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Programme 2020 des mardis du GOLF et jeudis de la SPLF

(+ d’info  dans notre rubrique Aide pour  l’ajouter à votre calendrier personnel)

 Mardi du GOLF


7  Janvier 2020
 Tumeurs carcinoïdes. Pierre Jean Souquet, Lyon
[hr] 4 février 2020
Bases de l’immunothérapie. Maha Ayyoub, Toulouse
[hr] 3 Mars 2020
Épidémiologie et couts de la prise en charge et de la prévention desTraitements péri-opératoires. Marie Wislez, Paris
[hr] 7  Avril 2020
Traitement des cancers bronchiques avec mutation de l’EGFR. Jacques Cadranel, Paris
[hr] 5  Mai 2020

Les cancers broncho-pulmonaires oligométastatiques. Jonathan Khalifa, Toulouse
[hr] 2 Juin 2020

Les nouvelles chirurgies thoraciques : chirurgie mini-invasive, résections infra-lobaires. Dominique Gossot, Paris
[hr] 1er  Septembre 2020

Mésothéliomes : actualité 2020. Arnaud Scheerperel, Lille
[hr] 6 Octobre 2019
Les cancers broncho-pulmonaires avec réarrangement (hors ALK). Alexis Cortot, Lille
[hr] 3 Novembre 2020

Cancers broncho-pulmonaires non à petites cellules : populations particulières. Valérie Gounant, Paris
[hr] 1er  Décembre 2020

Cancers broncho-pulmonaires : immunothérapies. Maurice Pérol, Lyon

Les jeudis de la SPLF

16 Janvier 2020
L’EFR des maladies obstructives : au-delà du VEMS (Bruno Degano et Gilles Garcia)
[hr] 13 Février 2020
 Le diagnostic des nodules pulmonaires périphériques (Samy Lachkar)
[hr] 12 Mars 2020
Maladies hépatiques et poumons (syndrome hépato-pulmonaire et hypertension portale) (Laurent Savale)
[hr] 9 Avril 2020
Hygiène et entretien des nébuliseurs (Grégory Reychler)
[hr] 14 Mai 2020
Réduire la consommation de corticoïdes oraux dans l’asthme sévère: un objectif ultime ? (Arnaud Bourdin)
[hr] 11 Juin 2020
Actualités dans l’embolie pulmonaire : quoi de neuf dans les nouvelles recommandations ? (Olivier Sanchez)
[hr] 10 Septembre 2020
Identifier le phénotype allergique d’asthme pour une médecine personnalisée : quelle stratégie pour quel patient ? (Antoine Magnan)
[hr] 8 Octobre 2020
Santé respiratoire de la femme (Chantal Raherison)
[hr] 12 Novembre 2020
Les atteintes broncho-pulmonaire chroniques à Aspergillus (Cendrine Godet)
[hr] 10 Décembre 2020
Fibrose pulmonaire idiopathique ou non : évaluer et prendre en charge la progression de la maladie (Vincent Cottin)

MAJ 19/12/2019

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7èmes journées du Grépi – les présentations

Les 7èmes journées ont eu lieu du jeudi 28 novembre  au vendredi 29 novembre  2019

Les présentations sont disponibles au téléchargement

PROGRAMME MEDECINS
« Key lecture »:

La vaccination à travers les âges : exemple des vaccins anti-pneumococcique et antirougeole > Robert Cohen (Saint-Maur-des-Fossés)

JM1 Pathologies respiratoires chroniques
> Bactéries émergentes (hors mycobactéries) dans la mucoviscidose et les dilatations des bronches non mucoviscidosiques

JM2 Mycobactéries
> Les nouveautés de l’année > Thomas Maitre (Paris)
> Recommandations 2019 sur la prise en charge des mycobactéries non tuberculeuse (ATS ERS IDSA ESCMID) : Qu’est-ce qui change ? > Claire Andrejak (Amiens) – Non mis à disposition.
 
JMI-At Ateliers Médecins-IDE
JMI-At1 
> Place du lavage des fosses nasales au cours des infections respiratoires > Virginie Escabasse (Créteil) – Non mis à disposition.
> Quel vaccin varicelle et pour qui ? > Christian PERRONNE (Garches)
> Comment interpréter un antibiogramme en pratique (du pneumocoque au Pseudomonas et Stenotrophomonas) > Christian Cattoen (Valenciennes)
 
JMI-At2
> Tuberculose et grossesse > Anne Bourgarit (Bondy)
> Aspergillose chronique cavitaire: quelle prise en charge ? > Jacques Cadranel (Paris)
> Pharmacocinétique des aminosides pour les nuls > Peggy Gandia (Toulouse)
 
JMI-At3
> Quelle désinfection de la chambre avant l’arrivée d’un immunodéprimé > Céline Hernandez (Strasbourg) & Jacinthe Foeglé (Strasbourg)
> Antifongique et champignons émergents > Sylvie Leroy (Nice)
> Tuberculose extra-respiratoire : quelle différence ou pas en terme de durée de traitement et de choix de molécules > Didier Laureillard (Nîmes)
 
VM1 Communautaire
> Les nouveautés de l’année > Guillaume Voiriot (Paris)
> Quel impact de la vaccination antipneumococcique sur le spectre des infections respiratoires basses et de la pleurésie purulente ? > Emmanuelle Varon (Créteil) – Non mis à disposition.
> Zoonoses respiratoires > Nadia Haddad (Maisons-Alfort) – En attente
 
VM2 Immunodéprimé
> Les nouveautés de l’année > Antoine Roux (Suresnes)
> Quels pyogènes chez l’immunodéprimé hors transplantation > Matthieu Lafaurie (Paris)
> Infections fongiques émergentes > Frédéric Lamoth (Lausanne) – Non mis à disposition.
 
VM-At Ateliers Médecins
VM-At1
> Quelle posologie antibiotique si mon patient est obèse > François Jehl (Strasbourg)
> Sérologie aspergillaire, bêtaDglycane, PCR aspergillus, antigène galactomannane… : pour qui ? quand ? et qu’en faire ? Le point sur les biomarqueurs > Christophe Hennequin (Paris)
> Je reviens de voyage, j’ai une pneumopathie. Quels germes ? > Laurène Deconinck (Paris)
 
VM-At2
> Résultats positifs d’un test syndromique respiratoire : quoi en faire en pratique ? > Martin Rottman (Paris)
> Pourquoi nettoyer et stériliser les nébuliseurs et les appareils de VNI ? > Melisande Baravalle (Marseille)
> Je trouve un granulome épithélioïde sur une biopsie pulmonaire : qu’en faire ? > Christine Sagan (Nantes)
 
PROGRAMME IDE
• JI1> Retour d’expérience de la vaccination antigrippale – protocole Grippe > Cathie Erissy (Paris)
• JI2> Antibiothérapie et grossesse dans la mucoviscidose et les dilatations des bronches non mucoviscidosiques > Clémence Bae (Toulouse) 
• JI3 > AINS et pneumopathies communautaires > D. Basille (Amiens)
• JI4 > Education thérapeutique : mesures préventives pour limiter les récidives de surinfection > Jean-Philippe Maffre (Tours)
• VI1 > Nouvelle stratégie de dépistage de la tuberculose au cours de la visite médicale OFII pour le public migrant séjournant légalement en France plus de 3 mois (Etude STRADA) > Stéphanie Lovato-Lambert (Toulouse)
• VI2 > Les limites de l’indication de la kinésithérapie dans le cadre d’une surinfection > Jacques Saugier (Oye-et-Pallet)
VI3 > Mycobacteries non tuberculeuses : quelles similitudes et différences avec M. tuberculosis ? > Louise Bondeelle (Paris)
• VI4 > Projets du groupe paramédical > Edith COPOL (Paris) – Non mis à disposition.
 

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Numéro 153 – octobre 2019

Accès abonnés

ÉDITORIAL
La réglementation des fumées suit des vents contraires, Nicolas Postel-Vinay

VIE DE LA SOCIÉTÉ
ERS/SPLF Sessions communes 2019
• La tuberculose sous toutes ses formes, Fatma Tritar
•  Coaching santé : un processus en cours d’évaluation avec son lot de résultats encourageants
— Transplantation pulmonaire : la médecine de précision espère prédire le CLAD — Génétique des pneumonies infiltrantes diffuses Clairelyne Dupin
•  Maladie veineuse thrombo-embolique : nouvelles recommandations — Recommandations de la prise en charge des apnées-hypopnées centrales de l’adulte — Stratégie de prise en charge de l’asthme allergique — Où en sommes-nous dans le dépistage du cancer bronchique ?
Aurélien Justet
• Réforme du 3e cycle des études médicales : les formations spécialisées transversales sont en place. Anne Bergeron

EN PRATIQUE
Prendre en charge les douleurs induites par les abords pleuraux : il est possible de mieux faire
Gilles Mangiapan

INITIATIVES
REPRAN : réseau pour faciliter la prise en charge des pathologies respiratoires professionnelles non cancéreuses en milieu agricole
Hélène Cleau-andré, Jean-Charles Dalphin, Jean-Jacques Laplante, Timothée Ducarroz

SANTÉ PUBLIQUE
Étude KBP-2020 : depuis 20 ans, le CPHG observe l’épidémiologie du cancer bronchique, et ce n’est pas fini, Didier Debieuvre
Rapport de l’OMS et cigarettes électroniques : une « faute de communication » ?, Nicolas Postel-Vinay

NTCI
Espaces de discussions sur Internet et sevrage tabagique : jugés à l’aune d’un essai randomisé, les « chats » montrent un intérêt, Philippe Éveillard

VIGILANCE
Quinolones et fluoroquinolones : ne plus les prescrire dans la bronchite aiguë ni dans les exacerbations de BPCO de sévérité légère à modérée — Néphropathie aux produits de contraste iodés : peu de risque pour les patients dont le DFG est supérieur à 30ml/min — Délivrance de nicotine via la e-cig : ce que la littérature décrit comme effets indésirables — Épidémie de maladies pulmonaires liées au vapotage : le BMJ du 10 septembre 2019 évoque 450 cas aux États-Unis Nicolas Postel-Vinay

CULTURE
Une église au milieu des sanatoriums : Notre- Dame-de-Toute-Grâce,
Jean-Pierre Orlando

 

LU POUR VOUS
Mésothéliomes : pas toujours d’origine professionnelle, surtout l’amiante mais aussi d’autres fibres et des rayons — E-cigarette : entre 2017 et 2018, les ados américains ont augmenté leur
consommation de 46 % — Épidémiologie de la rougeole en France : les pneumopathies constituent la première complication
Nicolas Postel-Vinay

COMMUNIQUÉS DE PRESSE
Médecine personnalisée dans la BPCO – Nouveaux horizons dans le traitement de
la fibrose pulmonaire – Étude INBUILD® – Cancer bronchique non à petites cellules n
Ivacaftor dans la mucoviscidose – Trois ans de survie avec Tagrisso®– Asthme sévère à
éosinophiles: moins d’exacerbations sous Nucala® – La trithérapie améliore la fonction
pulmonaire et réduit les exacerbations dans l’asthme n

ENCADRÉS
Les petites annonces
Congrès du Sommeil

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Appel à projets de recherche sur la mucoviscidose 2020 (AP2020)

out en renouvelant sa volonté de soutien à la RECHERCHE FONDAMENTALE, l’association encourage particulièrement les projets de :

  • RECHERCHE CLINIQUE pour le développement d’outils diagnostiques et de thérapeutiques innovantes,
  • SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES pour répondre aux problématiques des patients et améliorer leur qualité de vie.

L’association encourage par ailleurs les projets collaboratifs et finance toutes les thématiques concernant les patients atteints de mucoviscidose. Cette année, l’accent sera mis sur plusieurs problématiques stratégiques.

FOCUS sur les problématiques stratégiques :

  • Bien vieillir avec la mucoviscidose / comorbidités
  • Hémoptysie
  • Problématiques spécifiques aux patients greffés
  • Nouvelles thérapeutiques (nouvelles pistes, études en vie réelle)
  • Infection, microbiotes pulmonaire et digestif
  • Données du Registre français de la mucoviscidose
  • Intégration d’outils d’intelligence artificielle

CONSULTER L’INTEGRALITE DES RECOMMANDATIONS DU COMITE STRATEGIQUE POUR LA RECHERCHE (CSR) POUR L’AP2020.

ACCES AUX FORMULAIRES ET AUX RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES

 

Eligibilité des candidatures

  • Les demandes de financements doivent être portées par un personnel statutaire (salarié en CDI, du secteur public ou privé).
  • Un même laboratoire peut soumettre plusieurs projets, s’ils concernent des sujets différents et sont réalisés par des porteurs de projet différents. Une lettre du directeur du laboratoire est obligatoire pour justifier la pertinence et l’articulation entre ces différents projets dans le cadre de la stratégie de recherche du laboratoire.
  • Les équipes étrangères sont éligibles sous certaines conditions (voir la note « Politique de soutien aux équipes étrangères » téléchargeable ici).

► Les équipes ayant déjà bénéficié d’un financement doivent impérativement être à jour dans leur(s) rapport(s) d’activité et financier(s) lors de la soumission d’une nouvelle demande. La nouvelle demande doit s’accompagner de la liste des financements précédents et en cours, en tant qu’équipe principale ou associée.

Dispositif de financement

Les financements sont accordés pour une durée de 1 à 3 ans. Les soutiens sur 3 ans ne sont attribués que dans le cadre d’une thèse de doctorat.

► Les financements pluriannuels sont accordés exceptionnellement et leur demande doit être argumentée. Leur renouvellement est soumis à conditions : une demande de renouvellement, accompagnée d’un rapport financier et scientifique intermédiaire, est à soumettre systématiquement chaque année. Le rapport intermédiaire sera évalué par le Conseil Scientifique de l’association qui recommandera ou non le renouvellement du financement.

La demande de financement peut inclure :

  • du personnel en CDD (doctorants, post-doctorants, techniciens, ARC, etc.)
  • des frais de fonctionnement à détailler impérativement
  • des frais de mission (déplacements nécessaires au déroulement du projet, à argumenter)
  • des frais d’équipement uniquement s’ils sont détaillés et sur présentation du devis, dans la limite de 5 000 €. Seuls les équipements spécifiques de la problématique abordée et indispensables à la réalisation du projet pourront être pris en charge.
  • des frais de publication
  • des frais de participation à un congrès (limités à 1 500 €, prioritairement destinés à un jeune chercheur), à hauteur d’une participation par an et par projet, à condition que les résultats du projet financé y soient présentés.

NB : les frais de publications et de congrès sont accordés selon l’avancement du projet.

 

Modalités de candidature et calendrier

Les modalités de candidature varient selon le domaine de recherche. Merci de vous référer au document téléchargeable ici pour classer votre projet dans l’un des 3 domaines suivants : RECHERCHE FONDAMENTALE (RF), RECHERCHE CLINIQUE (RC) ou SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES (SHS).

► Les porteurs de projets RC et SHS doivent déposer une lettre d’intention ; les projets RF ne nécessitent pas de lettre d’intention.
Les porteurs de projets basés sur les données du Registre français de la mucoviscidose, doivent en informer le comité de pilotage du Registre en amont du dépôt de la lettre d’intention et transmettre un résumé du projet à l’adresse : registre@vaincrelamuco.org.

  • Mardi 15 octobre 2019 : lancement de l’Appel à projets et accès aux formulaires de dépôt des lettres d’intention (RC et SHS)
  • Lundi 18 Novembre 2019 (minuit) : date limite de dépôt des lettres d’intention
  • Vendredi 20 décembre 2019 : les recommandations sont adressées aux porteurs de projet ayant déposé une lettre d’intention
  • Vendredi 20 décembre 2019 : accès aux formulaires de soumission de projet en ligne pour tous les domaines de recherche (RF, RC et SHS)
  • Lundi 2 mars 2020 (minuit) : clôture de la plateforme de soumission en ligne
  • Juillet 2020 : communication de la décision du Conseil d’Administration aux porteurs de projet

RETROUVEZ LES DATES CLES DE L’APPEL A PROJETS CLIQUEZ ICI

Modalités d’expertise

Les lettres d’intention en RC et SHS seront examinées par le Bureau des Etudes Cliniques et en SHS, composé de parents, patients, experts en RC et SHS, dont certains membres du Conseil Scientifique (CS).
Tous les dossiers complets feront l’objet d’une expertise externe et d’une analyse par le CS de Vaincre la Mucoviscidose. En sus des nouveaux dossiers soumis en ligne, le CS prendra en considération :

  • Les rapports d’activités, scientifiques et financiers, clôturant d’éventuels précédents financements
  • Les expertises précédentes dans le cas où le projet aurait déjà fait l’objet d’une soumission
  • Les recommandations faisant suite à l’analyse des lettres d’intention en RC et SHS

Tous nos experts et membres du CS remplissent une déclaration de conflit d’intérêts et s’engagent à la confidentialité la plus stricte concernant les dossiers, les expertises auxquelles ils ont accès et les discussions en session plénière du CS.
Le porteur de projet peut, s’il le souhaite, suggérer les noms d’experts qu’il juge compétents pour étudier son dossier et signaler les noms des personnes qu’il estime en conflit d’intérêt.

Pour plus de renseignements sur le processus d’expertise et la composition de nos instances, voir les documents : « Compléments d’information » et « Composition du Conseil Scientifique ».
Pour en savoir plus sur notre gestion des données personnelles cliquez ici.

 

⇒ En savoir plus : découvrez les projets de recherche financés actuellement.
Contact : recherche@vaincrelamuco.org

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Formation à l’échographie thoracique pré CPLF

Formation à l’échographie thoracique le Jeudi 23 janvier 2020. 9h00-18h00. Hôpital Cochin,

L’échographie thoracique est devenue un outil indispensable au pneumologue.

Les preuves de son utilité majeure dans le guidage des procédures pleurales ne sont plus à démontrer et les recommandations internationales imposent le repérage écho avant chaque abord pleural.

Son utilité pour le diagnostic étiologique et le suivi des pleurésies, le diagnostic de pneumothorax post-procédure, le suivi des pneumothorax spontanée après surveillance ou traitement, le diagnostic de pneumonie aux urgences, l’évaluation du diaphragme ou l’abord d’une masse tumorale périphérique est maintenant bien reconnue.

Encore faut-il être correctement formé pour découvrir et utiliser tous ces aspects de l’échographie thoracique.

Le G-ECHO propose depuis quatre ans des formations adaptées à la pratique pneumologique en France et  dans le monde.

Le G-ECHO vous propose à nouveau une formation en satellite du CPLF, le jeudi 23 Janvier, à l‘Hôpital Cochin.  Inscrivez- vous rapidement, les places sont limitées.

Au plaisir de vous accueillir lors de cette journée de formation

Gilles Mangiapan

Coordonnateur du G-ECHO

[themify_button bgcolor=”blue” link=”https://splf.fr/wp-content/uploads/2019/09/Inscription-G-echo-23janvier2020.docx”]Bulletin d’inscription[/themify_button]

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Vaccin grippal saisonnier 2019-2020 : généralisation de la vaccination contre la grippe par les pharmaciens d’officine

Cette année la simplification du circuit d’obtention du vaccin pour certains adultes se poursuit. Si la liste des personnes pour lesquelles la vaccination antigrippale est recommandée avec prise en charge du
vaccin à 100 % par la Sécurité sociale en France est inchangée depuis la saison 2013-2014, il devient plus facile pour les patients de se faire vacciner. En 2019, en France, outre les médecins, divers soignants sont
autorisés à vacciner contre la grippe les personnes concernées par les recommandations en vigueur. Les sages-femmes sont autorisées à vacciner les femmes enceintes et l’entourage du nourrisson.
Les infirmiers et pharmaciens d’officine sont autorisés à vacciner.
Ces personnes, quand elles sont âgées de plus de 18 ans, peuvent obtenir gratuitement le vaccin directement dans une officine, en présentant le bon de prise en charge de l’assurance maladie. C’était déjà le cas pour les personnes qui avaient été vaccinées auparavant. Depuis octobre 2018, c’est aussi le cas pour une première vaccination antigrippale. Le bon de prise en charge peut être aussi obtenu auprès d’un médecin, d’une sage-femme ou d’un pharmacien d’officine, le formulaire vierge étant téléchargeable sur le site internet de l’assurance maladie. Attention, chez les enfants et les adolescents ayant reçu un bon de prise en charge du fait des recommandations, une prescription médicale reste nécessaire pour obtenir le vaccin gratuitement.
[hr]

InfoRespiration N°152– Août-septembre 2019

Ministère des Solidarités et de la Santé. Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2019 : 73 pages.

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DIU Spécialité en kinésithérapie mention kinésithérapie respiratoire et cardiovasculaire

Objectifs

Donner une spécialisation en kinésithérapie aux kinésithérapeutes diplômés d’État.
Nous proposons trois spécialités :
• Kinésithérapie respiratoire et cardio-vasculaire
• Kinésithérapie pédiatrique
• Kinésithérapie du sport

Public et condition d’admission

• Kinésithérapeutes titulaires d’un diplôme d’Etat français ou étranger
• Kinésithérapeutes titulaires d’un diplôme jugé équivalent par la Commission Pédagogique

Programme et validation

Le programme de chaque spécialité (184 heures) est divisé en séminaires : un module commun, des séminaires spécialisés (de 2 à 5 jours), un stage pratique.

Informations pratiques

UNIVERSITE PARIS DESCARTES

Faculté de Médecine
15, rue de l’Ecole de Médecine
75006 PARIS

Public concerné :

Formation continue

Forme de l’enseignement :

Enseignement en présentiel

Durée :8 séminaires de 2 ou 3 jours de décembre à juin

Crédits ECTS

0

Informations sous toutes réserves

Programme

8 séminaires de 2 ou 3 jours de décembre à juin en présentiel

  • 1 module de méthodologie avec référentiels en kinésithérapie, consensus et recommandations centré sur les modalités pratiques de réaliser une étude ou un projet d’étude
  • 1 module sur les fondamentaux de la kinésithérapie
  • 6 modules sur la kinésithérapie spécialisée en BPCO, troubles de la mécanique externe, IRC/IRCG IRCG et la réhabilitation respiratoire à l’effort, Cœur et réadaptation cardio-vasculaire, les pathologies courantes artérielles, veineuses et lymphatiques et réanimation avec théorie et pratique (film, sur soi, avec matériel, sur site comme par exemple pour le lymphoedème à l’hôpital Cognac Jay).

Responsables de la formation

RESPONSABLE SCIENTIFIQUE : Nicolas ROCHE
RESPONSABLE DE FORMATION (SCFC) : Dominique FREGOSI

Responsables scientifiques et pédagogiques :

• Nicolas ROCHE
• Anne BISSERIER
• François-Xavier FERREY
• Alain FREY

 

Renseignement et inscription

RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTIONS
• Service Commun de Formation Continue de l’Université Paris Descartes Faculté de Médecine Cochin Port-Royal
24, rue du Fb St Jacques – 75014 PARIS : 33 (0)1 53 10 46 27

http://www.scfc.parisdescartes.fr/

Secrétariat pédagogique

Votre contact pour toute information pédagogique :

Modalités de candidature pédagogique, programme détaillé, lieu de cours, etc.
Courriel : hortense.costerg@aphp.fr

Coordination pédagogique

Anne Bisserier
Courriel : anne.bisserier@gmail.com

 

 

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Journée mondiale sans tabac

 

BEH mai 2019

Lire le communiquée de presse (28/05/2019)

Voir d’autres recommandations et textes sur le tabac :

Journée mondiale sans tabac Lire la suite »

Vidéoconférences CPLF 2019

Abonnez-vous aux podcasts du CPLF

logo_podcast https://podcasts.apple.com/fr/podcast/les-conférences-du-cplf/id1256491871

 https://docs.splf.fr/videos/CPLF/conferences-CPLF.xml

Les vidéos du CPLF 2019 sont désormais ouvertes à toutes et tous.

>>> Pour visionner une vidéo cliquer sur le titre de la présentation.

Fil rouge

BPCO

A02 – Déterminants précoces de la BPCO

Session organisée par le Groupe Fonction
La BPCO, maladie de vieux messieurs fumeurs ? L’altération de la fonction respiratoire commence très tôt, souvent avant la naissance. Le retard de croissance des bronches, les défauts de maturation de l’appareil respiratoire, le déséquilibre de la flore bronchique et l’exposition précoce aux irritants et virus incriminés dans les sifflements de la petite enfance, sont pareillement responsables de l’installation du déficit ventilatoire dès les premiers mois de vie

PRÉSIDENT(S)
DELACOURT Christophe, Paris
BOYER Laurent, Creteil

A03 – Réhabilitation et BPCO : focus pratique

Session commune : Groupe Alvéole
La réhabilitation respiratoire est une prise en charge non médicamenteuse incontournable des patients présentant une maladie respiratoire chronique à l’origine d’une intolérance à l’exercice. Bien que la Cochrane littérature ait décidé de stopper toutes les études sur les bénéfices de cette prise en charge, tant elle est evidence base medecine, les patients en bénéficient encore trop peu. Existe-t-il des barrières à sa prescription, à sa réalisation? Quel peut-être le bénéfice pour le payeur de cette prise en charge, qui à priori se rajoute au coup des traitements médicamenteux et soins usuels? le développement de la réhabilitation respiratoire au domicile des patients, peut-il être une réponse à ces questions ? Cette session abordera largement ces questions et essayera d’y apporter des réponses pratiques.

PRÉSIDENT(S)
VILLIOT-DANGER Estelle, Briançon
COSTES Frédéric, Clermont-Ferrand

A06 – Patient atteint de BPCO : missions complémentaires du MG et du pneumologue

La BPCO est une maladie fréquente, grave, handicapante qui ne bénéficie actuellement que d’un traitement symptomatique. Son coût social et financier reste important, essentiellement lié aux coûts des prises en charge des exacerbations et des comorbidités associées. Malgré tous ces éléments, elle reste une pathologie largement sous détectée en médecine générale. Repérée, son parcours de soins reste parfois chaotique, nécessitant la coordination de plusieurs acteurs de soins. Les multiples comorbidités associées sont autant d’éléments qui compliquent sa prise en charge, nécessitant parfois de hiérarchiser les prises en charge des situations complexes. Les expériences de terrain viendront enrichir la discussion d’une indispensable détection des patients présentant une BPCO, et d’une indispensable prise en charge dans un parcours de soins établi, partagé entre médecine générale et médecine de spécialité.

PRÉSIDENT(S)
HOUSSET Bruno, Créteil
RECORBET Guy, Marseille

A08 –  La BPCO de la femme

Session organisée par le Groupe Femmes et poumon
La prévalence de la BPCO augmente chez les femmes, avec une présentation phénotypique différente. Les femmes BPCO ont des particularités cliniques, ainsi qu’un sous diagnostic des comorbidités associées cardio-vasculaires. L’objectif de la session est de faire le point sur les nouveautés concernant la BPCO de la femme, et de discuter les bénéfices d’une approche personnalisée.

PRÉSIDENT(S)
RAHARIMANANA Rondro Nirina, Madagascar
NOCENT-EJNAINI Cécilia, Bayonne

A09 – Circulation pulmonaire et BPCO

Session organisée par le groupe Circulation pulmonaire et interactions cœur-poumons
L’évaluation de la fonction cardiaque dans la BPCO, stable ou décompensée, est indispensable pour faire la part entre retentissement sur la circulation pulmonaire et atteinte du cœur gauche. Les patients atteints de BPCO sévère ont un risque accru de MVTE mais son impact sur la mortalité de ces patients était jusqu’à présent controversé. Enfin, l’hypertension pulmonaire au cours de la BPCO, souvent modérée, peut être sévère et sa prise en charge thérapeutique reste encore mal codifiée.

PRÉSIDENT(S)
SANCHEZ Olivier, Paris
LAMIA Bouchra, Rouen – Le Havre

A16 – Les exacerbations de BPCO, prévenir et guérir

Les exacerbateurs fréquents constituent une proportion significative des patients BPCO, justifiant une prise en charge spécifique en sus de l’optimisation du traitement pharmacologique de fond. Des facteurs prédictifs d’exacerbations fréquentes ont été identifiés récemment. Les plans d’action individualisés, encore peu utilisés, ont une place dans leur prise en charge. Les objets connectés pourraient faciliter la détection précoce des exacerbations.

PRÉSIDENT(S)
DRES Martin, Paris
KHAYAT Georges, Beyrouth

A20 – VNI et forme grave de la BPCO en pneumologie

Session organisée par le groupe GAV, en collaboration avec la SRLF
Si les indications de la ventilation non invasive (VNI) sont bien codifiées au cours des exacerbations aiguës de BPCO, plusieurs points importants, régulièrement discutés, ont fait l’objet d’évolutions récentes dont la définition des situations permettant de faire de la VNI en salle et de celles imposant le transfert en soins intensifs, l’intérêt et la place des nouveaux modes et supports ventilatoires et les critères pour poursuivre une VNI après une exacerbation.

PRÉSIDENT(S)
VOIRIOT Guillaume, Paris
PERRIN Christophe, Monaco

A23 – Cancer bronchique et BPCO

Session commune : Groupe GOLF
Comment la BPCO modifie-t-elle la prise en charge des cancers bronchiques ? Cette session posera d’abord la question du dépistage du cancer bronchique chez les patients atteints de BPCO, facteur de risque de cancer indépendant du tabac. Elle s’intéressera dans un deuxième temps aux possibilités de traitement en cas de cancer localisé, en abordant les limites de la chirurgie thoracique et les alternatives thérapeutiques.

PRÉSIDENT(S)
CORTOT Alexis, Lille
PAOLI Jean-Baptiste, Marseille

A26 – BPCO du non fumeur vs BPCO « classique » : similitudes et différences, de la physiopathologie au traitement

Session commune : Groupe PAPPEI
Les facteurs de risque environnementaux autre que le tabagisme actif, associés à la survenue d’une BPCO ont longtemps été négligés. Que nous dit la littérature récente sur les nouvelles expositions professionnelles ? Sur l’impact de l’exposition à la biomasse dès le plus jeune âge, et sur les effets à court terme et à long terme de pollution atmosphérique ?

PRÉSIDENT(S)
DALPHIN Jean-Charles, Besançon
BEN ALI Kamel, Annaba

A29  – Emphysème : vers de nouvelles stratégies de prise en charge ?

Session commune : Groupe GELF/Société d’Imagerie Thoracique
L’emphysème pulmonaire est une des composantes de la BPCO tabagique. En dehors de l’intérêt dans la compréhension physiopathologique de la maladie, la présence d’un emphysème modifie-t-elle réellement la prise en charge de nos patients. Cette session a pour but de faire l’état des lieux sur l’évaluation des patients : clinique, fonctionnelle et radiologique et de voir l’intérêt des techniques développées ces dernières années pour orienter des thérapeutiques spécifiques. En effet, s’il n’y a pas eu beaucoup d’essais de traitement médicamenteux de l’emphysème, une explosion de techniques chirurgicales ou endoscopiques a été décrite ces dernières années pour réduire le volume pulmonaire. Une mise au point sera faite sur ces techniques de réduction volumique, chirurgicale ou médicale.

PRÉSIDENT(S)
MAL Hervé, Clichy
GAUBERT Jean-Yves, Marseille

A30 –  Phénotypage de la BPCO

Session organisée par le groupe G2A
Des phénotypes de la BPCO sont reconnus : le déficit en alpha1-antitrypsine, l’emphysème hétérogène des sommets avec obstruction bronchique sévère, et le phénotype exacerbateur fréquent. D’autres phénotypes de BPCO tirés de cohortes observationnelles ont été proposés en associant une caractérisation clinique des patients ou des biomarqueurs génétiques, biologiques ou d’imagerie. Quelle est leur pertinence clinique ? Est-ce que l’éosinophilie sera le biomarqueur de la BPCO dans l’avenir, pouvant notamment guider l’utilisation des corticoïdes inhalés ? Enfin, l’ACO(S) très à la mode il y a peu, est-il encore d’actualité ?

PRÉSIDENT(S)
CHENIVESSE Cécile, Lille
LEMAIRE Bertrand, Orléans

A32 – Symptômes et obstruction bronchique dans la BPCO : les formes discordantes

Les questionnaires standardisés pour évaluer l’impact de la maladie sur le handicap et la qualité de vie sont loin d’être utilisés systématiquement, malgré leur pertinence. Les symptômes bronchiques sont parfois abusivement rattachés à la BPCO seule ou au tabac. Enfin le concept de BPCO précoce (early COPD), récent, est une réalité dans les études de cohortes mais sa pertinence clinique reste discutée, tout comme les modalités de sa prise en charge.

PRÉSIDENT(S)
PINET Christophe, Ollioules
MIHALTAN Florin, Bucarest

A36  – Comorbidités et BPCO

Les patients atteints de BPCO présentent dans la majorité des cas des co-morbidités, volontiers méconnues et à l’origine de symptômes communs ou qui interfèrent avec ceux de la BPCO. Les co-morbidités cardiométaboliques, l’ostéoporose et les syndromes anxiodépressifs sont particulièrement fréquents. Leur diagnostic précoce et leur prise en charge adaptée améliorent les symptômes, la qualité de vie, et l’efficacité de la réhabilitation respiratoire avec un impact pronostique.

PRÉSIDENT(S)
BAHLAOUI Abdelkrim, Casablanca
PEGLIASCO Hervé, Marseille

A39  – Parler de soins palliatifs à un malade atteint de BPCO ?

Session en collaboration avec : Groupe DYSPNEE
La prise en charge des patients atteints de BPCO évoluée comprend naturellement une dimension palliative, incluant mais ne se limitant pas aux contextes d’urgence. L’anticipation de ces situations multiples facilite un accompagnement optimal du patient qui va bénéficier notamment d’un meilleur traitement de sa dyspnée.

PRÉSIDENT(S)
PORTEL Laurent, Libourne
STELIANIDES Sandrine, Paris

A40  – Physiopathologie de la BPCO : dessiner les traitements de demain

Groupe J2R
Cette session propose d’illustrer dans trois domaines différents, le vieillissement accéléré, l’inflammation et la régénération des pistes thérapeutiques du futur. De nombreux arguments suggèrent que le processus de sénescence cellulaire intervient dans la physiopathologie des remaniements structuraux et l’inflammation dans la BPCO. Ralentir ce processus de sénescence pourrait diminuer les altérations pulmonaires et les manifestations systémiques de la maladie. Des données récentes suggèrent que la synthèse de plusieurs interleukines iL-17 il-22, facteurs clés dans le contrôle des infections bactériennes et fongiques, est défective an cours des BPCO, conséquence de l’exposition du tabac, et de l’inflammation chronique. Enfin, la découverte de cellules souches pluripotentes a révolutionné l’approche physiopathologique de nombreuses maladies et permet d’entrevoir la production de cellules des voies aériennes en vue d’une régénération de bronches dans les maladies bronchiques chroniques.

PRÉSIDENT(S)
MAITRE Bernard, Créteil
VACHIER Isabelle, Montpellier

A43 – Prise en charge médicamenteuse des BPCO

Les analyses de pratiques montrent des discordances entre recommandations (GOLD, SPLF)  et prescriptions dans la BPCO. Quelles sont les données actuelles sur le rapport bénéfices/ risques des macrolides chez les exacerbateurs fréquents ? Plusieurs études publiées en 2018 ont évalué les associations triples « fixes », avec des critères d’inclusion très variables. Faut-il pour autant élargir la place des traitements triples dans la stratégie thérapeutique ?

PRÉSIDENT(S)
PADOVANI Mireille, Six-Fours-Les-Plages
BUTENDA-BABAPU Dominique, Yvoir

A46 – Les malades de pneumologie : acteurs de santé incontournables

Session commune : FFAAIR – Groupe GAV
La place des patients comme acteurs de santé, favorisée par l’éducation thérapeutique et leur regroupement au sein d’associations de patients, est reconnue. Les liens avec les soignants
facilitent la mise en œuvre des déplacements des patients sous oxygénothérapie et des séjours de réhabilitation respiratoire. Parmi les acteurs de santé, les compétences du patient expert lui confèrent une place particulière que chacun doit connaître.

PRÉSIDENT(S)
GONZALEZ-BERMEJO Jésus, Paris
WISS Marie-Agnès, Mulhouse

Oxygénothérapie et voyage – DUPUIS Marion, Toulouse
Comment organiser son séjour en réhabilitation respiratoire ? – BERNADY Alain, Cambo-Les-Bains
La place du patient expert – HENRIOT Marie, Paris

A47  – Dyspnée et BPCO : des mécanismes à la prise en charge

Session organisée par le groupe Dyspnée
Les déterminants de la dyspnée sont multiples dans la BPCO, intégrant le retentissement systémique de la maladie et les comorbidités en particulier cardiaques. A côté de l’EFR de repos, d’autres examens dont l’EFX sont très souvent utiles. La prise en charge de la dyspnée ne se limite pas aux bronchodilatateurs, les traitements pharmacologiques et non pharmacologiques ciblant les mécanismes de la dyspnée (notamment la composante affective) ont une place croissante.

PRÉSIDENT(S)
MORELOT-PANZINI Capucine, Paris
PALOT Alain, Marseille

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Granulomatoses

A04  – Granulomes : revenons aux fondamentaux

Session en collaboration avec : Société d’Imagerie Thoracique
Pour mieux comprendre les granulomatoses et leur prise en charge diagnostique et thérapeutique cette session a pour objectif de revenir aux fondamentaux. Le premier exposé rappellera la définition des lésions granulomateuses et leur physiopathologie en fonction du type cellulaire prédominant. Ensuite un exposé permettra de décrire les lésions élémentaires radiologiques et leur topographie en fonction des différents compartiments du poumon (vaisseaux, bronches, lymphatiques). Pour finir une approche diagnostique sera proposée permettant aux pneumologues non spécialistes d’orienter les premières investigations.

PRÉSIDENT(S)
THUMERELLE Caroline, Lille
VALEYRE Dominique, Bobigny

A11 – Granulome et infections en dehors des sentiers battus

Session organisée par le groupe GREPI
Quand on pense granulome et infection, on pense mycobactérie.. Et pourtant ce ne sont pas
les seules causes infectieuses de granulome..parasitoses, mycoses, autres infections
bactériennes peuvent en être responsable! Et il ne faut pas oublier que les maladies
granulomateuses « non infectieuses », comme la sarcoïdose, peuvent aussi se compliquer
d’infections respiratoires… ce qui peut compliquer la prise en charge !

PRÉSIDENT(S)
KOUASSI Boko Alexandre, Abidjan
DOUADI Youcef, Saint-Quentin

A17  – Mycobactéries : chercher l’atypie

Les infections à mycobactéries restent un véritable problème que ce soit en terme de diagnostic ou de prise en charge. La session permettra de faire le point sur la prise en charge des infections à mycobactéries non tuberculeuses, mais aussi faire le point sur une infection liée à une mycobactérie du complexe tuberculosis : la BCGite, infection pas si rare puisqu’une épidémie a été mise en évidence récemment.

PRÉSIDENT(S)
CATHERINOT Emilie, Suresnes
BLANC François-Xavier, Nantes

A18  – Les granulomatoses systémiques : les grands classiques revisités

La granulomatose systémique est caractérisée par l’atteinte de plusieurs organes voire de tout l’organisme. Dans cette session seront abordés quelques grands classiques de la granulomatose systémique incluant Granulomatose à éosinophiles avec polyangéite, autrefois appelée syndrome de Churg et Strauss et son lien très fort à l’asthme corticodépendant,
la Granulomatose avec polyangéite (ou maladie de Wegener), vascularite systémique caractérisée par une localisation oto-rhino-laryngologique et pulmonaire prédominante. Enfin nous parlerons de la granulomatose septique découverte le plus souvent dans les premiers mois de la vie mais parfois plus tardivement.

PRÉSIDENT(S)
BLANCHARD Elodie, Bordeaux
BERGOT Emmanuel, Caen

A22 – Tuberculose : questions d’actualité

Session en collaboration avec SP2A
La tuberculose reste une maladie d’actualité et peut poser au pneumologue des questions au quotidien, comme la conduite à tenir vis à vis des enfants d’un patient tuberculeux. D’autre part, la fin de l’obligation vaccinale a pu changer le visage de la tuberculose. Enfin, cette session aborde la prise en charge des formes résistantes aux antituberculeux de première ligne, problème émergent dans notre pays.

PRÉSIDENT(S)
FRAISSE Philippe, Strasbourg
TRITAR Fatma, Tunis

A25 – Les autres granulomatoses systémiques

Le type de granulome le plus fréquemment rencontré est le granulome épithélioïde et gigantocellulaire pouvant correspondre notamment à des étiologies infectieuses et à la sarcoïdose. Un grand nombre d’autres granulomatoses peut cependant être observé et le pneumologue doit être à l’aise avec ces diagnostics incluant les granulomatoses à corps étrangers et le déficit immunitaire commun variable qu’il faut savoir dépister en 2019. Il faut également pouvoir évoquer l’étiologie iatrogénique et ceci revêt toute son importance avec le développement de l’immunothérapie des cancers.

PRÉSIDENT(S)
VALEYRE Dominique, Bobigny
LEBARGY François, Reims

A28 – Comment diagnostiquer et explorer une sarcoïdose ?

La sarcoïdose est un classique de la maladie granulomateuse. Malgré tous les travaux conduits à ce jour, il persiste des questionnements notamment relatifs au diagnostic et au traitement de cette pathologie. Quels sont les meilleurs examens pour le diagnostic de l’atteinte pulmonaire et dans quel ordre doivent-ils être conduits. Quelle traitements et quand les débuter. C’est à ces questions que s’attacheront à répondre les orateurs de cette session.

PRÉSIDENT(S)
DESRUES Benoît, Rennes
BEN KHEDER Ali, Ariana

A35 –  Histiocytose de Langherans

L’histiocytose langerhansienne est une maladie avec une atteinte pluriviscerale rassemblée sous le nom d’histiocytose X en 1953 par un pathologiste dénommé Lichtenstein. Le ‘X’ a été enlevé au début des années 1960 par 2 auteurs français, Mme Basset, M. Nezelof, qui ont rattaché cette histiocytose à la cellule de Langerhans. L’atteinte pulmonaire, très liée au tabagisme chez l’adulte existe également chez l’enfant avec cependant quelques particularités. La découverte récente du lien avec l’oncogène B raf a permis de progresser dans la compréhension de cette maladie et d’envisager de nouvelles approches thérapeutiques qui seront développées par les orateurs.

PRÉSIDENT(S)
HADCHOUEL Alice, Paris
COUDERC Louis-Jean, Suresnes

A37 – Des granulomes dans les voies aériennes ?

Session organisée par le groupe G2A
Les granulomatoses des voies aériennes constituent un groupe hétérogène de maladies pulmonaires qui vont de la classique maladie de Wegener récemment renommée granulomatose avec polyangéite en raison du passé trouble de son « inventeur » à la granulomatose bronchocentrique qui est à la pneumologie ce que Nessie est au Loch Ness . Sans oublier des causes plus classiques comme la sarcoïdose ou autre syndrome de Churg et Strauss également rebaptisé granulomatose éosinophilique avec polyangéite. Dans ces pathologies l’atteinte respiratoire qu’elle touche les voies aériennes hautes ou basses peut présenter un intérêt diagnostique mais aussi conditionner une prise en charge spécifique. Gageons que cette session multidisciplinaire devrait permettre aux participants de mieux s’y retrouver dans ce melting pot de pathologies dont l’unité repose sur une signature histologique commune qu’est la présence de granulomes épithélioïdes et giganto cellulaires dans les voies aériennes.

PRÉSIDENT(S)
VERGNON Jean-Michel, Saint-Etienne
DUTAU Hervé, Marseille

A44 – Traitement de la sarcoïdose

L’évolution de la sarcoïdose peut se faire vers la résolution spontanée et ne nécessiter aucun traitement ou le passage à la chronicité. Dans les formes chroniques de la sarcoïdose les malades peuvent rester totalement asymptomatique et ne pas entrainer de lésion fonctionnelle de l’organe touché. En revanche, certaines poussées peuvent justifier d’un traitement du fait
de la gêne fonctionnelle qu’elles entrainent, mais également du fait du risque vital. Cette session aura donc pour objectif de préciser les indications et les principes thérapeutiques de la sarcoïdose dans un premier temps. Ensuite seront abordées les particularités de prise en charge chez l’enfant et les options thérapeutiques en cas de corticorésistance.

PRÉSIDENT(S)
ISRAEL-BIET Dominique, Paris
DELCLAUX Bertrand, Troyes

© SPLF MAJ 28/02/2019

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Prise en charge des épanchements pleuraux néoplasiques : suivez le guide !

 

L’épanchement pleural néoplasique (EPN) est un problème très fréquent pour le pneumologue (125 000 admissions par an aux États-Unis). Sa prise en charge doit prendre en compte le fait que l’EPN est associé à un pronostic à moyen terme très médiocre avec, notamment, une médiane de survie de 70 jours en cas d’EPN lié à un cancer bronchopulmonaire. Des recommandations de prise en charge sont rendues nécessaires par la constatation de pratiques très variées. Celles de l’ERS ont été publiées en 2018. 1 Des recommandations de pratique clinique ont été également formulées par l’ATS, publiées fin 2018 2

Au cours d’une session résumant les recommandations ATS récentes de pratique clinique, D.J. Feller-Kopman (Baltimore, Maryland, États-Unis) a résumé les principales recommandations en la matière. Le panel d’experts s’est prononcé avec un faible niveau de recommandations en faveur de :

  1. la pratique du repérage échographique lors de la thoracocentèse ;
  2. ne pas faire d’intervention pleurale chez le patient asymptomatique ;
  3. l’utilisation d’un cathéter tunnellisé ou d’une pleurodèse chimique chez le patient avec EPN symptomatique en l’absence de poumon « trappé », c’est-à-dire sans expansion après évacuation pleurale (environ 30 % des cas) ;
  4. l’évacuation la plus complète possible de la plèvre lors de la thoracocentèse pour apprécier la réponse sur les symptômes et la qualité de l’expansion pulmonaire ;
  5. l’utilisation indifféremment de la pulvérisation de talc (poudrage) ou du talcage par le drain en cas de pleurodèse chimique ;
  6. choisir le cathéter tunnellisé plutôt que la pleurodèse chimique chez le patient avec mauvaise réexpansion pulmonaire ou échec de la pleurodèse ;
  7. traiter par antibiotiques en maintenant en place le cathéter tunnellisé en cas d’infection pleurale.

Le panel d’experts propose de réserver l’ablation du cathéter aux cas d’échec du traitement.

Ces recommandations, qui ne sont pas superposables à celles de l’ERS, sont intéressantes pour le clinicien car elles sont simples. Elles sont, néanmoins, susceptibles d’évoluer rapidement à la faveur des résultats d’études contrôlées à venir.

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Hervé Mal, service de pneumologie et transplantation pulmonaire, hôpital Bichat

D’après la communication de DJ Feller-Kopman : management of malignant pleural effusions. Session C92

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© iSPLF – Mission ATS – MAI 2019

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