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Sessions communes SPLF-ERS

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Chers Collègues,

Dans le cadre de la convention entre la SPLF et l’ERS, nous avons le plaisir de vous informer que deux sessions communes ERS/SPLF auront lieu le samedi 3 septembre 2016 à Londres à l’occasion du Congrès de l’ERS.

Ces sessions seront présentées en Français avec une traduction simultanée en anglais, et une double projection des diaporamas en Français et en anglais

Voici le Programme des deux sessions :

Session I

Innovative treatments and new concepts in respiratory medicine: the future looks bright indeed!

L’objectif de cette session est de présenter un tableau des nouvelles thérapeutiques dans divers domaines de la pneumologie. Les médicaments et les futures stratégies qui pourraient se développer au cours des 5 prochaines années seront également présentés et discutés par des experts de renommée internationale.

Modérateurs : E. Bel, Amsterdam (Netherlands) ; P. Delaval, Rennes (France)

13:00 : Réduction volumique par spirales dans le traitement de l’emphysème sévère. G. Deslee (Reims, France)

13:30 : Médecine personnalisée et BPCO: où en sommes-nous ? N. Roche (PARIS, France)

14:00 : A la recherche des empreintes digitales de l’asthme. K. Chung (London, United Kingdom)

14:30 : Syndrome obésité-hypoventilation: de la physiologie au traitement. J. Janssens (Geneva, Switzerland)

Session II

Guidelines, new diagnostic & therapeutic tools to help pulmonologists: all the reasons why we cannot ignore them anymore
Cette session a pour objet les nouveaux outils diagnostiques et les approches thérapeutiques des maladies respiratoires. Elle couvrira notamment les actualités thérapeutiques dans l’hypertension artérielle pulmonaire, la fibrose pulmonaire idiopathique et la tuberculose pulmonaire multi-résistante.

Modérateurs : F. Chabot, Vandoeuvre-les-Nancy (France) ; G. Joos, Gent (Belgium)

15:30 : Recommandations européennes ERS/ESC pour le diagnostic et la prise en charge de l’hypertension pulmonaire ERS/ESC. M. Humbert (PARIS, France)

16:00 : La diffusion pulmonaire du monoxyde d’azote (DLNO): des recommandations pratiques aux applications cliniques. A. Dinh-Xuan (Paris, France)

16:30 : Fibrose pulmonaire idiopathique: de la détection précoce au traitement. V. Cottin (Lyon, France)

17:00 : Nouvelles perspectives thérapeutiques dans la tuberculose multi-résistante. G. Migliori (Varese, Italy)

 

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Journée des CLAT 7 juin 2016

[themify_box style=”green download rounded” ]Programme de la journée du 7 juin 2016 [/themify_box] [themify_box style=”green download rounded” ]Un curieux cas d’hémoptysie , Dr J. Perriot, Dr L.Doly-Kuchcik [/themify_box] [themify_box style=”green download rounded” ] Peut-on mourir de la tuberculose pulmonaire à 20 ans en France en  2016 ? Dr MJ Postal Paques, Dr N. Vignier[/themify_box] [themify_box style=”green download rounded” ]Une enquête ‘’atypique’’ ! Dr C. Dauchel, Dr M. Ribert Dr A. Théry, [/themify_box] [themify_box style=”green download rounded” ]La vaccination par le BCG contribution du réseau des CLATs en situation de pénurie, Dr P. Fraisse[/themify_box] [themify_box style=”green download rounded” ]Entre Loi et recommandations : quel positionnement pour la lutte contre la tuberculose ?
Dr Elisabeth Rivollier[/themify_box] [themify_box style=”green download rounded” ] Lutte antituberculeuse et secret professionnel, réflexion éthique et questionnements à propos d’un cas.Dr M-A. Salaün [/themify_box] [themify_box style=”green download rounded” ]Point sur les tensions d’approvisionnement  Causes et modalités de traitement par l’ANSM et la DGS [/themify_box] [themify_box style=”green download rounded” ] Tuberculose et alterite-O. HALLOUCHE [/themify_box]

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Fibrose pleurale sous benfluorex (Médiator) : rare, elle ne nécessite pas de dépistage systématique

Le 9 mai dernier, l’Ansm a publié un bilan de suivi de pharmacovigilance relatif au benfluorex.1 Parmi les études réalisées, une analyse rétrospective globale du profil de sécurité, ainsi qu’une nouvelle enquête de pharmacovigilance ont identifié la prise de benfluorex comme une cause médicamenteuse possible, mais rare, de fibrose pleurale. Toutefois, selon les recommandations de la Société de pneumologie de langue française (SPLF) que l’Ansm a consultée, cet effet indésirable très rare ne nécessite pas d’être dépisté systématiquement.

On se souvient que le benfluorex (Médiator) avait été retiré du marché en novembre 2009 à la suite de l’observation de cas d’atteintes valvulaires cardiaques. Dans le cadre du suivi de pharmacovigilance des produits de santé, l’Ansm actualise régulièrement les données de pharmacovigilance des médicaments à base de benfluorex. L’ensemble de ces données confirme les précédents signaux de valvulopathies et d’hypertension artérielle pulmonaire (HTAP). Un nouveau signal concernant les atteintes pleurales rapportées sous benfluorex a été relevé lors de ces analyses, conduisant, bien qu’il s’agisse d’un signal faible, l’Ansm à ouvrir une nouvelle enquête de pharmacovigilance relative aux atteintes pleurales. Cette enquête rétrospective identifie le benfluorex comme cause médicamenteuse possible, mais rare, de fibrose pleurale. Elle couvre la période allant du début de la commercialisation du benfluorex en 1974 au 31 mars 2015 durant laquelle onze cas de fibrose pleurale ont été rapportés chez des patients exposés au benfluorex. Ce constat est en faveur d’une participation possible, mais rare, du benfluorex dans la survenue d’une atteinte pleurale. Sur la base de ce nouveau signal, l’Ansm a sollicité l’avis de la Société de pneumologie de langue française (SPLF) pour établir des recommandations dans le suivi des patients ayant été exposés au benfluorex.

Cet avis précise notamment :

—> qu’il n’est pas nécessaire de réaliser un dépistage systématique chez les patients asymptomatiques ayant pris du benfluorex compte tenu de la rareté de l’atteinte pleurale observée sous benflurorex et du délai d’apparition de cette atteinte (environ 3 ans après la prise du traitement) ;

—> que les patients suivis dans le cadre d’une exposition au benfluorex qui présenteraient des symptômes respiratoires comme : un essoufflement, une gêne respiratoire, une douleur thoracique augmentée à l’inspiration (douleurs pleurétiques) ou des anomalies à l’imagerie thoracique doivent consulter un pneumologue qui pourra décider de la réalisation d’examens complémentaires (une radio pulmonaire avec un scanner thoracique) si besoin. Parallèlement, les autres causes de fibrose pleurale devront être éliminées.

 

[hr]

Info Respiration N°133– juin 2016

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Numéro 133 – juin 2016

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ÉDITORIAL
Toxicité financière, nouvel effet indésirable des médicaments innovants, Nicolas Postel-Vinay

VIE DE LA SOCIÉTÉ
Le DPC en pneumologie : mode d’emploi d’un dispositif réglementé et obligatoire Mathieu Larrousse (accès libre)
Groupes de travail : SLA-MN, GREPI, Femmes et poumon Hélène Prigent, Anne Bergeron, Chantal Raherison

INITIATIVES
Asthme sévère : lancement de l’étude FASE pour mieux connaître les patients en vie réelle, Laurent Portel
Un tube nasopharyngé pour traiter le SAOS : nouveau dispositif en cours d’évaluation, Daniel Piperno, Marc Sapène
Sclérose latérale amyotrophique : la « Transat dans un fauteuil », Jacques Lacronique

SANTÉ PUBLIQUE
Cancer du poumon, inégalités de santé et coûts des médicaments innovants motivent un débat public, Christos Chouaïd
Nouveau calendrier vaccinal 2016 : commentaire à l’usage du pneumologue, Nicolas Postel-Vinay

VIGILANCE
Toxicité et effets indésirables des e-cigarettes : toujours rien de grave à l’horizon — Glycopyrrolate et indacatérol dans la BPCO — Combinaison fixe
umacaftor/ivacaftor pour traiter la mucoviscidose avec mutation F508del — Fibrose pleurale sous benfluorex (Médiator) : rare, elle ne nécessite pas de dépistage systématique, Nicolas Postel-Vinay

VARIA
Retenir son souffle pour la conquête de l’extrême : physiopathologie de l’apnée, Bruno Lemmens (accès libre)

CULTURE
L’autre dame aux camélias… Jean-Pierre Orlando

LU POUR VOUS
Pollution atmosphérique : 650 stations de mesure pour suivre les hauts et les bas
Trop de traitements et pas assez d’EFR : quand le diagnostic empirique de BPCO rime avec surdiagnostic Dany Baud

ENCADRÉS
8. FMC, EPP, DPC : histoire et faiblesses, Hervé Pégliasco
8. Le DPC en bref !
10. Les petites annonces
29. Asthme sévère non contrôlé : feu vert de la HAS pour le remboursement

COMMUNIQUÉS DE PRESSE
• Asthme allergique : reconsidérer la place de l’immunothérapie dans les recommandations à la faveur des nouveaux produits • Asthme difficile versus asthme sévère :importance d’une évaluation par étapes •  Efficacité et tolérance de Tagrisso™(osimertinib) • Les 3es Virades de l’espoir : rendez-vous pour aider à vaincre la mucoviscidose
• Boehringer Ingelheim et Inventiva : une nouvelle collaboration dans la FPI

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Benfluorex (Médiator) : bilan du suivi de pharmacovigilance

Benfluorex (Médiator) : bilan du suivi de pharmacovigilance

Dans le cadre du suivi de pharmacovigilance des produits de santé qu’elle effectue, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) actualise régulièrement les données de pharmacovigilance des médicaments à base de benfluorex.

Parmi les études réalisées, une analyse rétrospective globale du profil de sécurité, ainsi qu’une nouvelle enquête de pharmacovigilance ont identifié la prise de benfluorex comme une cause médicamenteuse possible mais rare de fibrose pleurale. Toutefois, selon les recommandations de la Société de Pneumologie de Langue Française (SPLF), que l’ANSM a consultée, cet effet indésirable très rare ne nécessite pas d’être dépisté systématiquement

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[themify_box style=”download purple rounded” ]Télécharger  le point information ANSM (mai 2016)[/themify_box] [themify_box style=”download purple rounded” ]Lien direct site internet de l’ansm  (avril 2016)[/themify_box]

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Vidéoconférences CPLF 2016

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Fil rouge

Pathologies interstitielles

A01  – Pathologies interstitielles : de l’EFR à la réhabilitation
en collaboration avec le groupe Alvéole

Cette session essentielle pour le pneumologue fera la synthèse de l’état des connaissances sur l’exploration fonctionnelle respiratoire au repos et à l’exercice et sur la réhabilitation respiratoire au cours des pneumopathies interstitielles diffuses.

Président PIPERNO Daniel, Lyon
Président WALLAERT Benoît, Lille

A02 – Fibrose pulmonaire : to be or not to be idiopathic !
en collaboration avec le groupe PAPPEI

Que conclure quand un patient porteur d’une pneumopathie interstitielle a possédé il y a 20 ans des oiseaux, a eu transitoirement une exposition professionnelle compatible et prend actuellement des statines ou de l’amiodarone…. ?

Président GONDOUIN Anne, Besancon
Président ISRAEL BIET Dominique, Paris

A08 – Imagerie des pneumopathies interstitielles diffuses
Session commune avec la Société d’Imagerie Thoracique

Dans la culture japonaise, le Koan est une phrase paradoxale dont l’objectif est de nous contraindre à une gymnastique nouvelle et à une perception différente de la réalité. Un exemple : « l’homme regarde le miroir, le miroir regarde l’homme » illustre admirablement cette cession. C’est au travers de ce miroir qu’est l’imagerie et qu’il analyse que le praticien va tenter d’identifier et de caractériser les pathologies interstitielles. Comme pour les Koan, cela demande une gymnastique particulière que les orateurs vont nous dévoiler au fil des présentations.

Président BERGOT Emmanuel, Caen
Président BEIGELMAN-AUBRY Catherine, Lausanne

Savoir analyser les différents compartiments
REMY-JARDIN Martine, Lille
Quels aspects pour quelles étiologies ?
BRILLET Pierre-Yves, Bobigny
Imagerie chez le sujet jeune : quelles caractéristiques ?
BERTELOOT Laureline, Paris

A09 – Les pneumopathies interstitielles au féminin

Les femmes se distinguent-elles toujours des hommes ? Par l’âge, l’étiologie, l’impact des variations hormonales et des expositions environnementales, le terrain d’auto-immunité, le traitement ? Que se passe-t-il pendant la grossesse ?

Président FISSAH Aziza, Alger
Président HERVÉ-CARREGA Aurélie, Montfermeil


A15 – Regards croisés sur les pneumopathies interstitielles diffuses de l’enfant à l’adulte

Les anomalies génétiques du métabolisme du surfactant sont un parfait exemple d’interaction prolifique entre la pneumologie «d’adulte »et la pneumologie « pédiatrique ». Les progrès de la génétique ont permis d’identifier et de caractériser beaucoup de ces maladies d’abord chez l’enfant puis aujourd’hui chez l’adulte. Avec ce regard croisé, l’auditeur va découvrir l’indispensable nécessité de mieux comprendre la relation entre le poumon en développement de l’enfant et le poumon vieillissant de l’adulte.

Président DUBUS Jean Christophe, Marseille
Président HAMZAOUI Agnès, Ariana

A16 – Traitement de la fibrose pulmonaire idiopathique

Le traitement de la fibrose pulmonaire idiopathique a beaucoup évolué au cours des dernières années et fait l’objet de recommandations nationales et internationales. Cette session abordera les médicaments, mais également la prise en charge symptomatique et non médicamenteuse.

Président L’HUILLIER Jean-Pierre, La Varenne Saint Hilaire
Président DELAVAL Philippe, Rennes

A22 – Maladies kystiques multiples pulmonaires

Les maladies kystiques pulmonaires ont vu leur diagnostic et leur prise en charge significativement évoluer ces dernières années. L’organisation de l’expertise pneumologique, la mise en place de centres de référence développant une approche pluridisciplinaire, la constitution d’associations de patients ont été autant d’avancées dans le domaine. Cette session fait le point sur les maladies kystiques les plus fréquentes, tout comme sur les diagnostics plus rares à ne pas méconnaître.

Président CRESTANI Bruno, Paris
Président LEROYER Christophe, Brest

  • Lymphangioléiomyomatose
    LAZOR Romain, Lausanne
  • Histiocytose pulmonaire Langerhansienne (pas de vidéo)
    TAZI Abdellatif, Paris
  • Les maladies kystiques multiples pulmonaires plus rares (pas de vidéo )
    CORDIER Jean-François, Lyon

A23 – Formes aiguës des pneumopathies infiltrantes non infectieuses
Session commune SPLF-SRLF

Les pneumopathies aiguës sont le plus souvent d’origine infectieuse. Selon le contexte (terrain, toxiques, éléments en faveur d’une maladie systémique et biologie), il faut rechercher d’autres étiologies. Le scanner thoracique a transformé l’approche diagnostique. L’analyse du liquide du LBA guide le diagnostic. Le diagnostic et son obtention précoce conditionnent le pronostic.

Président FRAT Jean Pierre, Poitiers
Président MAITRE Bernard, Creteil

A24 – Formes particulières des pneumopathies infiltrantes

Certaines formes de pneumopathies infiltrantes ont des présentations parfois caractéristiques qu’il faut absolument connaître afin d’en optimiser la prise en charge spécifique et la surveillance.

Président HIRSCHI-SANTELMO Sandrine, Strasbourg
Président BONIFACE Stéphanie, Marseille

A25 – Endoscopies bronchiques et biopsies des pneumopathies interstitielles diffuses
en collaboration avec le GELF

La place des prélèvements endobronchiques ou chirurgicaux dans l’exploration des pneumopathies interstitielles diffuses reste débattue. Cette session fera le point sur les niveaux de preuve de ces prélèvements chez l’adulte et l’enfant.

Président JOUNIEAUX Vincent, Amiens
Président VERGNON Jean-Michel, Saint Etienne

A30 – Diagnostic des pneumopathies interstitielles diffuses

La classification des pneumopathies interstitielles diffuses récemment révisée comporte des entités rares (fibroélastose), des formes inclassables, auxquelles s’ajoutent maintenant des formes génétiques et familiales. Le scanner thoracique joue un rôle essentiel dans le diagnostic de ces entités.

Président JOUNEAU Stéphane, Rennes
Président MARQUETTE Charles-Hugo, Nice

A31– Fibrose pulmonaire : des comorbidités aux complications

Traiter une fibrose pulmonaire ne suffit pas. Il est indispensable en 2016 de prendre en considération les pathologies associées y compris l’hypertension pulmonaire et les exacerbations afin d’améliorer le pronostic et la qualité de vie de nos patients.

Président GODBERT Benoît, Metz
Président COTTIN Vincent, Lyon

A36 – Pneumopathies interstitielles diffuses et connectivites

Les atteintes pulmonaires au cours des connectivites sont fréquentes, graves et parfois inaugurales. Il est donc important d’en faire le diagnostic afin de mettre en place le traitement adapté, en particulier dans les formes aiguës. A l’inverse, les progrès réalisés dans les tests immunologiques font qu’il est fréquent d’identifier la présence d’un auto-anticorps ou de se trouver dans l’ambiance d’une connectivite sans maladie caractérisée à l’occasion du bilan d’une pneumopathie interstitielle diffuse. Dans cette optique, le concept d’Interstitial Pneumonia with Autoimmune Features (IPAF) a été récemment défini dans le cadre d’un groupe de travail ERS/ATS. Pour finir, l’arsenal thérapeutique des connectivites à côté de la corticothérapie s’est enrichi d’un grand nombre de molécules immunomodulatrices.

Président PREVOT Grégoire, Toulouse
Président DOMOUA Serge, Abidjan

A37 – Session sarcoïdose
en collaboration avec le groupe Sarcoïdose

La sarcoïdose, une pathologie simple à diagnostiquer et à traiter ? Pas si simple dans certains cas ! Cette session fera le point sur les formes graves pulmonaires et vasculaires importantes à connaître, ainsi que sur les avancées thérapeutiques récentes.

Président KOFFI Ngoran Bernard, Abidjan
Président VALEYRE Dominique, Bobigny

A42 – Pneumopathies interstitielles diffuses : mécanismes
en collaboration avec le groupe J2R

De grandes avancées ont été faites dans le domaine des pathologies interstitielles et leur physiopathologie. Alors que des thérapeutiques émergent, cette session veut faire le point sur trois pistes physio pathologiques qui sont d’éventuelles pistes thérapeutiques dans le futur. P. Bonniaud nous parlera de protéines chaperonnes, les protéines de choc thermique qui sont importantes dans la prolifération cellulaire. K. Borensztajn parlera du rôle de l’activation de la coagulation dans les fibroses expérimentales. Enfin, le rôle de l’hypoxie dans l’aggravation de la fibrose sera abordé par C. Planes.

Président CRESTANI Bruno, Paris
Président EPAUD Ralph, Creteil

A45 – Pneumopathies interstitielles diffuses et cancer
en collaboration avec le groupe GOLF

Pneumopathie interstitielle ou cancer ? Ces deux entités partagent parfois des caractéristiques cliniques et radiologiques communes qui rendent leur distinction difficile, d’autant plus que l’un peut favoriser la survenue de l’autre, et réciproquement.

Président WESTEEL Virginie, Besancon
Président GOUPIL François, Le Mans

Fil orange

Techniques Innovation en pratique pneumologique

A03 – Nouvelles stratégies de recherche en oncologie thoracique

en collaboration avec le groupe GOLF

A côté des biomarqueurs qu’il est recommandé de rechercher – mutations d’EGFR et réarrangements de ALK- l’amélioration des techniques moléculaires nous amène à découvrir de plus en plus de nouvelles anomalies pour lesquelles existent des traitements. Il est fondamental de savoir quand et comment rechercher ces anomalies pour conduire les malades vers les essais thérapeutiques bioguidés adaptés. Plus récemment, nous avons bénéficié d’une révolution thérapeutique avec l’avènement de l’immunothérapie… Mais comme dans toute révolution, il faut savoir reconnaître les vrais héros des opportunistes et faire le tri entre les vrais progrès et les illusions…

Président SCHERPEREEL Arnaud, Lille
Président KHAYAT Georges, Beyrouth

A04 – Nouvelles stratégies de prise en charge de l’HTAP

en collaboration avec le groupe Maladies vasculaires pulmonaires

2015 est l’année des nouvelles recommandations européennes sur l’HTAP. Une large place y est réservée aux innovations thérapeutiques. Cette session abordera la place de la réhabilitation à l’exercice dans l’HTAP, l’intérêt des thérapeutiques agressives comme les multithérapies initiales et l’espoir des thérapeutiques innovantes ciblant des voies de signalisation différentes.

Président CHABOT François, Vandoeuvre Les Nancy
Président BERVAR Jean-François, Lille

A10 – Innovations thérapeutiques dans la BPCO

en collaboration avec le groupe BPCO

Les innovations thérapeutiques dans cette affection ont été nombreuses ces dernières années mais des progrès restent encore à faire. Dans cette session seront abordés les éventuels marqueurs permettant de cibler tel ou tel médicament. Puis les nouvelles approches thérapeutiques (médicaments prochainement disponibles ou à l’étude et autres prises en charge) seront listées et discutées. Enfin, sera présenté un nouveau concept d’intégration de la BPCO dans un programme global de prise en charge.

Président CHAVAILLON Jean-Michel, Antibes
Président ANDRIANAIVO Ralison, Antananarivo

A11 – Innovations en pathologie infectieuse

en collaboration avec le groupe GREPI

Les pathologies infectieuses respiratoires ne sont pas en reste en terme d’innovations thérapeutiques : nouvelles modalités de l’oxygénothérapie, notamment l’oxygénothérapie à haut débit, antibiothérapie inhalée dans les suppurations bronchiques et retour des phages dans la prise en charge des infections respiratoires.

Président RACIL Hajer, Tunis
Président KNOOP Christiane, Bruxelles

A17 – Traitements endoscopiques novateurs

en collaboration avec le groupe GELF

La bronchoscopie ne se limite plus au seul champ du diagnostic ! Pour vous en convaincre, cette session présentera les dernières avancées de la bronchoscopie interventionnelle dans l’emphysème, la BPCO et le cancer bronchique.

Président FOURNIER Clément, Lille
Président NINANE Vincent, Bruxelles

A18 – Innovations thérapeutiques dans la dyspnée réfractaire

en collaboration avec le groupe Dyspnée

La session propose une nouvelle approche de la dyspnée, que ce soit pour son évaluation (composante affective vs composante sensorielle) ou son traitement, notamment dans sa forme réfractaire chronique (présente au repos ou pour un effort minime malgré un traitement étiologique optimal).

Président CHENIVESSE Cécile, Paris
Président DIDIER Alain, Toulouse

A26 – Innovations diagnostiques et thérapeutiques dans le SAHOS

en collaboration avec le groupe Sommeil

Les troubles respiratoires du sommeil représentent désormais une préoccupation majeure du pneumologue.Tant au niveau diagnostique que thérapeutique, ce monde est en mouvement et certaines innovations qui seront présentées dans cette session pourraient remettre en cause plusieurs paradigmes.

Président MARTIN Francis, Compiegne
Président MESLIER Nicole, Angers

A27 – Innovations thérapeutiques dans l’asthme

en collaboration avec les groupes G2A / J2R

La guerre des mab’s ne devrait pas tarder à faire rage avec l’arrivée, 10 ans après l’Omalizumab®, des premiers anticorps monoclonaux anti IL5 probablement suivi des anti-IL 13 et autres anticytokines. La thermoplastie bronchique dont les indications commencent à se préciser, permet d’espérer traiter des asthmes sévères n’ayant pas forcément un phénotype inflammatoire de type TH2. Mais la surprise la plus surprenante pourrait venir du repositionnement d’une thérapeutique plus que centenaire, à savoir la désensibilisation rebaptisée Immunothérapie Allergénique (ITA).

Président PRUD’HOMME Anne, Tarbes
Président DEROM Eric, Gand

A32 – L’échographie thoracique

en collaboration avec le groupe G-ECHO

Cette session soutenue par le G-ECHO soulignera les avantages et les limites de l’échographie thoracique dans la gestion des pneumothorax. Sera ensuite abordée la ponction de nodules en cas de contact pariétal. Enfin, un parallèle sera fait avec l’endoscopie bronchique et les plateformes de simulation où se développent des outils de simulation en échographie.

Président DOUADI Youcef, Saint Quentin
Président ADAMBOUNOU Stéphane, Togo

A38 – Innovation muscle et ventilation

en collaboration avec le groupe GAV-SLA NM

L’approche « neurophysiologique » a fait d’importants progrès en pneumologie, qu’il s’agisse de la dysfonction des muscles locomoteurs, de l’électrostimulation diaphragmatique ou d’optimiser la VNI avec des ventilateurs intégrant un monitorage évolué et plus « intelligents ».

Président PEREZ Thierry, Lille
Président PERRIN Christophe, Cannes

A43 – Assistance ventriculaire droite

en collaboration avec le groupe Interaction cœur-poumon

Le but de cette session est de permettre aux participants de développer leurs connaissances dans la physiopathologie et le traitement de la dysfonction cardiaque droite survenant au cours des maladies respiratoires et de comprendre les résultats de l’échocardiographie pour diagnostiquer cette dysfonction du ventricule droit.

Président SANCHEZ Olivier, Paris
Président FADEL Elie, Le Plessis Robinson

A46 – Avancées en recherche fondamentale : les traitements de demain

en collaboration avec le groupe J2R

Le comité des J2R et la SPLF vous proposent de vous informer sur les nouvelles cibles thérapeutiques dans différentes maladies pulmonaires et les nouvelles manières de modifier leur activité. Trois cibles potentielles vont être exposées. Les neutraligands de chimiokines ciblent directement les chimiokines et non plus leurs récepteurs. Modifier les interactions entre des types cellulaires dans la paroi vasculaire pourrait modifier l’hyperplasie du muscle lisse vasculaire dans l’hypertension pulmonaire. Enfin des petits fragments d’ARN non codants, les microARN ou mIRs, sont dérégulés dans certaines maladies, comme la fibrose idiopathique et pourront être ciblés spécifiquement pour ralentir ou enrayer la progression de la maladie.

Président TREMBLAY Yves, Sainte Foy Quebec
Président PISON Christophe, Grenoble

© SPLF MAJ 8/03/2016

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Étude AZALEA : l’azithromycine peut-elle diminuer la durée d’une exacerbation d’asthme ?

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Les virus et les germes atypiques sont largement impliqués dans les exacerbations d’asthme. L’azithromycine, efficace sur les germes intracellulaires et la réplication du rhinovirus in vitro, serait susceptible de réduire la durée des exacerbations.

Une étude randomisée a été donc été conduite dans 31 centres britanniques chez 199 patients adultes asthmatiques. Tout patient se présentant en exacerbation d’asthme ayant débuté moins de 48 heures auparavant, recevait soit 500 mg par jour d’azithromycine pendant 3 jours, soit un placebo, associé au traitement usuel par corticoïdes et bronchodilatateurs. Les scores de symptômes étaient identiques dans les 2 groupes à J5 et J10, de même que le score de qualité de vie et le VEMS. Le temps mis pour réduire le score de symptômes de 50 % par rapport à l’inclusion n’était pas modifié par le traitement.

Alors que 96 % des patients avaient bénéficié d’un prélèvement nasal pour une recherche de virus et de germes atypiques par PCR, ceux-ci n’ont permis d’isoler un virus que chez 18 % des cas et un germe atypique dans 4,5 %. Cette proportion anormalement basse est probablement liée au pourcentage élevé de patients exclus de l’étude pour avoir reçu des antibiotiques dans les quatre semaines précédant l’inclusion.

Malgré un rationnel solide, l’étude montre donc que l’ajout d’azithromycine ne modifie pas l’évolution d’une exacerbation d’asthme. Il n’y a donc pas de raison actuellement pour modifier les recommandations sur la prise en charge de l’exacerbation qui, rappelons-le, ne recommandent pas la prescription d’antibiotiques dans cette indication.

[hr]

Camille Taillé

D’après la communication de S.L. Johnston « A randomised, double-blind, placebo-controlled study to evaluate the efficacy of oral azithromycin (500 mg OD) as a supplement to standard care for adult patients with acute exacerbations of asthma (the AZALEA trial). A6485. Session D21 « Asthma treatment : glucocorticoids, biologicals and beyond »

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© iSPLF – Mission ATS – MAI 2016

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Tests de marche de 6 minutes : faut-il vraiment surveiller la SpO2 en continu ?

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Les dernières recommandations ERS/ATS 1 suggèrent de réaliser les tests de marche de 6 minutes en surveillant la saturation en oxygène SpO2 de manière continue et d’arrêter le test dès que cette saturation passe en dessous de 80 % par crainte de survenue d’effets indésirables. Si ces recommandations étaient réellement appliquées, elles risqueraient d’entraîner un grand nombre d’arrêts prématurés et de gêner l’interprétation de ces tests. L’équipe de Johns Hopkins (Baltimore, États-Unis) a donc regardé de manière rétrospective ce qui se passait lorsque les tests de marche étaient réalisés « à l’ancienne », sans surveillance continue de la SpO2, de manière à décrire la fréquence spontanée des arrêts en cours de tests et leur type de motifs.

Dans cette étude rétrospective réalisée entre mars 2009 et mars 2015, 2 653 tests de marche de 6 minutes ont été analysés. L’indication de ces tests était l’évaluation d’une hypertension pulmonaire dans 48 % des cas, l’exploration d’une dyspnée dans 28 % des cas, l’évaluation d’une transplantation pulmonaire dans 12 % des cas et l’existence d’une maladie pulmonaire obstructive (4 %) ou interstitielle (3 %). Seuls 3 % des patients se sont arrêtés pendant le test. La présence de symptômes respiratoires a été la cause de l’arrêt dans 28 % des cas tandis qu’une autre raison (non détaillée ou non listée) a motivé l’arrêt dans 63 % des cas. Les 9 % restants ont arrêté le test sur demande du technicien réalisant l’examen.

En analyse univariée, seuls l’âge avancé et le score de dyspnée mesuré sur l’échelle de Borg se sont avérés associés à la survenue d’un arrêt lors du test de marche. Ces résultats ont été identiques dans l’analyse multivariée prenant en compte l’âge, le sexe, la SpO2 de base, la SpO2 en fin de test et le score de Borg. Les auteurs recommandent donc plutôt de continuer à réaliser les tests de marche sans surveillance continue de la SpO2 vu le très faible nombre d’arrêts spontanés retrouvés dans leur étude.

 

[hr]

François-Xavier Blanc

D’après la communication de R. Khair et al. Safety of the six minute walk test in chronic lung disease, au cours de la session [C66] ‘Walk this way’ – Update on exercise tests and pulmonary rehabilitation.

[hr] [themify_button style=”purple  rounded” color=”#fb5d5e;” link=”https://splf.fr/ats-2016-en-direct/” text=”#fb5d5e” ]Retour au sommaire[/themify_button]

© iSPLF – Mission ATS – MAI 2016

Tests de marche de 6 minutes : faut-il vraiment surveiller la SpO2 en continu ? Lire la suite »

Hypertension pulmonaire sévère associée à la sarcoïdose : une place pour les traitements spécifiques de l’HTAP ?

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La sarcoïdose est une cause rare, mais classique d’hypertension pulmonaire (HTP). Les mécanismes sont multiples et souvent associés : raréfaction vasculaire, hypoxémie, atteinte vasculaire pulmonaire, compression vasculaire pulmonaire. Le plus souvent associée à une HTP modérée, la sarcoïdose est parfois associée à des HTP sévères. Les données dans la littérature sont limitées concernant les caractéristiques, le pronostic et la prise en charge de ces patients.

Le Dr A. Boucly a présenté une analyse rétrospective des données du Registre Français de l’HTP. L’HTP sévère était définie selon les recommandations ESC/ERS actuelles : PAP moyenne > 35 mmHg ou PAP moyenne entre 25 et 35 mmHg associée à un index cardiaque diminué (<2,5 l/min/m2).

Entre 2004 et 2014, 126 patients présentant une HTP sévère associée à une sarcoïdose ont été identifiés. L’âge moyen au diagnostic d’HTP était de 58 ans, sans prédominance de sexe. La grande majorité des patients présentait une sarcoïdose de stade IV (74 %). La CVF moyenne de ces malades étaient de 64 ± 21 % et la DLCO/VA de 54 ± 23 %.

L’HTP sévère apparaît clairement comme une complication le plus souvent tardive de la sarcoïdose avec un délai médian de 17 ans (IQR 4,9-26) entre le diagnostic de sarcoïdose et celui d’HTP. L’impact clinique était majeur avec > 80 % des patients en classe fonctionnelle NYHA III ou IV, et un test de marche de 6-minutes (TM6) moyen de 319 m.

Parmi ces 126 patients, 97 ont reçu un traitement spécifique de l’HTAP, principalement en monothérapie par antagonistes des récepteurs de l’endotheline ou inhibiteurs des phosphodiestérases de type 5. À 6 mois de traitement, 7 patients sont décédés, 2 ont été transplantés et 81 patients ont pu être réévalués. Il existait une amélioration significative de la classe fonctionnelle NYHA et des paramètres hémodynamiques mais pas de modification du TM6. Les données de ce registre ne permettaient pas malheureusement d’analyser l’impact de ces traitements sur les échanges gazeux.

 

Le pronostic de ces patients était mauvais avec 55 % de survie à 5 ans. En analyse multivariée, seul le TM6 au diagnostic était un facteur pronostique.

 

Ce travail représente la plus grande série d’HTP sévère associée à la sarcoïdose et apporte des informations importantes sur les caractéristiques et le pronostic de ces patients. Son caractère rétrospectif ne permet pas d’évaluer l’impact pronostique des traitements de l’HTAP, justifiant la réalisation d’études contre placebo évaluant le rapport bénéfice/risque de ces traitements.

 

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David Montani

D’après la communication de A. Boucly. Session D19 : Clinical studies in PH. A6463 Sarcoidosis-associated pulmonary hypertension in the modern pah-targeted therapy era : experience from the french registry

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© iSPLF – Mission ATS – MAI 2016

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Mésothéliome pleural malin : faut-il être « SMART » ?

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Selon les recommandations actuelles en France, les patients avec un mésothéliome pleural malin (MPM) doivent bénéficier d’une radiothérapie prophylactique (RTP) des orifices ou cicatrices dans les 6 semaines après une chirurgie ou un geste invasif de la plèvre, pour prévenir l’apparition de nodules tumoraux de perméation liés à la procédure (NTP). Mais la RTP est très controversée, justifiant l’essai britannique « SMART ».

N.A. Maskell a présenté les résultats de cet essai multicentrique incluant 203 patients randomisés (1 : 1) entre surveillance et RTP (3x21Gy) dans les 35 jours après geste pleural invasif. Les sujets étaient surtout PS 0-1 et avec un MPM épithélioïde (70 % cas dans les 2 groupes). Il n’y avait pas de différence significative pour l’incidence de NTP dans les 12 mois post-RTP (1er objectif) entre le groupe RTP vs observation : 9/102 (8,8 %) vs 16/101 (15,8 %) ; p = 0,141. De plus, il n’y avait pas non plus de différence significative pour les critères secondaires (qualité de vie, douleur…). Cependant, l’analyse en sous-groupes montre que les patients avec un MPM épithélioïde, et/surtout ceux bénéficiant d’une chimiothérapie, auraient un bénéfice de la RTP — peut-être d’autant plus que le geste pleural aura été large. Enfin, une deuxième analyse tenant compte uniquement des patients sans déviation au protocole démontre un intérêt significatif de la RTP… Cela incite au moins pour ces sous-groupes, à attendre les résultats de l’autre essai randomisé « PIT » en cours (UK), et les nouvelles recommandations européennes (ERS/ESTS/EACTS/ESTRO) en 2017 pour le MPM avant de mettre définitivement la RTP au placard !

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Arnaud Scherpereel

D’après la session B14 — High impact late-breaking clinical trials. A2863 « Surgical and large bore pleural procedures in malignant pleural mesothelioma and radiotherapy trial (SMART Trial) – An RCT evaluating whether prophylactic radiotherapy reduces the incidence of procedure tract metastases.» D’après : NA Maskell, et al. AJRCCM 2016 ; 193 : A2863. — AO Clive, et al. Lancet Oncol 2016 (sous presse)

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