. Adjusted odds ratios (ORs) were estimated by unconditional logistic regression, separately for women (619 cases and 760 controls) and men (2265 and 2780).

    RESULTS:

    Thirty percent of women and 2.3% of men controls ever held a cleaner or care job. Women who worked as housemaids longer than 7 years showed an OR of 1.76 [95% confidence interval (95% CI) 1.09 to 2.87] with respect to controls. Women employed in domestic service sector for a long time had an OR of 2.06 (95% CI 1.15 to 3.66).

    CONCLUSION:

    We confirmed and redefined the association of lung cancer with occupational cleaning, which concerns a considerable proportion of women workers.

    PMID:
    27206119
    DOI:
    10.1097/JOM.0000000000000722

    Hormonal receptors in lung adenocarcinoma: expression and
    difference in outcome by sex

    Rossana Berardi, Francesca Morgese, Alfredo et al
    © www.impactjournals.com/oncotarget/ Oncotarget, 2016, Vol. 7, (No. 50), pp: 82648-82657

    [hr]J Occup Environ Med. 2016 Jun;58(6):610-6. doi: 10.1097/JOM.0000000000000722.

    Professional Cleaning Activities and Lung Cancer Risk Among Women: Results From the ICARE Study.

    Atramont A1, Guida F, Mattei F, Matrat M, Cenée S, Sanchez M, Carton M, Menvielle G, Marrer E, Neri M, Luce D, Stücker I; Icare study group.

    Author information

    Abstract

    OBJECTIVES:

    Lung cancer risk associated with occupational cleaning activities has been investigated in the population-based case-control study ICARE.

    METHODS:

    Occupational history was collected by standardized interviews. Jobs were first defined according to the International Standard Classification of Occupations (ISCO) codes and then categorized according to activity sectors. Adjusted odds ratios (ORs) were estimated by unconditional logistic regression, separately for women (619 cases and 760 controls) and men (2265 and 2780).

    RESULTS:

    Thirty percent of women and 2.3% of men controls ever held a cleaner or care job. Women who worked as housemaids longer than 7 years showed an OR of 1.76 [95% confidence interval (95% CI) 1.09 to 2.87] with respect to controls. Women employed in domestic service sector for a long time had an OR of 2.06 (95% CI 1.15 to 3.66).

    CONCLUSION:

    We confirmed and redefined the association of lung cancer with occupational cleaning, which concerns a considerable proportion of women workers.

    PMID:
    27206119
    DOI:
    10.1097/JOM.0000000000000722

    >>Voir l’abstract sur PubMed


  • Grossesse

    Determinants of low risk of asthma exacerbation during pregnancy.
    Zarqa Ali, Lisbeth Nilas, Charlotte Suppli Ulrik

    Clinical and Experimental Allergy : Journal of the British Society for Allergy and Clinical Immunology 2017 Sep 19;

    PMID: 28925525

    Performance of Low Dose Perfusion Scintigraphy and Computed Tomographic Pulmonary Angiography for Pulmonary Embolism in Pregnancy.
    Jean-Ju Sheen, Linda B Haramati, Anna Natenzon, Hong Ma, Pamela Tropper, Anna S Bader, Leonard M Freeman, Peter S Bernstein, Renee M Moadel

    Chest 2017 August 17

    PMID: 28823756


    Lung cancer during pregnancy: A narrative review
    Sotirios Mitrou, Dimitrios Petrakis , George Fotopoulos , George Zarkavelis , Nicholas Pavlidis
    © Journal of Advanced Research (2016) 7, 571–574
    [hr]

    American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine 2017 Jan 12;

    Randomized Controlled Ethanol Cookstove Intervention and Blood Pressure in Pregnant Nigerian Women.
    Donee Alexander, Amanda Northcross, Nathaniel Wilson, Anindita Dutta, Rishi Pandya, Tope Ibigbami, Damilola Adu, John Olamijulo, Oludare Morhason-Bello, Theodore Karrison, Oladosu Ojengbede, Christopher O Olopade

    PMID: 28081369


    American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine 2017 Jan 11;

    Female Smokers are at Greater Risk of Airflow Obstruction than Male Smokers: UK Biobank.
    André F S Amaral, David P Strachan, Peter Gj Burney, Deborah L Jarvis

    PMID: 28075609

  • KPB

  • Tabac

  • Autres

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Note de positionnement des instances pneumologiques nationales concernant la formation à la prise en charge des allergies respiratoires – août 2017

Après la publication des maquettes des DES et à l’heure de la finalisation des maquettes des FST, les instances académiques et professionnelles de la pneumologie souhaitent attirer l’attention sur les particularités qu’aura la formation à la pneumo-allergologie après la mise en place de la réforme du 3ème cycle des études médicales. Comme nous l’avons déjà souligné à plusieurs reprises au cours du processus de maturation des maquettes du DES d’allergologie et de celle de la FST de maladies allergiques, les points marquants de cette réforme dans ce domaine sont :

1°) l’intégration d’une formation à la prise en charge des allergies respiratoires au sein de la maquette du DES de pneumologie, destinée à rendre compétents dans ce domaine la totalité des futurs pneumologues à l’issue de leur DES ;

2°) la création d’un DES d’allergologie (Co-DES avec médecine interne et immunologie clinique et maladies infectieuses et tropicales), qui comportera par nature une valence respiratoire ;

3°) la création d’une FST de maladies allergiques, qui comportera un module respiratoire dont nous comprenons, à la lecture de la dernière version de la maquette, qu’il pourra être suivi par des non-pneumologues.

On ne peut que se féliciter du fait que la formation des médecins à l’allergologie en général, et à la pneumo-allergologie en particulier, accède ainsi au statut qu’elle mérite au regard du poids épidémiologique des maladies allergiques.

Pour autant, savoir gérer les urgences respiratoires d’origine allergique nécessite, au-delà de la capacité à administrer les premiers soins et à alerter les secours, une formation spécifique. Celle-ci est incluse dans la maquette du DES de pneumologie, mais n’apparaît pas devoir être obligatoirement acquise par les futurs titulaires du DES d’allergologie ou par les titulaires de la FST de maladies allergiques n’ayant pas suivi un cursus pneumologique. Il en va de même pour la prise en charge des maladies respiratoires graves pouvant comporter une composante allergique comme l’asthme sévère. Il en va également de même pour la réalisation – et non l’interprétation- d’explorations fonctionnelles respiratoires au-delà de la mesure du débit expiratoire de pointe. Réaliser des explorations fonctionnelles respiratoires respectant les critères de qualité en vigueur implique d’avoir suivi une formation théorique et pratique approfondie : là encore, cette formation est incluse dans la maquette du DES de pneumologie (qui la décrit en détail et en fait une obligation), mais ses modalités restent à préciser dans le cursus du DES d’allergologie (la description de la maquette de ce DES prévoit qu’à la fin de la phase socle, les DES d’allergologie auront la compétence à « réaliser et interpréter une épreuve fonctionnelle respiratoire », mais cet objectif est rendu illusoire par de simple contraintes matérielles ) et de la FST de maladies allergiques.

Ainsi, en l’état actuel des différentes maquettes concernées, seul le DES de pneumologie permet de garantir sans aucune ambiguïté que les patients présentant des urgences respiratoires ou des pathologies respiratoires sévères seront pris en charge par des praticiens dûment formés à ces enjeux particuliers, et seul le DES de pneumologie permet de garantir que la réalisation d’explorations fonctionnelles respiratoires répondra à des critères de qualité suffisants pour être valides. »

Pr F. Chabot, président de la Société de Pneumologie de Langue Française

Pr T. Chinet, président du Collège des Enseignants de Pneumologie,

Prs A. Bergeron-Lafaurie et T. Similowski, pour la sous-sections 51-01 Pneumologie et Addictologie du CNU-Santé

Pr D. Valeyre, président de la Fédération Française de Pneumologie

Voir d’autres recommandations et textes sur les allergies respiratoires

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