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Numéro 120 – Avril 2014

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ÉDITORIAL
Cap 2014-2016 De Philippe Delaval

VIE DE LA SOCIÉTÉ
Groupe de travail « Dyspnée » de la SPLF, Capucine Morélot-Panzini, Pierantonio Laveneziana, Gilles Garcia
L’AJPO2, une toute nouvelle équipe aux commandes !, Benjamin Coiffard, Lucile Sésé, Jérémy Chalmin, Marie Bellefleur
Groupe de travail Alvéole, un bilan riche, une année 2014 alléchante,Sandrine Stélianides, Pascale Surpas
Groupe Aérosolthérapie (GAT) : des réunions aux publications, Jean-Christophe Dubus
Nouvelles du groupe de travail BPCO : bilan 2013, Nicolas Roche

CANCÉROLOGIE
Nombre de ganglions obtenus au cours du curage médiastinal des cancers bronchiques, Marc Riquet

DOSSIER ECN
Les nouvelles modalités de l’ECN : vers des internes geeks ?, Charles-Hugo Marquette

CULTURE
Souffle de femme Jean-Pierre Orlando

VIGILANCE
Effets indésirables survenus lors des essais cliniques — Dabigatran — Antiviraux contre la grippe 2013-2014 — Bêta2-mimétiques de courte durée d’action — Gommes et patch de nicotine — Macitentan
Épidémiologie 1
Épidémiologie 2

DROIT ET SANTÉ
Santé connectée et applications médicales : une réglementation spécifique se dessine, Marie-Charlotte Pastinelli, Nicolas Postel-Vinay

LU POUR VOUS
Pneumothorax spontané, et si on osait l’ambulatoire pour gagner en confort et en coût ?,Pierre Morinet
Tuberculose en Île-de-France — Maladies chroniques et coaching téléphonique— Gestes pleuraux sous antigrégants plaquettaires, la HAS publie de nouvelles recommandationsN P-V
Cigarette électronique, les utilisateurs sont avant tout des fumeurs souhaitant diminuer leur consommation de tabac
Interdire le tabac : quand la politique de santé publique parvient à diminuer le nombre d’hospitalisation pour asthme,M P-V

COURRIER DES LECTEURS
Quand Info Respiration se fait sonner les cloches ! — Poumon de pierre…

Document reçu

COMMUNIQUÉS DE PRESSE

 

 

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Les opioïdes : un début plutôt qu’une fin !

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La dyspnée réfractaire est définie par la persistance de sensations respiratoires désagréables malgré un traitement étiologique. Cela concernerait jusqu’à un tiers des patients essoufflés. Pourtant, la prise en charge de la dyspnée réfractaire en elle-même reste marginale, par manque d’expérience et par peur des effets secondaires.

S’il n’y a pas d’essai randomisé contrôlé disponible, les données d’études qualitatives et d’essais thérapeutiques ne peuvent être ignorées. Après une période de titration de deux semaines, les patients BPCO bénéficient d’un traitement par 10 mg (66 patients inclus) 1 ou 14 mg (65 patients inclus) 2  par jour de morphine. Une faible mais significative diminution de l’intensité de la dyspnée entraîne des modifications de grande ampleur de la qualité de vie sans effets secondaires respiratoires (modifications gazométriques, hospitalisations ou décès).

Une méta-analyse 3  vient de confirmer les données de sécurité. Deux mille deux cent quarante-neuf patients ont été analysés dont 509 sous oxygénothérapie. Il n’y a pas de modification de la mortalité si les doses restent inférieures à 30 mg par jour, bien inférieures à celle utilisées en cancérologie pour l’antalgie.

Les recommandations canadiennes, sur le schéma de la douleur, recommandent 3 paliers de prise en charge de la dyspnée :

  • initiation et optimisation des traitements de la BPCO (bronchodilatateurs de courte et longue durée d’action, corticoïdes inhalés, théophylline, oxygénothérapie à domicile) ;
  • initiation et optimisation des traitements non pharmacologiques de la dyspnée (réhabilitation respiratoire, expiration à lèvres pincée, technique d’autodrainage, soutien psychologique, acupressure…) ;
  • initiation et optimisation des traitements opioïdes.

Ces résultats sont un véritable plaidoyer pour l’évaluation et le traitement de la dyspnée en tant que symptôme dans la pratique quotidienne.

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Marjolaine GEORGES

D’après les communications de M. Johnson (Hull, Royaume-Uni) et G. Rocker (Halifax, Canada) au cours de la session C88.

[hr] [themify_button style=”purple  rounded” color=”#6e12b5;” link=”https://splf.fr/les-points-forts/en-direct-de-lats-2015/” text=”#1B0A2A” ]Retour au sommaire[/themify_button]

 

© iSPLF – Mission ATS – MAI 2015

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Journée « Exacerbations de BPCO

La journée « Exacerbations de BPCO »,  a eu lieu le 4 avril 2014 à la Maison du Poumon

 « Exacerbations de BPCO : de la recherche aux recommandations »

Coordinateurs : Stéphane Jouneau, Graziella Brinchault, Nicolas Roche

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Programme

9h30 :   Accueil

9h45      Introduction : quelle définition des exacerbations ? Nicolas Roche

10h-11h30 : Session 1 : Impact des exacerbations. Frédéric Masure, Gérard Huchon

10h         Exacerbations fréquentes et histoire naturelle. Pierre-Régis Burgel, Paris

Difficultés de la définition des exacerbations et des exacerbateurs fréquents (phénotype stable chez une petite minorité de patients).

Impact sur survie, déclin du VEMS, déclin de qualité de vie, activité.

10h30   Le poids des exacerbations hospitalisées. Nicolas Roche, Paris

Augmentation des hospitalisations pour EABPCO, proportionnelle à l’augmentation de l’ensemble des admissions.

Age, comorbidités, mortalité élevés.

Très faible proportion d’hospitalisations en pneumologie.

Moindre mortalité en hospitalisation privée (moins graves, et tous en pneumologie, alors que « surcodage » BPCO (sans spirométrie) hors pneumologie dans le public)

Mortalité prédictible par ailleurs par sévérité, âge, comborbidités.

11h        Les exacerbations non rapportées sont-elles anodines ? Gille Jebrak, Paris

Impact des exacerbations non rapportées par définition mal connu.

11h30-12h : Pause

12h-13h30 : Session 2 : Evaluation Clinique des exacerbations. Thierry Chinet, Christian Ghasarossian

12h         Investigations à visée étiologique/différentielle : quels examens chez quels patients ? Daniel Dusser, Paris

Fréquence des comorbidités cardio-vasculaires, part importante dans la mortalité des BPCO.

Augmentation du risque cardio-vasculaire (infarctus) après exacerbation, surtout si exacerbations fréquentes.

Troponine à l’entrée prédit mortalité à 3 ans. Idem avec la BNP.

Fréquence (variable selon critères d’inclusion) de la maladie thromboembolique chez les malades hospitalisés pour EABPCO non infectieuses.

Moindre survie à 3 (1 ?) ans en cas de maladie thrombo-embolique.

Difficulté à différencier exacerbation « pure », exacerbation + comorbidité aiguë (ICG, MTEV), décompensation aiguë d’autre cause chez un BPCO.

Q = qu’inclut-on dans la définition des exacerbations ? (i.e., les causes spécifiques ou non ?)

12h30   Apprécier la sévérité de l’exacerbation : de la pratique aux scores. Bruno Housset, Créteil

Junod, Rev Med Suisse 2014 : revue des 7 scores prédictifs à court terme.

Exacerbations non rapportées : moins de symptômes, augmentant plus rapidement.

Intérêt d’un score prédictif non pas de devenir intra-hospitalier mais du devenir à l’hôpital ou au domicile.

Intérêt / apport ? du score psychosocial.

Intérêt d’une EVA d’inconfort ?

Exact-pro non utilisable en pratique.

13h         Peut-on formaliser le diagnostic de l’exacerbation : l’EXASCORE. Franck Soyez, Bagneux

Objectif faciliter la reconnaissance / le diagnostic d’exacerbation par les experts et non-experts.

Guider en fonction de la sévérité détectée par le score l’orientation et la prise en charge.

Questionnaire de transition non validé.

Score final en 8 items et 2 domaines, psychosocial et respiratoire.

Intérêt d’une EVA ?

13h30-14h : Plateaux repas ou buffet

14h : Session 3 : prise en charge thérapeutique. Hervé Pégliasco, François Chabot

14h         Place des corticostéroïdes oraux. Hervé Mal, Paris

Largement recommandés.

Effets délétères possibles de cures répétées / injustifiées.

Peu d’études de patients ambulatoires. Critères d’évaluation fonctionnels.

Etudes positives (et métanalyse) chez les patients visitant les urgences +/- hospitalisés.

14h30   Support respiratoire : oxygénothérapie haut débit, VNI. Antoine Rabbat, Paris

OHD : couvre tout débit ventilatoire du patient, maintient la FiO2, lave l’espace mort, diminue la résistance inspiratoire, favorise clairance muco-ciliaire, effet PPC.

Aucun niveau de preuve dans la BPCO. A évaluer. Cher.

VNI : recommandation forte.

Question de la définition des indications : critère clinique (détresse) ou acidose ventilatoire

Formation et expertise nécessaires à préciser.

Lieu : l’important est la sélection des patients restant en salle (sévérité), l’expertise et les possibilités de surveillance.

Méthodes asservies (AVAPS, NAVA) insuffisamment validées.

Nombreuses questions sans réponse : humidification, durée, réglages, équipes dédiée, surveillance, intérêt des algorithmes de réglage automatique ?

Facteurs prédictifs de succès/échec mieux connus.

VNI post op : négatif. Pré-op : mitigé.

VNI en limitation de soins : données plutôt positives. Compassionnelle en fin de vie : ?

Quid de l’utilisation des bronchodilatateurs, corticoïdes, antibiotiques sous VNI.

15h         Alternatives à l’hospitalisation : les grandes études. Martin Dres, Paris

Objectifs des alternatives : retour précoce au domicile (moindre duré d’hospitalisation). Sortie directe de l’UHCD.

Bénéfice économique sans préjudice clinique pour le patient.

Télémédecine : contrasté, probablement utile en alternative à une éducation lourde.

15h30-16h : Pause

16h-17h30 : Session 4 : prévention. Alain Bernady, Bertrand Delclaux

16h         Vaccins anciens et nouveaux. Patrick Petitprez, Le Chesnay

Risque pneumococcique nettement élevé par l’existence d’une BPCO (et d’un asthme), l’avancée en âge, les maladies chroniques.

Revaccination Pneumo23 déconseillée (perte d’effet et induction d’une hyporéponse au vaccin conjugué) mais préconisée en France.

Très faible taux de couverture vaccinale, recommandations hétérogènes.

Efficacité vaccinale démontrée sur les infections invasives, pas sur les pneumonies, les exacerbations (tendance NS) ni la mortalité globale.

VPC13 > VPS23 pour induction réponse.

Introduction du Prévenar a induit une réduction des résistances par effet sur le portage des bactéries notamment résistantes.

Installation lente de la couverture vaccinale enfant par Prévenar 13.

Efficacité vaccinale sur pneumonies non bactériémiques = synonyme de coût-efficacité ; démontré par étude CAPITA.

En parallèle diminution des infections invasives chez les immunodéprimés.

Schéma : 1 injection Prévenar 13 puis 7 jours après 1 injection Pneumo 23 pour élargir le spectre vaccinal.

16h30   Réhabilitation : pendant, à la sortie, plus tard ? Sandrine Stelianides, Paris

Perte de fonction musculaire au cours des hospitalisations pour exacerbation.

Intérêt d’une réhabilitation pendant et post-exacerbation, avec gains physiologiques et sur qualité de vie, ainsi que réduction des réhospitalisations pour exacerbations.

Intérêt et sous-utilisation de l’électrostimulation.

Résultats discutables en terme de mortalité.

Intérêt en termes de coût-efficacité.

Réhabilitation post exacerbation = dans les 4 semaines.

Difficulté de mise en œuvre.

Pertes importantes entre éligibles et réhabilités.

17h         Education, plans d’action : quels bénéfices ? Pascale Surpas, Charnay

Adhésion, acquisition de compétences.

Très peu voire pas d’étude montrant l’effet de l’éducation seule (hors réhabilitation) en termes de prévention des exacerbations/hospitalisations.

Plans d’action répandus mais souvent incomplets (non revus avec soignant, pas d’ordonnance pré-établie)

Discordance entre conviction des soignants et réalités vécues par les patients sur le plan de la réalisation d’éducation et des attentes vis-à-vis d’elle.

Importance d’avoir des objectifs partagés, un financement, une approche multidisciplinaire…

Nécessité d’une démarche qualité.

 

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Documents et liens MNMs

Les dernières recommandations sur la prise en charge de la SLA publiées par l’HAS en 2006 et toujours en cours à ce jour

Les documents de références

Maladies neuromusculaires- Informations et conseils- Ministère de la Santé -AFM 2006

Maladies neuromusculaires- Soins et urgence – Ministère de la Santé -AFM 2006 

La prise en charge respiratoire du patient SLA- Neurologies 2006

Recommandations Prise en charge des personnes atteintes de sclérose latérale amyotrophique- HAS 2005

Recommandations pour la pratique clinique VNI Argumentaire – HAS – AFM 2006

Recommandations pour la pratique clinique VNI Argumentaire – HAS – AFM 2006


Les liens

• L’association pour la recherche sur la SLA et autres maladies du motoneurone.

Procédures du GAVO2 et Checklists patients dépendants

Checklists patients dépendants

• CheckListe patient dépendant
Autres langues

• CheckListe-ventilatorDependentPatient-2018-ENG
• CheckListe-ventilatorDependentPatient-2018-ESP 


Procédures du GAVO2

Nettoyage, entretien d’une canule trachéotomie
• Algorithme gestion des fuites et IAH sous VNI

• Éducation d’un patient sortant sous O2
 Éducation pour la sortie d’un patient trachéotomisé et/ou ventilé
 • Éducation à un ventilateur , “support de Vie”
• Éducation à la sortie d’un malade sous VNI


En espagnol 
• Educación para pacientes con oxigenoterapia domiciliaria.
• Educación para pacientes con VMI en domicilio
• Educación para pacientes con VMNI domiciliaria

 

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Les vidéos

Service d’exploration fonctionnelle du CHU de Lille, en collaboration avec le groupe SLA et MNM de la SPLF

Documents et liens MNMs Lire la suite »

Programme des ateliers des EFR de la SPLF du 27 mars 2015

[themify_box style=”blue annoucement rounded” ] Les Ateliers EFR de la SPLF auront lieu le Vendredi 27 mars 2015 à la Maison du Poumon, 66 Boulevard Saint-Michel 75006 Paris[/themify_box]

ATELIERS PROPOSES

Atelier A :     Exploration par pléthysmographie

Experts : Arnaud Chambellan, Gilles GARCIA, Thomas GILLE  

Animateur : Christophe PINET

Programme de l’atelier :

  • Bases théoriques
  • Point sur les recommandations internationales ATS/ERS sur les EFR
  • Règles et conseils de base pour la pratique quotidienne
  • Principes d’interprétation
  • Session pratique
  • Cas cliniques

Atelier B :      La DLCO et les Gaz du sang

 Experts : Bruno DEGANO et Hervé GUENARD                                     

Animateur : Michel FARNY

Programme de l’atelier :

  • DLCO
    • Bases théoriques du transfert pulmonaire des gaz
    • Principe du fonctionnement des appareils de mesure
    • Règles et conseils pour la réalisation de la mesure
    • Principes d’interprétation
    • Session pratique
    • Cas cliniques
  • Gaz du sang
    • Principe d’interprétation de la gazométrie artérielle au repos
    • Principe, indications et interprétation du test d’hyperoxie
    • Cas cliniques

Atelier C :     L’exploration de l’hyper-réactivité bronchique et les nébulisations

Experts : Marie Thérèse ANTONINI et Laurent PLANTIER

Animateur : Yan MARTINAT

Programme de l’atelier :

1/ Exploration de l’Hyper-Réactivité Bronchique(HRB)

  • Principe et Bonne pratique du test à la méthacholine
  • Test ” Hyperventilation isocapnique ” et exercice
  • Test au Mannitol

2/ La Nébulisation selon le GAT( Groupe Aérosol Thérapie)

  • Les différents types de matériels
  • Les médicaments nébulisés avec AMM
  • Bonne Pratique de la nébulisation en Pneumologie

Atelier D :      L’exploration du diaphragme et des muscles respiratoires

Experts : Thierry PEREZ et Bernard WUYAM                            

Programme de l’atelier :

  • Indications
  • Mesures indirectes : spirométrie et volumes pulmonaires
  • Explorations spécifiques non invasives : PImax, PEmax et SNIP
    • principes
    • session pratique
  • Surélévation de coupole diaphragmatique : conduite à tenir
  • Cas cliniques

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En partenariat avec le Groupe fonction de la SPLF fonction

Avec le soutien des Laboratoires CHIESI ET TEVA

 

 

[themify_box style=”dowload blue rounded” ]Téléchargez le programme[/themify_box]

[themify_box style=”dowload light-blue rounded” ]Téléchargez le bulletin d’inscription[/themify_box]

 

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Symposium “Tests de détection d’Interféron (IGRA) : Etat des lieux en 2014”

« Tests de détection d’Interféron (IGRA) : Etat des lieux en 2014 »

qui s’est déroulé le Jeudi 20 Mars 2014 à l’auditorium de l’Institut Pasteur-Paris de 10h à 16h

Ce symposium est gratuit et a reçu le label de la SPLF.

Programme et diaporamas

 

 

Introduction de la journée : Claire ANDREJAK

 

Conduite à tenir pour le dépistage des sujets contact :
Nouvelles recommandations du Haut Conseil de la Santé Publique et conséquences en pratique quotidienne

 

 

 

  • Controverse : Faut-il utiliser les IGRA en milieu de santé ?

Pour : Elisabeth BOUVET

 

Contre : Dominique TRIPODI

 

 

  • Test IGRA ultrasensible : Données préliminaires sur le nouveau test en cours de développement – Andreas Eckelt

Population VIH
Résultats du STIC IGRA/VIH et conséquences sur la prise en charge des patients infectés par le VIH – Anne BOURGARIT-DURAND

 

Patients dialysés et greffés rénaux
• 15h00-15h20 Evaluation du risque de tuberculose dans cette population et conséquences pratiques pour les professionnels de santé – Antoine DURRBACH

 

 

Cette réunion a eu lieu avec le soutien du laboratoire QIAGEN

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Diaporamas des journées des CLAT 2014

 

 

Journées annuelles des centres de lutte antituberculeuse :

le jeudi 12 juin 2014 à l’hôtel de ville de Paris

et le jeudi 11 décembre 2014 à l’amphithéâtre de la faculté de médecine du CHI de Créteil

LES DIAPORAMAS DES JOURNÉES DES CLAT

Décembre 2014

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Juin 2014

 

 

 

 

 

  • Tabagisme et tuberculose Dr Michel Underner – Unité de Tabacologie Centre de lutte antituberculeuse (CLAT 86) – Service de Pneumologie – CHU de Poitiers

 

 

Diaporamas des journées des CLAT 2014 Lire la suite »

Toxicité à l’oxygène souvent méconnue, elle ne concerne pas que les patients BPCO

Les effets néfastes de l’hyperoxie sont connus depuis plus de 50 ans chez les patients atteints de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et sont bien décrits en néonatalogie. Mais d’autres populations sont concernées par la toxicité potentielle de l’oxygène. L’administration d’oxygène fait partie des thérapies les plus couramment utilisées à l’hôpital ainsi qu’en préhospitalier et les effets de ce médicament devraient être bien connus. Plusieurs sociétés scientifiques ont publié des recommandations quant à l’utilisation de l’oxygène. Ces recommandations sont parfois mal utilisées et ce, probablement à cause d’une sous-appréciation de ce que représente le problème de l’hyperoxie en phase de traitement aiguë ainsi qu’en préhospitalier.

Rédaction Info Respiration N° 124 – (Janvier 2015).

Lire l’article

Toxicité à l’oxygène souvent méconnue, elle ne concerne pas que les patients BPCO Lire la suite »

Séminaire 2 – 2014-2015

Séminaire 2 –  Insomnie/ chronobiologie

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Cours 1 Définitions et épidémiologie de l’insomnie D. Léger – Paris

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Cours 2 Diagnostic de l’insomnie chez l’adulte (outils subjectifs et objectifs, évaluation, diagnostic différentiels. Recommandations HAS pour le diagnostic de l’insomnie. I. Poirot – Lille

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Cours 3 L’insomnie : un phénomène complexe. Abord neuro-biologique de l’insomnie et nouveautés (imagerie fonctionnelle, axe HPA….) C. Schroder – Strasbourg

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Cours 4 Prise en charge médicamenteuse de l’insomnie. Hypnotiques : données générales et utilisation en pratique « Autres classes » thérapeutiques dans l’insomnie (utilisées en pratique) V. Viot Blanc

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Cours 5 Psychotropes hors hypnotiques et sommeil L. Staner – Rouffach

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Cours 6 Prise en charge non médicamenteuse de l’insomnie :
  Education thérapeutique.
  Thérapies comportementales (contrôle du stimulus et restriction de sommeil).
  Thérapies cognitives (restructuration cognitive, principe de programme de groupes). S. Royant-Parola – Paris

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Cours 7 -Particularités de l’insomnie du sujet âgé M.F. Vecchierini – Paris

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Cours 8 Clinique des troubles du sommeil en Psychiatrie. Recommandations pour la prise en charge

 Abord clinique de l’anxiété, de la dépression et de la schizophrénie
Insomnies psychogènes et hypersomnies psychogènes
Recommandations de l’HAS pour la prise en charge des troubles dépressifs et anxieux A. Brion – Paris

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Cours 9
Insomnies comorbides :
troubles respiratoires asthme allergie et sommeil
troubles endocriniens et sommeil
ménopause et sommeil
troubles prostatiques, hemodialyse et sommeil (excepté sommeil et douleurs) A. Metlaine – Paris

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Cours 10 Sommeil et activité physique/ conditions de vie extrême F. Duforez – Paris [/themify_box]

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Cours 11
Rythme Veille/sommeil et thermorégulation. Ontogènese des rythmes biologiques Rôle de la lumière sur l’horloge biologique Méthodes d’exploration. C. Gronfier – Lyon[/themify_box]

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Cours 12
Troubles du sommeil liés aux rythmes circadiens : diagnostic

 Retard et avance de phase
Syndrome nycthéméral, rythme en libre cours
Particularités du sommeil des adolescents

T. Quera Salva – Paris

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Cours 13
Travail et sommeil

 Travail de nuit Travail posté
Jet-Lag

D. Léger – Paris

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