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Actions et projets de la SPLF pour l’année 2017

pr-chabotChères Collègues, chers Collègues,

Vous trouverez ci-joint les actions et les projets de la SPLF pour l’année 2017.

Ces perspectives s’inscrivent dans le cadre des missions de la SPLF d’ordre essentiellement scientifiques, notamment la formation des pneumologues et la recherche.

Le conseil scientifique (CS) et les Groupes de travail (GT) de la SPLF organisent des enseignements et des formations. Le congrès de Pneumologie de Langue Française constitue le grand rassemblement de la pneumologie Francophone. C’est la 3e manifestation mondiale de la Pneumologie avec plus de 5000 participants. Le programme des différentes sessions est fait par le CS avec l’aide des GT. Certains GT organisent aussi des congrès thématiques qui connaissent un large succès comme le Congrès Alvéole, les journées du GREPI, les Journées de Recherche Respiratoire (J2R), et le Congrès Sommeil, en collaboration avec la Société Française de Recherche en Médecine du Sommeil. La SPLF assure les enseignements et formations suivant des modalités complémentaires, proposant également des séminaires, des réunions des GT, les Mardis du GOLF, des conférences en ligne (les Jeudis de la SPLF) et des Ateliers.

Vous trouverez ici le programme des actions pour l’année 2017. Les multiples champs couverts par ces formations témoignent du dynamisme de la SPLF et de l’importance de l’engagement des pneumologues au sein du CS, des GT, des Relations internationales, et de manière générale dans la Formation Médicale Continue.

Le CS élabore également des recommandations de bonne pratique qui font l’objet de publication dans la Revue des Maladies Respiratoires. La Revue participe aussi à la formation et au perfectionnement des pneumologues par des séries thématiques, des synthèses de congrès et de séminaires, la publication d’articles originaux et de cas cliniques.

L’amélioration de la formation va de pair avec une recherche de qualité. Favoriser la recherche pneumologique francophone et la reconnaissance internationale de sa qualité sont des objectifs essentiels de la SPLF.

Le contact entre les chercheurs et les cliniciens lors des Journées de Recherche Respiratoire (J2R) est stimulant et ouvre des horizons nouveaux à tous. La SPLF participe au financement du Fonds de Recherche en Santé Respiratoire. Développer la recherche passe aussi par une incitation à favoriser les collaborations au sein des GT de la SPLF et de manière plus large avec l’ensemble des pneumologues francophones. C’est un enjeu important pour permettre des travaux de grande ampleur, avec une reconnaissance internationale. Cela justifie une réflexion pour la création de cohortes et de registres identifiables d’un point de vue international et le regroupement de cohortes et de registres déjà en place au sein d’une même thématique. C’est une incitation supplémentaire à poursuivre le rapprochement de toutes les composantes de la pneumologie francophone au sein de la SPLF.

2016 a été une année importante pour la SPLF qui a poursuivi son rapprochement avec l’ERS, soulignant la reconnaissance de la place de la SPLF et de la Francophonie au sein de la communauté pneumologique dans le monde.

En 2017, le développement de travaux communs et la fédération des diverses composantes de la pneumologie, amélioreront le rayonnement de la SPLF

C’est l’occasion pour moi de remercier tous ceux qui contribuent à l’activité et au développement de la SPLF, et ils sont nombreux, membres du CS, des GT, des Relations internationales, de la Formation Professionnelle, de la Communication, de l’Information avec la Revue des Maladies Respiratoires, InfoRespiration et notre site Internet, et bien entendu, les membres du bureau et du Conseil d’Administration, Fabienne Duguet, responsable administrative de la SPLF, Maryse Creton, secrétaire de la SPLF et Daniela Pamphile secrétaire de la Revue des Maladies Respiratoires.

 

Professeur François CHABOT, Président de la SPLF

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Sessions CPLF 2017 GTK

Programme Kinésithérapie Respiratoire
Marseille
vendredi 27 au dimanche au 30 janvier 2017

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Comment définir la notion d’urgence en kinésithérapie respiratoire? Pierre Delguste (Bruxelles)

[/themify_box] [themify_box style=”download blue rounded” ]Désencombrement en urgence : pour quelles situations ? Guillaume Riffart (Saint Etienne) [/themify_box] [themify_box style=”download blue rounded” ]

Mobilisation précoce en réanimation : une forme d’urgence. Clément Medrinal (le Havre)

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Exercice et mucoviscidose : état de la question. Mathieu Gruet (Toulon)

[/themify_box] [themify_box style=”download blue rounded” ] VNI et mucoviscidose : quelles indications ? Yann Combret (Le Havre) [/themify_box] [themify_box style=”download blue rounded” ]Comorbidités (ostéoporose, grossesse, diabète,…) et mucoviscidose : quelle place pour la kinésithérapie : Anne-Sophie Aubriot (Bruxelles) [/themify_box] [themify_box style=”download blue rounded” ]

Place de la rééducation au cours du Syndrome d’apnées du sommeil. Jean Christian Borel (Grenoble) ; Animateur : POTENZA Jérôme (St Martin De Seigneaux)  N° 1

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Place de la rééducation au cours du Syndrome d’apnées du sommeil. Jean Christian Borel (Grenoble) ; Animateur : POTENZA Jérôme (St Martin De Seigneaux)  N° 2

[/themify_box] [themify_box style=”download blue rounded” ] Désencombrement du patient neuro-musculaire : quelles pratiques ? Olivier Contal (Lausanne – Suisse); Joseph EL MIR (Beyrouth – Liban)

[/themify_box] [themify_box style=”download blue rounded” ] Désencombrement du patient neuro-musculaire : quelles pratiques ? Olivier Contal (Lausanne – Suisse); Joseph EL MIR (Beyrouth – Liban)

[/themify_box] [themify_box style=”download blue rounded” ] Installation du kinésithérapeute respiratoire en ville. Bertrand Selleron (Olivet) ; Philippe Joud (Lyon)[/themify_box] [themify_box style=”download blue rounded” ]Kinésithérapie et bronchectasies : quand, comment et avec quels moyens ? PONCIN William, (Rennes) [/themify_box]

 

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Présentation alvéole

Responsable du groupe : Professeur Frédéric Costes

Alvéole est un groupe de travail sur l’exercice et la réhabilitation respiratoire qui fonctionne très activement depuis près de 15 ans. Depuis de nombreuses années, son but est d’harmoniser les pratiques, favoriser les échanges et participer à la diffusion des connaissances concernant l’exercice et la réhabilitation respiratoire.

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Nexplanon® : risque de migration dans les vaisseaux sanguins (y compris l’artère pulmonaire) et la paroi thoracique

L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et l’Agence européenne du médicament (EMA) signale le risque de migration dans les vaisseaux sanguins et dans la paroi thoracique de l’implant contraceptif Nexplanon®. Il s’agit d’un événement rare (taux de notification d’environ 1,3 par million d’implants vendus). Entre 1998 et 2015, dans 11 cas sur 18, il s’agissait de l’implant radio-opaque Nexplanon®. En conséquence : — après insertion, il faut être capable de palper l’implant sous la peau du bras de la femme ; si l’implant n’est pas palpable et du fait de la nature radioopaque de Nexplanon®, une radiographie bidimensionnelle doit-être réalisée afin de vérifier sa présence dans le bras. Les méthodes adaptées comprennent également la tomodensitométrie (TDM), l’échographie avec sonde linéaire à haute fréquence ou l’imagerie par résonance magnétique (IRM). Si l’implant reste malgré tout introuvable au niveau du bras, les techniques d’imagerie doivent être envisagées au niveau thoracique, car des cas extrêmement rares de migration dans le système vasculaire pulmonaire ont été rapportés. Si l’implant est localisé dans le thorax, une intervention chirurgicale ou endovasculaire peut être nécessaire pour le retrait.
Actuellement, la cause des migrations d’implants dans les vaisseaux sanguins et dans la paroi thoracique n’a pas été déterminée. Une mauvaise manipulation lors de l’insertion comme une insertion directe de l’implant dans une veine ou une insertion trop profonde sont des mécanismes possibles.

Source ANSM ; Le 30 septembre 2016.

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Info-Respiration N°136 Décembre  2016

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Usage médical du cannabis et des cannabinoïdes : nausées, douleurs et sclérose en plaques

A l’heure où, aux États-Unis, 25 États permettent désormais l’usage médical de la marijuana (Cannabis sativa) la revue The Medical Letter On Drugs and Therapeutics fait le point sur le cannabis et les cannabinoïdes synthétiques.1 Côté cannabis, on sait que cette plante a été utilisée depuis des siècles pour traiter diverses maladies. Mais la non-standardisation des dosages rend l’interprétation des données disponibles difficile sachant que le cannabis contient plus de 60 cannabinoïdes possédant une activité pharmacocinétique.
On retiendra qu’aucune étude adéquate avec les fleurs de cannabis (marijuana) n’est disponible pour les indications comme les douleurs cancéreuses, la sclérose en plaques ou les nausées induites par chimiothérapie. Les effets indésirables du cannabis et des cannabinoïdes synthétiques sont connus : sécheresse buccale, sédation, hypotension orthostatique, ataxie et vertiges sont fréquents ; anxiété, tachycardie, agitation et confusion également, en particulier chez les sujets âgés, et l’aptitude à la conduite
peut être réduite. Les cannabinoïdes peuvent provoquer une sédation, une dysfonction motrice, une altération des perceptions, une dysfonction cognitive et des psychoses dose-dépendantes. Aucun décès en relation avec un surdosage aigu de cannabis utilisé seul n’a été rapporté.
Le nabiximol, un extrait standardisé de cannabis contenant un mélange de THC et de cannabidiol (CBD), un autre cannabinoïde majeur trouvé dans le cannabis, n’est pas disponible aux États-Unis, mais il est largement utilisé en Europe et au Canada sous forme d’un spray oral (Sativex®) pour le traitement des douleurs cancéreuses et de la sclérose en plaques (SEP).
Deux cannabinoïdes oraux peuvent être prescrits aux États-Unis. Le dronabinol, forme synthétique du delta-9-tétrahydrocannabinol (THC), le composant psychoactif principal du cannabis ; la nabilone, analogue synthétique du THC. Le dronabinol et la nabilone sont tous deux approuvés pour le traitement des nausées et des vomissements associés à la chimiothérapie anticancéreuse. Le dronabinol est aussi homologué pour traiter l’anorexie associée à une perte pondérale chez les patients avec un sida.
Nausées et vomissements induits par la chimiothérapie : Le dronabinol et la nabilone sont tous deux approuvés par la FDA depuis 1985 pour le traitement des nausées et des vomissements induits par la chimiothérapie n’ayant pas répondu à d’autres traitements induits par la chimiothérapie.

Douleur cancéreuse intraitable : Une étude randomisée en double aveugle de cinq semaines, contrôlée par placebo et portant sur 360 patients, a montré que l’utilisation additionnelle de doses faibles (1-4 pulvérisations/ jour) et moyennes (6-10 pulvérisations/jour) du spray oromuqueux de nabiximol était significativement plus efficace que le placebo pour soulager les douleurs cancéreuses intraitables, avec des effets indésirables comparables au placebo. Les hautes doses ont été moins efficaces et ont provoqué davantage d’effets indésirables.
Sclérose en plaques : Plusieurs études ont montré que les cannabinoïdes étaient efficaces pour traiter certains symptômes associés à la SEP.  L’American Academy of Neurology a recommandé l’utilisation d’un extrait oral de cannabis contenant un mélange de THC et de CBD (non approuvé par la FDA) ou de dronabinol pour le traitement de la spasticité et des douleurs chez les patients souffrant d’une SEP, et a recommandé le nabiximol pour le traitement des douleurs, de la spasticité et de la dysfonction urinaire associées à la SEP

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Info-Respiration N°136 Décembre  2016

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Baclofène responsable d’apnées du sommeil sévères : un nouveau signal sur quatre cas

Depuis qu’il bénéficie d’une recommandation temporaire d’utilisation dans la prise en charge de la dépendance à l’alcool, le baclofène est de plus en plus prescrit. Avec cette utilisation élargie, des cas de possibles effets secondaires ont commencé à apparaitre dont des cas d’apnée du sommeil signale l’Inserm sur la base d’un travail émanant de ses unités, unités 1063 Inserm/Université d’Angers et 1042 Inserm/Université de Grenoble.1
Pour la première fois, une étude objective un lien entre baclofène et apnée sévère du sommeil.2  Les chercheurs ont suivi quatre hommes qui prenaient jusqu’à 190 mg par jour de baclofène pour traiter leur dépendance à l’alcool et se plaignaient de suffocation nocturne, ronflements, somnolence diurne… « Ces quatre hommes souffraient bien sans conteste d’une apnée sévère du sommeil, avec jusqu’à 100 interruptions respiratoires et 40 micro-éveils par heure !, précise Fréderic Gagnadoux (CHU d’Angers), coauteur de l’étude. Et plus précisément d’une forme d’apnée du sommeil dite centrale, dans laquelle c’est le cerveau qui provoque ces arrêts respiratoires nocturnes- fréquents. » Les auteurs de l’étude ont analysé les caractéristiques médicales et physiologiques de ces quatre patients pour rechercher d’éventuels facteurs connus pour favoriser la survenue d’apnée centrale du sommeil (tels que maladies cardiaques et neurologiques, usage de médicaments opioïdes, hypocapnie, hypercapnie, hypoxémie), alcalose respiratoire… Aucun des quatre patients ne présentait ces facteurs de risques. La confirmation définitive est venue de la disparition de l’apnée du sommeil quand l’un des patients a arrêté son traitement au baclofène.

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Info-Respiration N°136 Décembre  2016

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Fluoroquinolones orales en ambulatoire : pas d’augmentation du risque d’arythmie sévère selon une étude de cohorte

Comme le remarque la Revue Médicale Suisse, les quinolones sont associées à une prolongation de l’intervalle QT en raison de l’inhibition des canaux potassiques de la cellule cardiaque.1 Mais sait-on vraiment si ce constat se traduit cliniquement par un risque élevé d’arythmie maligne ? La Revue Médicale Suisse a repéré une étude de cohorte rétrospective, observationnelle, binationale (Danemark, Suède), susceptible de répondre à cette question. Ce travail publié dans le British Medical Journal (BMJ) a mesuré le risque d’arythmie sévère, définie par une fibrillation auriculaire, tachycardie ventriculaire, arrêt cardiaque ou mort subite chez des personnes exposées aux quinolones.2 Par l’intermédiaire de registres nationaux de prescription, elle a comparé des patients adultes entre 40 et 79 ans, sans maladie terminale, traités en ambulatoire par quinolones per os avec un groupe contrôle traité par pénicilline (molécule sans effet proarythmogène). L’incidence d’arythmie sévère chez les patients traités par quinolones ou pénicilline était similaire (quinolones 3-4 versus pénicilline 4 pour 1 000 patients/ année (RR : 0,85 ; IC 95 % : 0,61-1,18). Cette étude de grande qualité comporte un certain nombre de limitations inhérentes aux études observationnelles ; néanmoins, elle conclut, contrairement aux études précédentes, qu’une antibiothérapie par quinolones dans une population adulte traitée en ambulatoire n’augmente pas le risque d’arythmies malignes. Toutefois, le risque d’arythmie sérieuse chez des patients atteints d’infections graves nécessitant une hospitalisation reste à étudier. On retiendra ici que les quinolones, telle la ciprofloxacine, n’augmentent pas le risque de survenue d’arythmies malignes dans une population adulte en mode ambulatoire.

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Nicolas Postel-Vinay. Hôpital Européen Georges-Pompidou. Paris
Pas de liens d’intérêt concernant les données de cet article

Info-Respiration N°136 Décembre  2016

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Sofosbuvir, source d’hypertension artérielle pulmonaire ? Soyons vigilants !

La Revue Prescrire a remarqué que le profil d’effets indésirables du sofosbuvira été très peu étudié avant sa mise sur le marché.1 Au 18 août 2016, le résumé des caractéristiques (RCP) des spécialités à base de sofosbuvir ne mentionne pas qu’il existe des doutes sur l’hypertension artérielle pulmonaire (HTAP) dans les effets indésirables.2 Pourtant, l’Agence française des produits de santé (ANSM) a rapporté sept observations d’HTAP grave chez des patients traités pour une hépatite C par sofosbuvir (Sovaldi®). Trois patients étaient exposés aussi au daclatasvir (Daklinza®) ; un au siméprévir (Olysio®) ; un à la ribavirine (Rebetol® ou autre) ; un au lédipasvir (associé dans Harvoni®) et un à plusieurs antiviraux.3 Plus précisément, Prescrire cite une publication française ayant rapporté trois observations d’hypertension artérielle pulmonaire chez des patients prenant du sofosbuvir, nouvellement diagnostiquée dans deux cas, et aggravée dans un cas. Les patients faisaient des syncopes, et avaient une insuffisance cardiaque droite et des troubles hémodynamiques importants.4 Les trois patients avaient d’autres facteurs de risque d’HTAP : hypertension portale ou infection par le VIH. Une autre équipe française a recensé seize patients exposés à des antiviraux d’action directe sur le virus de l’hépatite C, parmi tous ceux suivis par le centre de référence français pour les HTAP graves.5  Treize patients avaient une HTAP antérieure à l’exposition aux antiviraux, d’autres facteurs de risque et des évolutions peu suggestives du rôle de ces médicaments. Mais pour trois patients, leur rôle est probable ajoute Prescrire. L’HTAP a été diagnostiquée après le début de cette exposition pour tous au sofosbuvir associé avec d’autres antiviraux. Après l’arrêt du traitement, chez un patient qui n’avait pas d’hypertension portale, l’HTAP a disparu, avec persistance de la normalisation neuf mois après et sans traitement de l’HTAP. Chez les deux autres patients, l’HTAP a régressé sous traitement après l’arrêt des antiviraux : résistance vasculaire pulmonaire améliorée de 75 % pour un patient et quasi normalisée pour l’autre. En pratique, La Revue Prescrire invite les cliniciens à être attentifs aux événements survenant au cours des traitements et les notifient.

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Info-Respiration N°136 Décembre  2016

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