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Transplantation pulmonaire chez les patients sous traitements antifibrosants : des données rassurantes

 

Parmi les options thérapeutiques validées chez les patients atteints de fibrose pulmonaire idiopathique figurent le traitement antifibrosant et la transplantation pulmonaire. Malgré l’absence de données objectives disponibles, une question récurrente est celle de l’interférence potentielle des traitements antifibrosants (nintédanib et à un moindre degré pirfénidone) avec le processus de cicatrisation tissulaire, notamment bronchique, après transplantation. Par voie de conséquence se pose donc la question de l’arrêt de ces traitements chez les patients inscrits sur liste de transplantation pulmonaire. Un abstract émanant d’une équipe de Philadelphie apporte des renseignements importants en la matière.

L’étude a porté sur 108 patients transplantés en 2015 et 2016. Parmi ceux-ci, 33 avaient encore un traitement antifibrosant au moment de la transplantation (pirfénidone n = 28, nintédanib n = 5). Une déhiscence bronchique a été notée chez 5 patients (incidence de 0 %, 3,6 % et 4 % chez les patients sous nintédanib, pirfénidone et sans traitement antifibrosant, respectivement). Par ailleurs, les traitements antifibrosants n’ont pas été associés à une incidence augmentée de saignement postopératoire. Il s’agit bien sûr d’une étude rétrospective en provenance d’un seul centre mais ces données sont d’ores et déjà très rassurantes. Elles plaident contre l’arrêt du traitement antifibrosant au moment de l’inscription sur liste de transplantation.

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Hervé Mal, hôpital Bichat, Paris

D’après la communication au cours de la session A102 : Shapiro, M. Butler-LeBair, Y. Toyoda, G.J. Criner, F. Cordova. Am J Respir Crit Care Med 2017 ; 195 : A2696.

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Défaillance de la source de lumière froide lors de l’endoscopie bronchique : MacGyver à la rescousse

 

Tout pneumologue a été confronté à une défaillance électrique du système pourvoyeur de lumière froide lors d’une endoscopie. Un poster émanant d’un auteur indien astucieux adepte du système D rapportait dans un abstract un moyen très simple d’y faire face.

L’auteur a rapporté le cas d’une défaillance électrique de la source de lumière survenue au cours d’un acte d’endoscopie. Il a placé l’extrémité du câble de connexion lumineuse du fibroscope directement au contact de la source de lumière de son smartphone de série dont la fonction « torche électrique » était enclenchée et a pu terminer son examen dans de bonnes conditions de vision. Le smartphone peut donc représenter une source de lumière alternative à garder en mémoire, sous réserve qu’une autre paire de mains soit disponible.

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Hervé Mal, hôpital Bichat, Paris

D’après la communication au cours de la session A45 : Deshmukh. Am J Respir Crit Care Med 2017 ; 195 : 1675.

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Discussion multidisciplinaire : le débat continue…

 

Le diagnostic des pneumopathies interstitielles diffuses (PID) nécessite souvent le recours à une discussion multidisciplinaire (DMD). Parmi elles, la fibrose pulmonaire idiopathique (FPI) bénéficie de critères diagnostiques bien identifiés.

 

La fibrose pulmonaire idiopathique (FPI) se différencie des autres PID par une mortalité très élevée dans les 3 à 5 ans qui suivent son diagnostic. Depuis les recommandations de 2011 il a été simplifié en définissant un bilan étiologique minimal et des critères TDM précis.1

Une étude multicentrique menée auprès de 275 pneumologues (dont 28 experts dans la prise en charge des pneumopathies interstitielles diffuses) exerçant dans 54 pays différents a comparé la relation entre la mortalité et un diagnostic de FPI fait individuellement par chaque pneumologue après avoir revu successivement 60 dossiers.2 Seize mille cinq cents diagnostics ont ainsi été posés dont la FPI dans 26 % des cas.

Parmi les experts, le diagnostic de FPI était relié à la mortalité dans la majorité (93 %) des cas (OR 4,01 ; 3,28-4,6). Dans le groupe des pneumologues non experts, le diagnostic de FPI est en rapport avec la mortalité dans 79 % des cas (OR 3,5 ; 2,90-4,38).

La comparaison entre les groupes montre une meilleure corrélation entre diagnostic de FPI et mortalité chez les experts versus les pneumologues non experts et chez ceux travaillant dans un établissement universitaire.

Par ailleurs, la relation entre le diagnostic de FPI et la mortalité n’est pas améliorée lorsque les praticiens assistent de façon hebdomadaire à une DMD ou bien s’ils ont été assistants dans un centre expert en PID.

Ces résultats montrent que la majorité des pneumologues savent poser le diagnostic de FPI ayant un impact sur la mortalité. Cependant, les critères diagnostiques TDM de FPI ne sont pas facilement reproductibles.3

Une étude monocentrique menée par un centre expert britannique a comparé le diagnostic de FPI lorsqu’il est fait en suivant les recommandations ATS ou bien lors de leur discussion multidisciplinaire.4 Quatre cent cinq patients ont été inclus entre 2012 et 2013. Le diagnostic de FPI était retenu chez 56 patients lorsqu’on appliquait les critères internationaux et 157 cas supplémentaires étaient identifiés lors des DMD. La survie des patients était significativement moins bonne lorsque le diagnostic de FPI était retenu, quel que soit l’algorithme utilisé. Quelle que soit la méthode diagnostique utilisée, une dégradation fonctionnelle comparable était observée dans les deux groupes, soulignant à nouveau les limites des critères diagnostiques. La discussion peut continuer…

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Diane Bouvry, hôpital Avicenne, Bobigny

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Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique : évitons les curares en cas de pneumopathie !

 

Les curares font partie de l’arsenal thérapeutique dans l’insuffisance respiratoire aiguë (IRA) hypoxémique évoluée au stade de syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA). Ils permettent d’éviter ou de limiter le risque de lésions pulmonaires induites par la ventilation mécanique invasive, avec un bénéfice potentiel sur la survie lorsqu’ils sont utilisés au cours des 24-48 premières heures de l’évolution d’un SDRA. Néanmoins, les curares ont des effets délétères notamment sur la clairance mucociliaire dont la fonction s’avère essentielle au cours des pneumopathies.

Une étude de cohorte sur la base de données menée d’octobre 2014 à avril 2015 a ainsi comparé les effets des curares sur le devenir de 196 patients atteints de SDRA (rapport PaO2/FiO2 < 300 mmHg) en rapport (n = 125) ou non (n = 71) avec une pneumopathie. Trente-trois patients (26 %) du groupe SDRA avec pneumopathie contre 13 patients (18 %) du groupe sans pneumopathie recevaient des curares. L’odds-ratio pour la mortalité observée associée à l’utilisation de curares était de 3,18 (intervalle de confiance à 95 % : 1,40-7,24 ; p = 0,006) en cas de pneumopathie et de 0,89 (IC95 % : 0,26-3,04 ; p = 0,85) en l’absence de pneumopathie. Après contrôle des données démographiques, des paramètres ventilatoires et des comorbidités par régression logistique, l’odds-ratio ajusté était retrouvé respectivement à 2,77 (IC95 % : 1,05-7 ,30 ; p = 0,04) et 0,75 (IC95 % : 0,12-4,58 ; p = 0,76).

Les curares apparaissent donc susceptibles d’impacter le bénéfice attendu en termes de survie chez les patients selon que l’étiologie du SDRA est en rapport ou non avec une pneumopathie infectieuse. Il n’en reste pas moins que les pneumopathies sont souvent à l’origine des SDRA les plus sévères (rapport PaO2/FiO2 < 100 mmHg) pour lesquels il peut s’avérer difficile de se passer d’une curarisation initiale. Dans l’attente d’études prospectives complémentaires, il convient donc probablement d’être prudent dans le recours aux curares au cours des pneumopathies sévères évoluées au stade de SDRA, tout au moins dans leur durée d’utilisation.

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Christophe Girault, hôpital Charles Nicolle, CHU-Hôpitaux de Rouen

D’après la communication de Ruan S, et al. Neuromuscular blockers in pneumonia and non-pneumonia related hypoxemic respiratory failure. Am J Respir Crit Care Med 2017 ; 195 : A1896. Session A54.

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10 èmes JRKR

Les 10èmes JRKR (JOURNEE DE RECHERCHE EN KINESITHERAPIE RESPIRATOIRE)

auront lieu le samedi 24 juin 2017 Hôpital COCHIN-PORT ROYAL à PARIS
Amphithéâtre Jean Dausset

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PROGRAMME

8h30 : Accueil
9h00 : Présentation de la journée : Anne Bisserier, Pascal Gouilly, Nicolas Roche
9h20 : Présentation des laboratoires

Première session

Modérateurs : Bruno Pierre (Picquigny), Françoise Barthe Lepimpec (Paris), Jean Roeseler (Bruxelles)
Innovation
9h45 : Etude de l’efficacité des traitements non pharmacologiques chez des patients atteints d’une pneumopathie aiguë
communautaire hospitalisés T. Clément, A. Le Neindre (Nancy)
10h00 : Synthèse de la 2ème journée européenne : Evaluation des séquences de simulation en kinésithérapie
respiratoire Bisserier A et le groupe SIMEKR
10h15 : Effet à court terme du drainage autogène chez les adultes atteints de mucoviscidose mesuré par un appareil de
tomographie par impédance électrique Bottasso L., Bars N., Reychler G., Aubriot A. S., (Bruxelles)
10h30 : Tomographie par impédancemétrie électrique dans l’évaluation de l’efficacité de la kinésithérapie respiratoire chez
des patients hypoxémiques, respirant spontanément Norrenberg M., Guiraut N., Vincent JL. (Bruxelles)
10h45 : Effets des techniques de méditation telles que le yoga, tai chi et qigong sur la fonction respiratoire et la qualité de vie
liée à la santé des personnes atteintes de bronchopneumopathie obstructive chronique : une revue systématique. Montigny S.,
Reychler G. (Bruxelles)

 11h00 – 11h30 : PAUSE


Deuxième session

Modérateurs : Pascal Gouilly (Nancy), Nicolas Roche (Paris), Olivier Contal (Lausanne),
Validation des outils d’évaluation
11h30 : Validation et reproductibilité des échelles de dyspnée chez les enfants entre 6 et 12 ans. Liliane Bilodeau-
Lamontagne Gregory Reychler (Bruxelles)
11h45 : Validation de la version française de l’échelle du London Chest Activity of Daily Living (LCADL) et du
questionnaire Dyspnea-12. Beaumont M., Jego ., Reychler G., Pichon R., Le Ber C., Péran L., Rogé C., Renault D., Narayan S.
and Couturaud F. (Pays de la Morlaye)
12h00 : Où faut-il placer le pavillon du stéthoscope afin d’entendre les bruits venant des bronches primaires ? Dupuis B.;
Duprez F.; Cuvelier G.; Bonus T.; Ollieuz S.; Mashayekhi S.; Reychler G.(Tournai)
Réhabilitation et BPCO
12h15 : Utilisation du test stepper pour débuter la réhabilitation respiratoire de patients atteints de BPCO. Bonnevie T,
Gravier F.E, Viacroze C, Cuvelier A, Muir J.F, Tardif C, Debeaumont D., Medrinal C., Leboullenger M (Rouen)
12h30 : Qu’en est-il du sevrage tabagique au sein des unités de Réhabilitation Respiratoire en France ? Jean V. (Nantes)
12h45 : Suivi et évaluation sur une année de projets élaborés en réhabilitation respiratoire L. Péran , C. Le Ber, R. Pichon, M.
Cabillic, M. Beaumont (Pays de Morlaye)

13h00 -14h00 : DEJEUNER

Troisième session

Modérateurs : François Barbotin (Paris), Bertrand Selleron (Orléans) Antoine Rabbat (Paris)
Activités sportives
14h00 : L’effet de la cohérence cardiaque sur la performance sportive Esentato Laura (Marseille)
14h15 : Intérêt de la kinésithérapie respiratoire chez le hockeyeur subaquatique. Guedes.M, (Marseille).
Débits et Aérosols
14h30 : Débit inspiratoire de pointe et dyspnée inspiratoire chronique ou subaigüe Sanchez-Guerrero J, Guerlain J, Samaha
S, Bourges A, Lacau St Guily J , Perié S. (Paris)
14h45 : Evaluation de l’apport du sérum physiologique par nébulisation à la kinésithérapie respiratoire dans la bronchiolite du
nourrisson – étude expérimentale menée en libéral au sein du réseau Bronchiolite Picard Barbier Sally (Amiens)
Réanimation
15h00 : Effets de l’AFE sur la capacité résiduelle fonctionnelle (CRF) chez des patients intubés,ventilés et sédatés. Freynet A,
Gobaille G (Bordeaux)
15h15 : Intérêt de l’échographie du diaphragme dans la prédiction du succès de l’extubation. Une revue systématique Morel
J., Le Neindre A., Wormser J., Philippart F., Bouhemad B. (Evreux)
15h30 : Evaluation de l’impact de l’échographie pulmonaire et diaphragmatique sur le processus de décision clinique en
kinésithérapie respiratoire chez des patients hospitalisés en réanimation A. Le Neindre, D. Ferreiro, B.Bouhemad, F. Philippart,
J. Wormser, G. Ntoumenopoulos (Férolles-Atilly)

15h45 – 16h15 : PAUSE

Quatrième session

Modérateurs : Madalina Grigoroï (Paris), Anne Bisserier (Paris), Grégory Reychler (Bruxelles)
Pédiatrie
16h15 : Effets comparatifs de la position du cartable sur la fonction respiratoire d’enfants et adolescents atteints de la
mucoviscidose et d’enfants sains : essai croisé contrôlé et randomisé. Combret Y, Medrinal C, Prieur G, Robledo Quesada A,
Le Roux P, Reychler G (Bruxelles)
16h30 : Les coliques du nourrisson atteint de bronchiolite sont-elles des limites à la prise en charge en kinésithérapie
respiratoire ? Recensement des signes cliniques et adaptation des modalités d’application Sagadevin R. (Paris)
16h45 : Validation et reproductibilité du sit-to-stand test chez l’enfant Gaspar V., Reychler G., Bruxelles
Posters
17h00 : Les effets du renforcement des muscles inspiratoires chez les sujets
parkinsoniens par l’utilisation de l’appareil IMT Threshold. Leroy C. Jubert
L., Leclercq I. (Ploeren)
17h10 : Impact de la durée d’un stage de réhabilitation intensive sur les
patients atteints de la mucoviscidose modérée à sévère. Chaabi A., Gauchez
H (Bruxelles)
17h20 : Bronchiolite Aigüe du Nourrisson : Évaluation des connaissances et
du ressenti des parents vis-à-vis de la kinésithérapie respiratoire exercée en
milieu ambulatoire. Groussiaut E., Pierre B., Weissland T. (Amiens)
17h30 : Comparaison du test de marche de six minutes (6MWT) et du step
test de trois minutes (3MstepT) chez des patients BPCO stable Losq A.,
Beaumont M., Reychler G. (Bruxelles)
17h40 : Bronchiolite du Nourrisson : Bénéfices de la Kinésithérapie Respiratoire sur le sommeil et l’alimentation en pratique de ville. Léauté M., Sarhan FR.,Naguet de St. Vulfran P., Pierre B. (Amiens)

17h50 Présentation des prix Henri Fouré et Eric Beauvois
Conclusion de la journée : A. Bisserier, P. Gouilly, N. Roche

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EMBARC

PARTICIPEZ A EMBARC FRANCE

R
egistre
français des bronchectasies hors mucoviscidose

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EMBARC c’est quoi ?
European Multicentre Bronchectasis Audit and Research Collaboration

ers

  • Un registre européen soutenu par l’ERS, initié en 2015
  • Constitué de registres nationaux autonomes
  • Concernant les bronchectasies HORS mucoviscidose
  • Alimenté par de nombreux cliniciens provenant de différents horizons
  • Promoteur: Université de Dundee;
  • Investigateur coordonnateur: Dr James Chalmers
  • Le rationnel
  • Très peu de données sur bronchectasies non muco en termes d’épidémiologie, diagnostic et prise en charge
  • Objectifs
  • Mieux comprendre et prendre en charge les DDB non muco
  • Registre autonome

EMBARC France ?

–Données appartiennent à la France

–Soutien SPLF-GREPI

–Validation CCTIRS-CNIL

–Un conseil scientifique

  • Objectifs :
  • Contribuer à la recherche clinique dans ce domaine
  • Mieux connaitre les spécificités des bronchectasies en France
  • Proposer une prise en charge standardisée au niveau du territoire

–Observation clinique = CRF

–Consensus thérapeutiques

  • Avoir facilement accès à des référents spécialistes
  • Vous pouvez tous participer à EMBARC France !

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  • Les documents utiles à télécharger

>>> Inclusion centre
>>> CRF Français

>>> Données France
>>> EMBARC mode d’emploi
>>> Information patient EMBARC
>>> Consentement EMBARC
>>> Observation suivi annuel
>>> Qualité de vie France
>>> Avis favorable CEPRO
>>>
EMBARC-auto-questionnaire
>>>Reponse-CNIL-EMBARC

>>> fichesbacterio
>>>La charte couleurs des expectorations

 

Maj 16/05/2017

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