Accès restreint
Ce contenu est réservé aux membres de la SPLF.
Si vous êtes membre, connectez-vous.
En direct ERS 2021 — liste des rédacteurs
Louise BONDEELLE, service de pneumologie, hôpital Saint-Louis, Paris
Liens d’intérêt : l’auteur déclare ne pas avoir de liens d’intérêt.
Clairelyne DUPIN, service de pneumologie A, Hôpital Bichat, Paris
Liens d’intérêt : Astra Zeneca, Boehringer-Ingelheim, Chiesi, Novartis, GSK, Sanofi et Roche.
Justine FRIJA-MASSON, hôpital Bichat Claude Bernard, service de physiologie, Paris.
Liens d’intérêt : Financement de congrès (LVL médical, ADEP assistance, Vitalaire, Ixair médical, Boerhinger Ingelheim)
Mécénat de recherche : LVL médical
Mada GHANEM, service de pneumologie, hôpital Bichat, Paris
Liens d’intérêt : l’auteur déclare ne pas avoir de liens d’intérêt.
Etienne-Marie JUTANT, Service de pneumologie, CHU de Poitiers
Liens d’intérêt : l’auteur déclare ne pas avoir de liens d’intérêt.
Jonathan MESSIKA, service de pneumologie B et transplantation pulmonaire, hôpital Bichat Claude-Bernard, Paris.
Liens d’intérêt : remboursements de frais de congrès par CSLBehring et Fisher&Paykel
Sandrine PONTIER-MARCHANDISE, unité des soins intensifs et service de pneumologie, hôpital Larrey, CHU Toulouse
Liens d’intérêt : Congrès, symposium : Air Liquide Santé, Vitalaire, Asten, Orkyn, Lowenstein
Grégory REYCHLER, service de pneumologie, secteur de kinésithérapie, cliniques universitaires Saint-Luc,Bruxelles Belgique
Liens d’intérêt : l’auteur déclare ne pas avoir de liens d’intérêt.
Lucile SESÉ,service de physiologie, service de pneumologie, centre de référence des maladies pulmonaires rares – site constitutif, hôpital Avicenne, Bobigny
Liens d’intérêt : LS reports personal fees and non-financial support from Roche/Genentech, non-financial support from Boehringer Ingelheim, personal fees from Boehringer Ingelheim, non-financial support from Boehringer Ingelheim
Wojciech TRZEPIZUR , service de pneumologie, CHU d’Anger,
Liens d’intérêt : Dans les 5 dernières années, WT a été invité à des congrès scientifiques par la société ASTEN.
le 5/09/2021
Et suivre les différentes étapes :
Une fois que la cotisation de l’année en cours est payée et validée en interne (généralement dans la journée hors week-end) vous pourrez vous connecter au site splf.fr ici ou
(dans le menu principal en haut) ou tout en bas de la page d’accueil avec votre identifiant et votre de mot de passe (toujours les mêmes) et accéder à l’ensemble des services du site de la SPLF .
Résolutions de problème
Les vidéoconférences nécessitent certains modules
Nous vous conseillons de mettre à jour vos logiciels pour profiter des conférences SPLF.
La liste des navigateurs compatibles inclue :
Comment lire un podcast sur son ordinateur ?
1°) Vous avez iTunes
Ouvrir iTunes et cliquez sur lien indiqué qui se présentera sous la forme : http://feeds.podtrac.com/YQZY-d4kciJh
2°) Vous n’avez pas iTunes (tablette sous Android par exemple)
Utilisez une application qui peut lire les flux rss (Selection de lecteurs de flux ou voir sur GooglePlay ) et copier /coller le flux ci-dessous
3°) Comment s’abonner à un podcast ?
Cliquez sur le lien fourni ou dans iTunes, allez dans le menu et choisir “s’abonner à ce flux”
Mars 2021
• Le DIU le sommeil et sa pathologie : présentation organisation pratique – M.-P. D’ORTHO (Paris)
• Le DIU le sommeil et sa pathologie : présentation organisation pratique (e-learning) – M.-P. D’ORTHO (Paris)
Téléchargement en bleu : 3 diapositives /page ou en violet : 1 diapositive/page
Cours en présentiel :
TDAH et troubles du sommeil, S. Bioulac, (Bordeaux)
TDAH et troubles du sommeil, S. Bioulac, (Bordeaux)
Syndrome des jambes sans repos et mouvements périodiques du sommeil , C.-C. Monaca; (Lille)Syndrome des jambes sans repos et mouvements périodiques du sommeil C.-C. Monaca; (Lille)
Objets connectés et sommeil,– M.-P. D’ortho(Paris)
Objets connectés et sommeil,– M.-P. D’ortho(Paris)
Syndrome de Kleine-Levin, I.Arnulf (Paris)
Parasomnies de sommeil lent profond , I.Arnulf (Paris)
Troubles moteurs du sommeil, I.Arnulf (Paris)
Le rêve et sa pathologie I.Arnulf (Paris)
Prise en Charge des Hypersomnolences, Y. Deauvilliers (Montpellier)[
Sommeil et épilepsie chez l’enfant , M. Eisermann et A. Kaminska (Paris)
SPLF 2017
Voir d’autres recommandations et textes BPCO :
SPLF 2017
Voir d’autres recommandations et textes BPCO :
https://podcasts.apple.com/fr/podcast/les-conférences-du-cplf/id1256491871
https://splf.fr/conferences-CPLF.xml
>>> Pour visionner une vidéo cliquer sur le titre de la présentation
Et si le contrôle de l’asthme relevait aussi de prises en charges non médicamenteuses ? Le contrôle de soi, de son stress, la perception de sa respiration peuvent-ils optimiser la prise en charge médicale du patient asthmatique? Les programmes de réhabilitation proposés à ces patients asthmatiques, sont-ils différents de ceux proposés dans les autres pathologies respiratoires ? Existe-t-il des particularités dans la rééducation respiratoire, le ré-entrainement, l’éducation thérapeutique proposés ? Souvent inavoués par le patient asthmatique, les traitements non conventionnels (homéopathie, naturopathie, acupuncture…) complètent, et parfois se substituent aux traitements conventionnels. Quel est leur niveau de preuve? Que dire à nos patients souvent désireux de ces pratiques ? Probablement beaucoup de réponses à questions que vous vous êtes déjà posées…
PRÉSIDENT(S)
CHENIVESSE Cécile, Lille
PRUD’HOMME-BONS Anne, Tarbes
• Respirer autrement : hypnose, sophrologie, chant, etc – RASPAUD Christophe, Toulouse
• Réhabilitation dans l’asthme : quelles particularités ? – BERNADY Alain, Cambo-Les-Bains
• Que dire aux patients des traitements non conventionnels ? – OZIER Annaig, Bordeaux
Session organisée par le GT J2R
Les éosinophiles sont devenus une cible thérapeutique de premier plan dans l’asthme sévère avec l’avènement des anti-IL-5(R). Deux approches – le ciblage (en amont) des lymphocytes ILC2 et celui (en aval) des cristaux de Charcot-Leyden – pourraient également traiter efficacement l’inflammation de type 2. D’autre part, la modulation du microbiote pulmonaire est aussi une piste d’avenir, peut-être surtout pour l’asthme neutrophilique ou pour restaurer la cortico-sensibilité.
PRÉSIDENT(S)
VACHIER Isabelle, Montpellier
HAMZAOUI Agnès, Tunis
• Les fonctions du microbiote pulmonaire dans l’asthme – DESCAMPS Delphyne, Paris
• Eosinophiles et lymphocytes ILC2 : qui faut-il éliminer d’abord ? – TERRIER Benjamin, Paris
• De l’éosinophile aux cristaux de Charcot et Leyden : retour vers le futur – HAMMAD Hamida, Gent
La sévérité de l’asthme va au-delà des besoins en corticothérapie. Qu’est ce qui fait qu’un asthme handicape et met en jeu la vie d’un patient ? Peut-on identifier des caractères modifiables? Le phénotypage ne se limite pas à l’identification du type d’inflammation. Mais, en pratique comment personnaliser la prise en charge en dehors des biothérapies TH2 ?
PRÉSIDENT(S)
CHANEZ Pascal, Marseille
NOCENT-EJNAINI Cécilia, Bayonne
• Asthme sévère ou asthme difficile ? – MAGNAN Antoine, Nantes
• Les outils du phénotypage (de la clinique aux biomarqueurs en passant par l’EFR et l’imagerie) – BOURDIN Arnaud, Montpellier
• Conséquences du phénotypage sur la prise en charge – CHENIVESSE Cécile, Lille
Session organisée par le GT ALVEOLE
« L’asthme à l’effort » est une plainte fréquente à notre consultation. Comment le différencier du bronchospasme à l’exercice ? Comment le diagnostiquer et le prendre en charge chez le sportif soumis à des règles anti-dopages ? Quels conseils pratiques donner à nos patients asthmatiques qui souhaitent faire du sport ? Toutes ces questions seront abordées lors de cette session, des réponses et des conduites pratiques y seront discutées…
PRÉSIDENT(S)
COSTES Frédéric, Clermont-Ferrand
PORTEL Laurent, Libourne
• Asthme d’effort, asthme induit par l’exercice, bronchospasme à l’exercice : de quoi parle-t-on ? – BOULET Louis-Philippe, Sainte Foy, Quebec
• Asthme et sport en compétition : critères diagnostiques et possibilités thérapeutiques (réglementation anti-dopage) – LOUZIR Bechir, Tunis
• Asthme et pratique sportive – MARTINAT Yan, Lyon
Comme toute affection chronique, la prise en charge de l’asthme au quotidien se heurte aux difficultés d’observance. Si les outils connectés font actuellement l’objet d’une promotion active, leur évaluation se doit d’être rigoureuse. Au-delà d’une approche pluri professionnelle incluant le pharmacien, l’engagement actuel des patients à tous les stades des démarches de santé, y compris lors de l’accompagnement au quotidien est un des axes les plus novateurs.
PRÉSIDENT(S)
MARTIN François, Dreux
LARROUSSE Mathieu, Toulon
• Observance : comment faire mieux ? – MAGAR Yves, Paris
• Le rôle du pharmacien – POMIES Jean-Michel, Toulouse
• Université des patients, patient formateur, patient expert…vers une professionnalisation des patients ? – PISON Christophe, Grenoble
Session organisée par le GT Fonction
Examen le plus réalisé dans la discipline respiratoire, les explorations fonctionnelles respiratoires ont gagné en diversités et précisions avec les mesures à l’effort, les tests dynamiques ou encore les nouvelles technologies. Quelle place réellement garde-t-elle dans la prise en charge du patient asthmatique ? Outils diagnostiques ? Bases objectives des décisions thérapeutiques ? Cette session abordera largement ces questions et apportera des réponses pratiques pour le clinicien et les intervenants.
PRÉSIDENT(S)
L’HUILLIER Jean-Pierre, La Varenne Saint Hilaire
GARCIA Gilles, Le Kremlin-Bicêtre
• Les EFR pour le diagnostic d’asthme : réversibilité ou provocation ? – CHARFI Mohammed Ridha, La Marsa
• Faut-il encore des EFR pour le suivi d’un asthme ? – MARTINAT Yan, Lyon
• Les EFR au service du diagnostic différentiel de l’asthme – PLANTIER Laurent, Tours
Session organisée par les GT GREPI / GT PAPPEI
L’impact des moisissures sur la santé respiratoire et allergique a connu des turpitudes. L’exploration en pratique courante pour juger de l’imputabilité des moisissures est souvent difficile. L’objectif de cette session sera de dresser le panorama actuel des nouvelles méthodes de mesures de ces moisissures dans l’environnement intérieur, de faire la synthèse des données actuelles de la littérature sur les conséquences respiratoires et allergiques, et enfin de faire un focus sur l’imputabilité des moisissures dans l’asthme sévère.
PRÉSIDENT(S)
CAILLAUD Denis, Clermont-Ferrand
GODET Cendrine, Paris
• Expositions environnementales aux moisissures : quels risques respiratoires ? – CAILLAUD Denis, Clermont-Ferrand
• Asthme sévère et moisissures une entité particulière ? – MAHAY Guillaume, Rouen
L’asthme est une maladie qui débute fréquemment dans l’enfance et qui va évoluer toute au long de la vie. Il est donc très important que la prise en charge soit précoce avec toute la problématique du dépistage. Récemment, le phénotypage de l’asthme chez l’enfant a mis en évidence des trajectoires qui peuvent être très différentes qui vont nécessiter une prise en charge et un suivi parfois très différent. Un traitement adapté et la meilleure connaissance de ces différentes trajectoires va permettre d’appréhender au mieux la période difficile de l’adolescence et favoriser le passage chez les adultes dans les meilleures conditions.
PRÉSIDENT(S)
POISSON Alain, Marseille
MARGUET Christophe, Rouen
• L’asthme de l’enfant est-il sur ou sous diagnostiqué (sur ou sous traité) ? – DELAISI Bertrand, Boulogne Billancourt
• Pourquoi phénotyper l’asthme de l’enfant ? – JUST Jocelyne, Paris
• L’adolescence un moment difficile pour l’asthme – EPAUD Ralph, Créteil
Parce que l’asthme est une maladie fréquente qui présente une grande variété de phénotypes cliniques et biologiques, parce que la perception de la nécessité de contrôler ou non l’inflammation chronique, alors que le malade est cliniquement asymptomatique, le traitement de l’asthme fait l’objet de débat au sein de la communauté pneumologique. Ce débat s’est encore accentué après la parution des derniers essais thérapeutiques et du positionnement d’instances internationales, comme le GINA. Afin de partager ce débat, cette session a pour objectif d’aborder la prise en charge thérapeutique de l’asthme léger à modéré sous forme d’une table ronde entre trois experts en interactivité avec l’assemblée (sondages et questions en temps réel). Plusieurs sujets seront abordés tels que la définition de l’asthme léger à modéré, les résultats des essais thérapeutiques et le transfert de ces données en vie réelle et enfin, l’analyse critique des propositions de traitement émanant des différents groupes et sociétés savantes.
PRÉSIDENT(S)
MOREL Sébastien, La Varenne Ste Hilaire
CADRANEL Jacques, Paris
HAMZAOUI Agnès, Tunis
RAHERISON-SEMJEN Chantal, Bordeaux
DIDIER Alain, Toulouse
PORTEL Laurent, Libourne
A l’ère des biothérapies nous avons à disposition de plus en plus de traitements efficaces de l’asthme et notamment de l’asthme sévère. Néanmoins, cela ne doit pas nous faire oublier que la prise en charge idéale est celle qui va permettre d’obtenir une véritable maitrise de la genèse de la maladie et qui permettra de la faire disparaître. Avec à la clef peut être une absence de traitement de fond ? Cette session nous montrera que cela est possible pour certains patients avec certains phénotypes.
PRÉSIDENT(S)
DEMOLY Pascal, Montpellier
PILETTE Charles, Bruxelles
• Prébiotiques / probiotiques et alimentation : que proposer ? Que sait-on ? – BOUCHAUD Grégory, Nantes
• Immunothérapie allergénique : est-ce la bonne voie ? – BONNIAUD Philippe, Dijon
• Prise en charge de l’obésité – GUILLEMINAULT Laurent, Toulouse
Aucun asthmatique y compris dans les stades les plus légers n’est à l’abri d’une exacerbation potentiellement sévère. Cette session se propose de faire le point sur les causes infectieuses des exacerbations car si les virus respiratoires ont bon dos, sont-ils seuls en cause et identifier l’agent infectieux a-t’il un intérêt ? La deuxième partie de la session sera consacrée à la prise en charge préventive et curative. Une revue critique de l’efficacité des plans d’action reposant sur l’autogestion de la corticothérapie inhalée et/ou per os et des biothérapies de l’asthme sévère est attendue. En situation d’urgence, on écoutera avec intérêt le point de vue de nos collègues urgentistes à l’heure où la nouvelle version du GINA pointe du doigt la dangerosité potentielle des béta2 mimétiques, qui restent pourtant le fer de lance des recommandations de prise en charge de l’asthme dans ce contexte.
PRÉSIDENT(S)
MAURER Cyril, Montfermeil
CHANEZ Pascal, Marseille
• Exacerbations infectieuses : virus ou bactéries ? – MARGUET Christophe, Rouen
• Comment prévenir les exacerbations ? – GAGA Mina, Athenes
• Asthme aigu grave en 2020 : la vision de l’urgentiste – DEROGIS-NIQUET Véronique, Tours
Cette session s’intéressera aux aspects thérapeutiques de l’asthme (Th2 et non Th2) de palier 5 du GINA. De nombreuses biothérapies ont enrichies l’arsenal thérapeutique ces dernières années avec des AMM conditionnées à certains paramètres. Les orateurs reprendront les dernières données probantes permettant d’étayer les choix thérapeutiques et nous préciseront la place laissée à la corticothérapie systémique.
PRÉSIDENT(S)
WAKED Mirna, Ashrafieh
HUMBERT Marc, Le Kremlin-Bicêtre
• Biothérapies actuelles et à venir – GIRODET Pierre-Olivier, Bordeaux
• Quelles perspectives dans l’asthme non Th2 ? – TUMMINO Céline, Marseille
• Quelle place de la corticothérapie systémique ? – DIDIER Alain, Toulouse
La relation entre éosinophile et asthme est une histoire ancienne et passionnante en pneumologie. Ce lien fort est remis en avant avec le développement de biothérapies dirigées contre les voies de signalisation de l’éosinophile. L’objectif de cette session sera donc de préciser l’utilisation de l’éosinophile comme marqueur de sévérité, de clarifier son rôle dans l’asthme de l’enfant et enfin de mieux comprendre l’interaction avec les parasitoses, qui peut être cruciale notamment sur le plan thérapeutique.
PRÉSIDENT(S)
BOURDIN Arnaud, Montpellier
PEGLIASCO Hervé, Marseille
• L’éosinophilie est-elle un marqueur de sévérité de l’asthme ? – TAILLE Camille, Paris
• L’asthme de l’enfant est-il toujours à éosinophiles ? – HAMZAOUI Agnès, Tunis
• Parasites et asthme, interférences diagnostiques et thérapeutiques ? – RAHERISON-SEMJEN Chantal, Bordeaux
Plus de trente ans ont passé depuis la chute du mur de Berlin et les études épidémiologiques consécutives ayant permis de poser les bases de l’hypothèse hygiéniste de l’allergie. Peut-on en 2020 faire une synthèse des facteurs protecteurs ou à risque du développement de manifestations allergiques ? C’est le challenge que devra relever la première intervenante de cette session. Nos amis pédiatres confrontés régulièrement à l’allergie alimentaire nous rappellerons ensuite pourquoi, quand et comment la traquer en situation d’asthme. Enfin nous saurons, au terme du dernier exposé, si le nez reste toujours la seule portion des bronches accessibles au(x) doigt(s).
PRÉSIDENT(S)
LEROYER Christophe, Brest
KAMMOUN Samy Ben Sadok, Sfax
• Facteurs de risque ou de protection de l’allergie en 2019 – ANNESI-MAESANO Isabella, Paris
• Allergie alimentaire et asthme, quand y penser ? – MARTIN-BLONDEL Audrey, Toulouse
• Asthme et rhinite : que reste t-il des liens nez bronches ? – DEMOLY Pascal, Montpellier
Session organisée par le GT PAPPEI
L’asthme professionnel est fréquent, de diagnostic parfois difficile. Il peut être sévère et sa prévention en est la pierre angulaire. Cette session permettra d’aborder les différents aspects diagnostiques et épidémiologiques notamment sur les nouveaux outils et les nouvelles expositions professionnelles. Elle fera également le point sur les facteurs de risque d’asthme sévère et sur l’intégration de cette pathologie dans l’orientation professionnelle.
PRÉSIDENT(S)
DEWITTE Jean-Dominique, Brest
DE VUYST Paul, Bruxelles
• Quand y penser : actualités épidémiologiques et diagnostiques ? – LEMIERE Catherine, Montreal
• Existe-il un phénotype d’asthme professionnel sévère ? – VANDENPLAS Olivier, Namur
• L’orientation professionnelle chez l’adolescent : prévention ou prise en charge précoce ? – LE CAM Marie-Thèrese, Créteil
Respirer un air de bonne qualité devrait pouvoir s’appliquer à tous et à toutes, en particulier aux patients asthmatiques. L’état des connaissances sur l’impact de la pollution extérieure et intérieure chez les patients asthmatiques évolue en permanence, concernant les effets in utero, ou les interactions entre les pollens et les polluants. L’objectif de la session est de faire le point sur l’impact sanitaire mais également de montrer l’impact positif des études d’interventions lorsque l’on réduit le niveau de pollution…
PRÉSIDENT(S)
BRUN Olivier, Perpignan
DIDIER Alain, Toulouse
• Pollution extérieure : des particules fines aux pollens – CAILLAUD Denis, Clermont-Ferrand
• Quand la pollution intérieure s’en mêle – MARCOT Christophe, Strasbourg
• Politique d’intervention : les résultats des différentes études – CHARPIN Denis, Marseille
Le diagnostic d’asthme est souvent facile, mais quelques fois difficile. Pour optimiser la prise en charge d’un patient souffrant ou suspect d’asthme, il faut systématiquement rechercher les « faux asthmes » et les principales comorbidités. Ainsi, devant toute dyspnée sibilante atypique ou ne répondant aux traitements usuels une dysfonction des cordes vocales doit être évoquée. De même une dyspnée a fortiori d’effort doit faire rechercher un syndrome d’hyperventilation. Enfin les données 2020 de la classique ABPA seront discutées.
PRÉSIDENT(S)
PINET Christophe, Ollioules
BEN KHEDER Ali, Tunis
• Dysfonction des cordes vocales, critères diagnostiques et prise en charge – WOISARD Virginie, Toulouse
• Syndrome d’hyperventilation (avec ou sans asthme) ? – WUYAM Bernard, Grenoble
• ABPA diagnostic et prise en charge en 2019 – GODET Cendrine, Paris
Le malade asthmatique croisera des professionnels de santé de différents horizons dans son parcours de soin. Les soins primaires dispensés par son médecin traitant sont bien sûr essentiels et il est possible d’utiliser certains moments propices pour enrichir ce parcours, par exemple en proposant un programme d’éducation thérapeutique dans un service d’urgences, ou à l’occasion d’une grossesse, moment important de la vie d’une patiente asthmatique.
PRÉSIDENT(S)
JUBERT Laurent, Tours
PIEGAY Fabrice, Lyon
• Asthme et éducation thérapeutiques aux urgences – MAFFRE Jean-Philippe, Tours
• Asthme et grossesse – RAHERISON-SEMJEN Chantal, Bordeaux
La médecine 4P, consiste à faire la médecine dont nous rêvons tous, mais qui demeure encore source de frustration. Prédire et prévenir plutôt que traiter pour ne pas avoir à guérir. Cette médecine de la prévention n’est pas encore assez développée en France, pourtant des scores de prédiction des risques existent pour certaines maladies qui pourraient orienter certains sujets vers des programmes de suivi ou de dépistage de même un grand nombre de maladies respiratoires pourraient être prévenues par la lutte contre le tabac qui a pris du retard face à d’autres pays européens. La médecine personnalisée ne devrait pas se limiter comme souvent à une médecine de précision portée par la mesure de biomarqueurs prédictifs d’efficacité, mais également prendre en compte le malade dans sa globalité biologique et intégrer sa personnalité et son environnement familial, social et culturel dans les choix thérapeutiques. Finalement, il se monte de plus en plus d’initiatives portées par les malades et les aidants afin de participer au développement des connaissances en santé, mais aussi à leur diffusion et rendre le malade acteur de sa guérison et le bien portant acteur de prévention.
PRÉSIDENT(S)
PILETTE Charles, Bruxelles
BLANC François-Xavier, Nantes
• Prédire et prévenir SCHLEICH Florence – Liege
• Médecine personnalisée – TAILLE Camille, Paris
• Médecine participative – MAGNAN Antoine, Nantes
• Dépistage du cancer du poumon, MARQUETTE Charles-Hugo, Nice
• Biomarqueurs prédictifs dans le traitement des cancers du poumon – LEROY Karen, Paris,
• Médecine participative : l’exemple du cancer du poumon, – SCHERPEREEL Arnaud, Lille,
Session organisée par le GT J2R
L’explosion de nouvelles technologies a bouleversé la connaissance en médecine. Les approches transcriptomiques associées à la constitution de cohortes de patients bien phénotypés, illustrée par l’étude UBIOPRED, permettent de proposer des clusters de patients avec des signatures biologiques précises, laissant entrevoir de potentielles cibles pour de nouvelles thérapeutiques. Depuis les années 2010 la modification de l’édition génomique rendue possible par l’utilisation de ciseaux moléculaires comme le système CrispR-Cas 9 a été utilisée dans de très nombreuses publications scientiques confirmant son potentiel incroyable : produire des modèles cellulaires, des modèles animaux est devenu beaucoup plus simple et ces techniques ouvrent des perspectives nouvelles pour la thérapie génique. Enfin, l’approche des cellules souches nous permet de mieux comprendre la physiopathologie des pathologies respiratoires et progresser dans le long chemin vers la thérapie cellulaire et la reconstruction du poumon.
PRÉSIDENT(S)
VACHIER Isabelle, Montpellier
DESLEE Gaëtan, Reims
• Biomarqueurs dans l’asthme sévère : étude UBIOPRED, DJUKANOVIC Ratko, Southampton
• Réparer les gènes : CrispR-Cas9 et autres outils ! BEDEL Aurélie, Bordeaux
• Reconstruire le poumon : la voie des cellules souches (iPSC) DE VOS John, Montpellier
Session organisée par CT CP2
De la durée du traitement au choix du type d’anticoagulant en fonction de la présence ou non de facteurs de risques identifiés, les schémas thérapeutiques au cours de la maladie thromboembolique veineuse sont de plus en plus adaptés à l’individu. La médecine personnalisée prend également toute sa place dans l’hypertension pulmonaire thromboembolique chronique avec des traitements ciblés allant de la chirurgie au traitement médical en passant par l’angioplastie des artères pulmonaires.
PRÉSIDENT(S)
JAIS Xavier, Le Kremlin-Bicêtre
LAMIA Bouchra, Rouen – Le Havre
• Durée du traitement : chez qui arrêter ? Chez qui continuer ? – COUTURAUD Francis, Brest
• Choix de la molécule et durée dans le cancer : AOD ou HBPM ? – MEYER Guy, Paris
• Traitement de l’hypertension pulmonaire thrombo-embolique chronique – JEVNIKAR Mitja, Le Kremlin Bicêtre
Ome, sweet ome…. Nous vivons un bouleversement des outils mis à disposition pour la recherche médicale. Session INDISPENSABLE pour y voir un peu plus clair et comprendre comment ces mesures sans limites et que nous aurons à disposition seront indispensables à la médecine prédictive. Il faudra néanmoins apprendre à les interpréter avec sagesse, rigueur et éthique…
PRÉSIDENT(S)
COUDERC Louis-Jean, Suresnes
MARTINAT Yan, Lyon
• Génome, exome, transcriptome : exemple de la transplantation pulmonaire – DANGER Richard, Nantes
• Exposome – SIROUX Valérie, Grenoble
• Volatolome – GRASSIN-DELYLE Stanislas, Paris
Session organisée par le GT ORPHALUNG
S’il est un domaine d’évolution rapide parmi les maladies pulmonaires rares, c’est bien celui des formes familiales et génétiques. Cette session les abordera sous un angle pratique, chez l’enfant comme chez l’adulte, sans oublier de nous laisser entrevoir où en est le front de la recherche.
PRÉSIDENT(S)
HADCHOUEL-DUVERGE Alice, Paris
NUNES Hilario, Paris
• Pneumopathies interstitielles idiopathiques de l’enfant à l’adulte – BORIE Raphaël, Paris
• Génétique des pneumopathies interstitielles associées aux connectivites – FROIDURE Antoine, Bruxelles
• Génotype/phénotype et anti-fibrosants – COTTIN Vincent, Lyon
Session organisée par le GT GREPI
La prise en charge des infections respiratoires change. Bientôt, il ne s’agira plus de mettre seulement une antibiothérapie, mais de pouvoir prédire la survenue de certaines pathologies respiratoires chroniques grâce au microbiote, de proposer un traitement personnalisé aux patients BPCO ou de diagnostiquer une prédisposition génétique aux infections à mycobactéries et donc dans certains cas de proposer un traitement pour limiter le risque de récidive.
PRÉSIDENT(S)
ANDREJAK Claire, Amiens
CHAU Ngo Quy, Hanoi
• Prédispositions génétiques et infection à mycobactéries – BUSTAMANTE Jacinta-Cecilia, Paris
• Du microbiote de l’enfant à l’asthme – AMAT Flore, Paris
• Et si le microbiote permettait de personnaliser la prise en charge des exacerbations de BPCO ?– HERY-ARNAUD Geneviève, Brest
La fibrose pulmonaire, les maladies kystiques, la dyskinésie ciliaire primitive, l’hypertension artérielle pulmonaire, la maladie veino-occlusive sont des maladies pouvant avoir une origine génétique. Lors de cette session nous verrons quand évoquer une origine génétique chez un malade, quels sont les indications pour une recherche génétique dans ces différentes pathologies et les outils que nous avons à notre disposition, ainsi que l’intérêt de la consultation de génétique et du dépistage familial.
PRÉSIDENT(S)
MONTANI David, Le Kremlin-Bicêtre
NATHAN Nadia, Paris
• Quand évoquer une origine génétique ? – MORNEX Jean-François, Lyon
• Quels outils, quelles indications ? – KANNENGIESSER Caroline, Paris
• Apport du conseil génétique en pathologie respiratoire – GIRERD Barbara, Le Kremlin Bicêtre