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Disponible en podcast audio 5 minutes dans “Quoi de neuf Docteur ?”
Equilibre des patients BPCO : nouvelles perspectives. Lire la suite »
Basile Chaix d’après une interview réalisée par Agnès Lara
Sorbonne Université, Inserm, Institut Pierre Louis d’Épidémiologie et de Santé Publique IPLESP, équipe Nemesis,
Faculté de Santé Saint-Antoine, Paris
Santé Publique
Dr Chaix, votre étude s’est intéressée à un polluant particulier, le carbone suie. Pouvez-vous nous expliquer les raisons de ce choix ?
Effectivement, ce polluant appartient aux particules fines PM 2,5 dont le diamètre est inférieur à 2,5 μm. Il représente la fraction la plus fine de cette catégorie, les PM1, dont le diamètre est inférieur à 1 μm. C’est un composé carboné qui est produit par la combustion incomplète de combustibles d’origine fossile, celle des moteurs à combustion et en particulier des moteurs diesel. Des études ont montré que le carbone suie avait davantage d’impact en termes de santé publique que les autres particules fines, notamment sur la pression artérielle et la santé respiratoire. Il est même l’un des polluants les plus fortement associé à la pression artérielle parmi les polluants que l’on respire classiquement dans nos rues.
Quels étaient les paramètres mesurés dans votre étude ?
MobiliSense est une étude observationnelle qui a bénéficié de financements européens. Elle a inclus plus de 200 participants et les a équipés de capteurs embarqués capables de mesurer notamment les teneurs en carbone suie dans la zone de respiration pendant 4 des 6 jours de l’étude. Les participants portaient également un accéléromètre qui permettait d’évaluer l’intensité de l’activité physique et donc le volume inspiré. Il était ainsi possible d’estimer la quantité de polluant inhalé et donc le niveau d’exposition. Ces deux variables, concentration en polluants dans la zone respiratoire et quantité de polluants inhalés ont été comparées en fonction des différents modes de transport utilisés : marche, vélo, voiture, et transport en commun (bus, métro…).
Alexis Cortot Université de Lille, CHU Lille, Service de Pneumologie et Oncologie Thoracique, Centre National de la Recherche Scientifique,
INSERM, Institut Pasteur de Lille, UMR9020-UMR-S 1277-Canther, Lille
L’imputabilité de la pollution dans la survenue du cancer du poumon est une idée qui a émergé dans les années 1950, à une époque où l’incidence du cancer du poumon explosait parallèlement à l’essor industriel massif de l’après-guerre. C’est d’ailleurs Sir Richard Doll qui fut l’un des premiers à avancer cette hypothèse, dans l’introduction d’un article publié dans le British Medical Journal en 1950, resté fameux pour avoir révélé pour la première fois le lien entre le cancer du poumon et un autre facteur environnemental majeur, le tabac1. Il faudra attendre quelques décennies supplémentaires et la réalisation d’études épidémiologiques de très grande envergure pour confirmer l’intuition de Sir Doll et mettre en évidence l’association entre pollution et cancer du poumon. Nous abordons ici quelques questions clés à ce sujet, en évoquant notamment la parution d’un article majeur dans la revue Nature l’année dernière.
La pollution augmente-t-elle le risque de cancer du poumon ?
Oui, incontestablement. Le Centre International de Recherche sur le Cancer a classé en 2013 la pollution de l’air en agent carcinogène de groupe 1 — cancérogène certain pour l’homme — considérant que les preuves étaient suffisantes pour affirmer que la pollution de l’air provoque la survenue de cancers du poumon. Les matières particulaires (particulate matter, PM) ont également été classées dans ce groupe. Cette décision arrive comme l’aboutissement d’une série d’études épidémiologiques et biologiques ayant petit à petit démontré ce lien. Deux très larges études, ESCAPE et CPS-II, sont notamment à mentionner.
Air de cancer : les relations dangereuses entre pollution et cancer du poumon Lire la suite »
Pour rappel ces tests s’adressent uniquement à des patients ayant des pathologies respiratoires et non à des sportifs.
Test en hypoxie « avion » destiné aux patient atteints de maladies respiratoires chroniques.
Dr B.WUYAM
Dr DOUTRELEAU Stéphane
Unité Sports et pathologies
Hôpital Sud (CHU de Grenoble)
Avenue de Kimberley
38130 ECHIROLLES
Tel 04 76 76 54 94
Fax 04 76 76 89 21
Courriel
Dr GERMAIN
EFR Groupement hospitalier nord Hôpital de la croix rousse
103 Grande rue de la croix rousse
69317 Lyon Cedex 04
Tel : 0472071861
PR RICHALET
Service d’exploration fonctionnelles
Hopital d’Avicenne APHP
Bobigny
Tel : 0148955832
Courriel
Uniquement pour les patients insuffisants respiratoires
Service des EFR (Pr Straus)
GH Pitié Salpêtrière- APHP
75651 Paris Cedex 13
Tél. : 01 42 17 85 74
Stephanie Guillot et Vincent Daniel
Hopital Pontchaillou
2 rue Henri
Le Guilloux 35033 Rennes Cedex 9
Centre Cardio Pulmonaire Exploration fonctionnelle respiratoire
Service d’Exploration Fonctionnelles Respiratoires
Dr Romain Barthes – CHU de Toulouse
Hôpital Larrey 24 chemin de Pouvourville
31400 Toulouse
Tel : 05 67 77 16 96
Fax : 06 67 77 14 91
© SPLF – 09 Juin 2020-maj septembre 2024
Nous recherchons un(e) pneumologue pour notre centre de pneumologie et sommeil InspiRêve composé de 2 pneumologues 3 infirmières et 2 secrétaires, à Aix-en-Provence.
Qui sommes-nous ?
Docteur Laure-Aléa Essari et Docteur Julien Soler. Nous sommes installés en libéral depuis septembre 2021.
Nos locaux :
Un espace de 200m2 lumineux, entièrement refait à neuf, comprenant une grande salle d’attente, une borne secrétariat pour 2-3 personnes, une salle de repos, 3 salles techniques, 3 bureaux médicaux. Nous réalisons au cabinet les EFR avec mesure de la diffusion, gazométrie artérielle, tests cutanés, polygraphies et polysomnographies en ambulatoire. Possibilité de développer l’activité d’EFX.
Nos valeurs :
Intégrité, enthousiasme, esprit de croissance, bienveillance
Nos missions :
Améliorer la qualité de soin des patients par une prise en charge pluridisciplinaire et des actions de prévention.
Notre projet :
Créer un centre respiratoire engagé intégratif avec la collaboration de professionnels médicaux, paramédicaux et intégratifs (ostéopathe, orthophoniste, sophrologue, yogathérapeute) autour de 4 pôles (respiration, sommeil, activité physique et nutrition)
Qualités requises :
Efficacité, organisation, autonomie, enthousiasme, humilité, esprit de croissance.
Ce que nous ne voulons pas :
Absence d’adhésion à la vision, absence d’empathie, absence de rigueur, absence d’humilité, critique, négativité, absence d’implication.
Ce que nous voulons :
Une personne motivée, qui partage notre vision. Une personne qui souhaite s’engager dans un projet pluridisciplinaire pour promouvoir la santé respiratoire. Une personne pour qui la santé n’est pas seulement l’absence de maladie, passionnée par la prévention.
Activité principale de pneumologie générale avec une orientation asthme, BPCO et sommeil.
Salariat avec possibilité d’évolution vers une association. Salaire à discuter selon profil et expérience
Contacts
et par téléphone au 06 47 96 14 54
Centre de sommeil InspiRêve (Aix en Provence) recherche un.e pneumologue Lire la suite »