Pneumologie

Neophen

Annuaire de la recherche en pneumologie 

Nom du LaboratoireUMR INSERM 1141
N° d'équipeNEOPHEN
Nom du directeur du laboratoireGressens Pierre
Nom du responsablePr DELCLAUX Christophe
Courriel du responsablechristophe.delclaux@aphp.fr
Contacts principauxchristophe.delclaux@aphp.fr
boris.matrot@inserm.fr
jorge.gallego@inserm.fr
AdresseHôpital Robert Debré 48 Bd Sérurier
CP75019
VilleParis
PaysFrance
Téléphone331 40031975
Fax
Site internethttp://neophen.org/
Mots cléscontrol of breathing, development, newborn, apnea, CCHS, chemosensitivity, animal models
RésuméModèles génétiques murins des atteintes précoces du contrôle respiratoire (syndrome d'Ondine, Steinert etc..) et apnées du prématuré. Conséquences sur le développement. Recherche de traitements précliniques. Recherches technologique pour le phénotypage physiologique précoce chez le rongeur nouveau-né.
Axe principalPhysiologie, contrôle respiratoire
Annuaire de la recherche en pneumologie 

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Informations sur la cigarette électronique utilisée dans un objectif d’aide au sevrage tabagique

 

https://splf.fr/wp-content/uploads/2019/11/Vape-SFT_SPLF-MoissansTabac-20191101-ok.pdf

Mois sans tabac novembre 2019


L’existence aux USA de cas de toxicité pulmonaire rapportée à l’utilisation de cigarettes électroniques inquiète les fumeurs qui envisagent l’arrêt du tabac et les vapoteurs.
Deux sociétés savantes, la Société de Pneumologie de Langue Française (SPLF) et la Société Francophone de Tabacologie (SFT), proposent dans ce document une information sur la cigarette électronique à l’occasion du Mois sans tabac qui se déroule en France en novembre 2019. Cette information est basée sur l’analyse des données scientifiques publiées.
Ce document est destiné avant tout aux fumeurs envisageant d’utiliser la cigarette électronique comme outil d’aide au sevrage tabagique.

Pr Nicolas Roche                                                                                                     Dr Anne-Laurence Le Faou

Président SPLF                                                                                                                            Présidente SFT

Information et conseils aux fumeurs sur la cigarette électronique (vape) utilisée dans un objectif d’aide au sevrage tabagiq

Rappel
Le tabac est la première cause évitable de nombreuses maladies cardiovasculaires, cancers ainsi que maladies respiratoires dont le cancer bronchique, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). La consommation de tabac aggrave aussi l’asthme. Arrêter de fumer est toujours bénéfique, notamment pour les patients porteurs de maladies respiratoires. Les patients atteints de BPCO qui fument encore sont souvent fortement dépendants.
La dépendance tabagique a deux composantes :
1- Une dépendance physique liée au manque de nicotine (indépendante de la volonté) qui peut être comblée par apport de nicotine non-fumée médicamenteuse (patchs, pastilles, comprimés, inhaleurs, sprays ou comprimés sub-linguaux) et/ou non médicamenteuse (cigarette électronique).
La varénicline qui bloque certains récepteurs nicotiniques est aussi un traitement efficace de la dépendance physique à la nicotine.
2- Une dépendance psychologique et comportementale.
Les traitements médicalement validés sont ceux qui ont fait l’objet d’essais cliniques. Ils ont démontré qu’ils augmentaient les chances de l’arrêt du tabac avec un rapport bénéfice/risque positif. C’est le cas de tous les substituts nicotiniques et de la varénicline, remboursés en France ainsi que du bupropion, non remboursé. Ces traitements (à l’exception de l’inhaleur, des Nicorette Microtab et du spray de nicotine) sont remboursés par l’assurance maladie sans reste à charge pour les patients atteints d’une maladie de longue durée (en particulier dans le domaine des troubles respiratoires pour l’insuffisance respiratoire liée à la BPCO ou à l’asthme, pour le cancer du poumon ou la tuberculose), le reste à charge de 35% est payé par la complémentaire santé dans les autres cas.
Ces traitements restent les traitements recommandés par les autorités de santé pour tous les fumeurs dont ceux atteints de maladies respiratoires.
La cigarette électronique
La cigarette électronique comprend une batterie qui apporte l’énergie nécessaire à chauffer une résistance entourée de textile pour la garder humidifiée et qui est placée dans un réservoir (cartomiseur). En France, les liquides pour cigarettes électroniques sont enregistrés 6 mois avant leur commercialisation à l’Agence Nationale de Sécurité sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (ANSES) (www.anses.fr/fr/system/files/Liste_FR_Vapotage.xls). Ils sont composés : d’un solvant organique (propylène glycol (PG) et/ou VG (glycérine végétale (GV)), d’une préparation aromatisante plus de la nicotine avec une concentration maximale de 20 mg/mL ou sans nicotine.
Que sait-on de la toxicité de la cigarette électronique ?
En utilisation normale
Les émissions de la cigarette électronique contiennent moins de substances toxiques que la fumée du tabac. Elles peuvent induire toutefois des effets biologiques mesurables. Les conséquences cliniques et épidémiologiques (santé publique) à long terme de l’utilisation des cigarettes électroniques, à ce jour, ne sont pas connues. Les études bien conduites cliniques et épidémiologiques concluantes sont nécessaires pour évaluer le bénéfice et les risques exacts de leur utilisation.
Les cas de toxicité pulmonaire rapportés aux USA
Ces cas ont concerné 1888 personnes à la date du 31 octobre 2019 dont 37 décès. Ces cas sont liés aux liquides que certains utilisateurs de cigarette électronique ont mis dans le réservoir. Dans 75- 80% des cas, ces liquides étaient fabriqués ou achetés hors du commerce officiel et contenaient des huiles de cannabis, du cannabis synthétique ou d’autres produits assimilés et souvent de l’acétate de vitamine E (produits formellement interdits dans liquides pour cigarettes électroniques en Europe). Il s’agissait donc du  détournement d’usage du dispositif c’est-à-dire dans le cadre d’un usage récréationnel et non dans l’objectif de l’arrêt de la consommation du tabac.
En absence d’identification de l’agent ou des agents causaux provoquant ces pneumopathies, il est recommandé de n’utiliser que les liquides commercialisés, de ne pas acheter des liquides dans la rue et de pas utiliser des huiles de cannabis ou d’autres produits non commercialisés. En France le Directeur général de l’ANSES qui assure le contrôle des liquides pour cigarettes électroniques, a affirmé qu’aucun des liquides commercialisés en France ne posait de problème sanitaire.
Intérêt de la cigarette électronique dans la sortie du tabac
La cigarette électronique est utilisée le plus souvent sans aide médicale par des fumeurs qui veulent soit réduire leur tabagisme, soit arrêter de fumer. Selon Santé Publique France,
1) les données recueillies après le Mois sans tabac 2016 montrent que la cigarette électronique est de loin le produit le plus utilisé dans l’arrêt du tabac avec aide : 27% contre 18% pour les substituts nicotiniques et 10% pour le recours aux professionnels de santé.
2) il est estimé que 700 000 fumeurs ont arrêté de fumer en 7 ans avec la cigarette électronique seule ou en association avec d’autres aides.
Les données scientifiques actuellement disponibles sont toutefois insuffisantes pour conclure avec certitude que la cigarette électronique est un traitement efficace et sûr pour aider les fumeurs à arrêter de fumer. Un essai publié récemment dans le New England Journal of Medicine montre qu’il y a près de 2 fois plus d’arrêt à un an avec la cigarette électronique qu’avec les substituts
nicotiniques. En France un essai clinique randomisé en double aveugle (l’essai ECsmoke), qui a déjà inclus 300 patients, va permettre d’obtenir des données scientifiques de qualité pour valider (ou pas) la cigarette électronique dans l’arrêt du tabac comme un produit aussi efficace que la varénicline, médicament le plus efficace en monothérapie pour arrêter de fumer.
L’utilisation prolongée de la cigarette électronique
De nombreux utilisateurs continuent à fumer tout en vapotant. Cette situation laisse persister les risques du tabagisme. Ces vapo fumeurs doivent être mieux substitués en nicotine par ajout de patchs et optimisation de la prise de nicotine par la cigarette électronique.
Chez les fumeurs sevrés du tabagisme grâce à la cigarette électronique, un avis médical est recommandé en cas de dépendance persistante à la nicotine.
En cas de consommation de cigarette électronique au-delà de 12 mois après l’arrêt du tabac, l’arrêt de la cigarette électronique est conseillé s’il n’existe aucun risque de retour au tabac.
Cas particulier des maladies respiratoires chroniques
Il est préférable d’utiliser un des traitements médicamenteux recommandés pour l’arrêt du tabac et remboursés en France : substituts nicotiniques ou varénicline, plutôt que la cigarette électronique.
En synthèse :

  • Ne plus fumer est le premier objectif à poursuivre chez les fumeurs, notamment porteurs de maladies respiratoires chroniques dont la BPCO.
  • La cigarette électronique est probablement une aide efficace pour arrêter de fumer. Elle doit dans ce cas être utilisée de façon transitoire (en l’absence de donnée précise sur ses effets à long terme) en vue de l’arrêt de la consommation tabagique. Elle doit être proscrite chez les non-fumeurs.
  • Fumer et vapoter dans le même temps n’est pas une solution, car cette conduite ne réduit pas les risques liés au tabac.

 

  1. En préambule, l’utilisation de la cigarette électronique en dehors du contexte du sevrage tabagique est médicalement formellement déconseillée.
  2. Les effets délétères du tabac sur la santé des individus et des populations sont majeurs, le tabac représente la première cause évitable de mortalité et de maladies, tout particulièrement de l’appareil respiratoire.
  3. Des médicaments sont disponibles et validés pour l’aide au sevrage : les substituts nicotiniques, la varénicline et le bupropion. Ils doivent être prescrits en première intention avant l’utilisation de la cigarette électronique.
  4. La cigarette électronique avec liquide contenant de la nicotine fait partie des moyens non médicamenteux d’aide potentielle au sevrage tabagique.
  5. L’innocuité de la cigarette électronique, même bien utilisée, ne peut être affirmée.
  6. Toutefois, le potentiel de toxicité de la cigarette électronique utilisée dans les conditions autorisées en France paraît très inférieur à celui du tabac fumé.
  7.  De ce fait, son utilisation est préférable à la consommation de tabac, en l’état actuel des connaissances.
  8. Il faut recommander aux utilisateurs de cigarette électronique dans un objectif d’aide au sevrage tabagique, de limiter la durée de cette pratique dans le temps, une fois le sevrage obtenu et l’envie de fumer supprimée.
  9. Les règles d’utilisation de la cigarette électronique visant à en minimiser le risque d’effets adverses doivent être connues des utilisateurs (notamment utilisation exclusive de liquides autorisés, enregistrés à l’ANSES).
  10.  Les questions sur l’usage de la cigarette électronique doivent faire partie de l’interrogatoire de tout patient par un professionnel de santé.
  11. Il est souhaitable d’interdire l’usage de la cigarette électronique dans les lieux publics. La vente des cigarettes électroniques et liquides est interdite aux mineurs.
  12.  La recherche sur les effets à court, moyen et à long terme de la cigarette électronique doit être développée.
  13. Des points d’évaluation réguliers doivent être mis en place par les autorités de santé et les sociétés savantes concernées.

1 novembre 2019

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Mission post ATS 2019– les videos

La mission ATS 2019 a eu lieu le 12 octobre à la Faculté de Médecine Paris Descartes, site Cochin, Paris

Découvrez en vidéo les présentations des experts de la Mission ATS 2019

Introduction – Le mot du Président de la SPLF  Nicolas ROCHE

Dépistage du cancer broncho-pulmonaire :
les « big 3 » et les autres,
Pierre-Yves BRILLET
 
 
 
 
Syndrome obésité – hypoventilation :
VNI ou PPC ?
Sandrine PONTIER-MARCHANDISE
 

 
Pathologie pleurale
Hervé MAL
 
Dépistage du cancer broncho-pulmonaire : les « big 3 » et les autres
 
 
 
Traitements des pneumopathies interstitielles diffuses
associées aux sclérodermies systémiques, Diane BOUVRY
 

Mise au point sur l’embolie pulmonaire en 2019
Athénaïs BOUCLY
 
 
 
 
 
Intelligence Artificielle :
Bonne fée ou mauvais génie ?
Anh Tuan DINH-XUAN
 
 
 
 
Le point sur Les effets indésirables de la Cigarette Electronique
Philippe CAMUS
 
 
La vape, une actualité brûlante
Nicolas ROCHE
 
 
 
 
Changement climatique : Impact sur la santé
Marjolaine GEORGES

 
 
Toxicités pulmonaires des immunothérapies
Marion FERREIRA
 

Oxygénothérapie nasale à Haut Débit (OHD) :
Controverse et Facteurs Prédictifs de succès/échec dans l’IRA Hypoxémique (immunodéprimés)  Christophe GIRAULT
 
 
 
BPCO : une nouvelle ère
pour des thérapeutiques innovantes ?
Maéva ZYSMAN

La polypose naso-sinusienne,
le prochain défi des biothérapies anti T2, Camille TAILLÉ
 
 
 
 
Tuberculose et mycobactérioses pulmonaires : actualités 2019,
FXB BLANC

Prise en charge du Pneumothorax Spontané Primaire (PSP), Antoine LUCHEZ
 
 
 
 
Prise en charge de du syndrome d’apnées obstructives du sommeil par PPC
et alternatives thérapeutiques non instrumentales,
JC MEURICE

« Cette réunion est organisée avec le soutien institutionnel de GlaxoSmithKline et Philips»

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Numéro 153 – octobre 2019

Accès abonnés

ÉDITORIAL
La réglementation des fumées suit des vents contraires, Nicolas Postel-Vinay

VIE DE LA SOCIÉTÉ
ERS/SPLF Sessions communes 2019
• La tuberculose sous toutes ses formes, Fatma Tritar
•  Coaching santé : un processus en cours d’évaluation avec son lot de résultats encourageants
— Transplantation pulmonaire : la médecine de précision espère prédire le CLAD — Génétique des pneumonies infiltrantes diffuses Clairelyne Dupin
•  Maladie veineuse thrombo-embolique : nouvelles recommandations — Recommandations de la prise en charge des apnées-hypopnées centrales de l’adulte — Stratégie de prise en charge de l’asthme allergique — Où en sommes-nous dans le dépistage du cancer bronchique ?
Aurélien Justet
• Réforme du 3e cycle des études médicales : les formations spécialisées transversales sont en place. Anne Bergeron

EN PRATIQUE
Prendre en charge les douleurs induites par les abords pleuraux : il est possible de mieux faire
Gilles Mangiapan

INITIATIVES
REPRAN : réseau pour faciliter la prise en charge des pathologies respiratoires professionnelles non cancéreuses en milieu agricole
Hélène Cleau-andré, Jean-Charles Dalphin, Jean-Jacques Laplante, Timothée Ducarroz

SANTÉ PUBLIQUE
Étude KBP-2020 : depuis 20 ans, le CPHG observe l’épidémiologie du cancer bronchique, et ce n’est pas fini, Didier Debieuvre
Rapport de l’OMS et cigarettes électroniques : une « faute de communication » ?, Nicolas Postel-Vinay

NTCI
Espaces de discussions sur Internet et sevrage tabagique : jugés à l’aune d’un essai randomisé, les « chats » montrent un intérêt, Philippe Éveillard

VIGILANCE
Quinolones et fluoroquinolones : ne plus les prescrire dans la bronchite aiguë ni dans les exacerbations de BPCO de sévérité légère à modérée — Néphropathie aux produits de contraste iodés : peu de risque pour les patients dont le DFG est supérieur à 30ml/min — Délivrance de nicotine via la e-cig : ce que la littérature décrit comme effets indésirables — Épidémie de maladies pulmonaires liées au vapotage : le BMJ du 10 septembre 2019 évoque 450 cas aux États-Unis Nicolas Postel-Vinay

CULTURE
Une église au milieu des sanatoriums : Notre- Dame-de-Toute-Grâce,
Jean-Pierre Orlando

 

LU POUR VOUS
Mésothéliomes : pas toujours d’origine professionnelle, surtout l’amiante mais aussi d’autres fibres et des rayons — E-cigarette : entre 2017 et 2018, les ados américains ont augmenté leur
consommation de 46 % — Épidémiologie de la rougeole en France : les pneumopathies constituent la première complication
Nicolas Postel-Vinay

COMMUNIQUÉS DE PRESSE
Médecine personnalisée dans la BPCO – Nouveaux horizons dans le traitement de
la fibrose pulmonaire – Étude INBUILD® – Cancer bronchique non à petites cellules n
Ivacaftor dans la mucoviscidose – Trois ans de survie avec Tagrisso®– Asthme sévère à
éosinophiles: moins d’exacerbations sous Nucala® – La trithérapie améliore la fonction
pulmonaire et réduit les exacerbations dans l’asthme n

ENCADRÉS
Les petites annonces
Congrès du Sommeil

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Appel à projets de recherche sur la mucoviscidose 2020 (AP2020)

out en renouvelant sa volonté de soutien à la RECHERCHE FONDAMENTALE, l’association encourage particulièrement les projets de :

  • RECHERCHE CLINIQUE pour le développement d’outils diagnostiques et de thérapeutiques innovantes,
  • SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES pour répondre aux problématiques des patients et améliorer leur qualité de vie.

L’association encourage par ailleurs les projets collaboratifs et finance toutes les thématiques concernant les patients atteints de mucoviscidose. Cette année, l’accent sera mis sur plusieurs problématiques stratégiques.

FOCUS sur les problématiques stratégiques :

  • Bien vieillir avec la mucoviscidose / comorbidités
  • Hémoptysie
  • Problématiques spécifiques aux patients greffés
  • Nouvelles thérapeutiques (nouvelles pistes, études en vie réelle)
  • Infection, microbiotes pulmonaire et digestif
  • Données du Registre français de la mucoviscidose
  • Intégration d’outils d’intelligence artificielle

CONSULTER L’INTEGRALITE DES RECOMMANDATIONS DU COMITE STRATEGIQUE POUR LA RECHERCHE (CSR) POUR L’AP2020.

ACCES AUX FORMULAIRES ET AUX RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES

 

Eligibilité des candidatures

  • Les demandes de financements doivent être portées par un personnel statutaire (salarié en CDI, du secteur public ou privé).
  • Un même laboratoire peut soumettre plusieurs projets, s’ils concernent des sujets différents et sont réalisés par des porteurs de projet différents. Une lettre du directeur du laboratoire est obligatoire pour justifier la pertinence et l’articulation entre ces différents projets dans le cadre de la stratégie de recherche du laboratoire.
  • Les équipes étrangères sont éligibles sous certaines conditions (voir la note « Politique de soutien aux équipes étrangères » téléchargeable ici).

► Les équipes ayant déjà bénéficié d’un financement doivent impérativement être à jour dans leur(s) rapport(s) d’activité et financier(s) lors de la soumission d’une nouvelle demande. La nouvelle demande doit s’accompagner de la liste des financements précédents et en cours, en tant qu’équipe principale ou associée.

Dispositif de financement

Les financements sont accordés pour une durée de 1 à 3 ans. Les soutiens sur 3 ans ne sont attribués que dans le cadre d’une thèse de doctorat.

► Les financements pluriannuels sont accordés exceptionnellement et leur demande doit être argumentée. Leur renouvellement est soumis à conditions : une demande de renouvellement, accompagnée d’un rapport financier et scientifique intermédiaire, est à soumettre systématiquement chaque année. Le rapport intermédiaire sera évalué par le Conseil Scientifique de l’association qui recommandera ou non le renouvellement du financement.

La demande de financement peut inclure :

  • du personnel en CDD (doctorants, post-doctorants, techniciens, ARC, etc.)
  • des frais de fonctionnement à détailler impérativement
  • des frais de mission (déplacements nécessaires au déroulement du projet, à argumenter)
  • des frais d’équipement uniquement s’ils sont détaillés et sur présentation du devis, dans la limite de 5 000 €. Seuls les équipements spécifiques de la problématique abordée et indispensables à la réalisation du projet pourront être pris en charge.
  • des frais de publication
  • des frais de participation à un congrès (limités à 1 500 €, prioritairement destinés à un jeune chercheur), à hauteur d’une participation par an et par projet, à condition que les résultats du projet financé y soient présentés.

NB : les frais de publications et de congrès sont accordés selon l’avancement du projet.

 

Modalités de candidature et calendrier

Les modalités de candidature varient selon le domaine de recherche. Merci de vous référer au document téléchargeable ici pour classer votre projet dans l’un des 3 domaines suivants : RECHERCHE FONDAMENTALE (RF), RECHERCHE CLINIQUE (RC) ou SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES (SHS).

► Les porteurs de projets RC et SHS doivent déposer une lettre d’intention ; les projets RF ne nécessitent pas de lettre d’intention.
Les porteurs de projets basés sur les données du Registre français de la mucoviscidose, doivent en informer le comité de pilotage du Registre en amont du dépôt de la lettre d’intention et transmettre un résumé du projet à l’adresse : registre@vaincrelamuco.org.

  • Mardi 15 octobre 2019 : lancement de l’Appel à projets et accès aux formulaires de dépôt des lettres d’intention (RC et SHS)
  • Lundi 18 Novembre 2019 (minuit) : date limite de dépôt des lettres d’intention
  • Vendredi 20 décembre 2019 : les recommandations sont adressées aux porteurs de projet ayant déposé une lettre d’intention
  • Vendredi 20 décembre 2019 : accès aux formulaires de soumission de projet en ligne pour tous les domaines de recherche (RF, RC et SHS)
  • Lundi 2 mars 2020 (minuit) : clôture de la plateforme de soumission en ligne
  • Juillet 2020 : communication de la décision du Conseil d’Administration aux porteurs de projet

RETROUVEZ LES DATES CLES DE L’APPEL A PROJETS CLIQUEZ ICI

Modalités d’expertise

Les lettres d’intention en RC et SHS seront examinées par le Bureau des Etudes Cliniques et en SHS, composé de parents, patients, experts en RC et SHS, dont certains membres du Conseil Scientifique (CS).
Tous les dossiers complets feront l’objet d’une expertise externe et d’une analyse par le CS de Vaincre la Mucoviscidose. En sus des nouveaux dossiers soumis en ligne, le CS prendra en considération :

  • Les rapports d’activités, scientifiques et financiers, clôturant d’éventuels précédents financements
  • Les expertises précédentes dans le cas où le projet aurait déjà fait l’objet d’une soumission
  • Les recommandations faisant suite à l’analyse des lettres d’intention en RC et SHS

Tous nos experts et membres du CS remplissent une déclaration de conflit d’intérêts et s’engagent à la confidentialité la plus stricte concernant les dossiers, les expertises auxquelles ils ont accès et les discussions en session plénière du CS.
Le porteur de projet peut, s’il le souhaite, suggérer les noms d’experts qu’il juge compétents pour étudier son dossier et signaler les noms des personnes qu’il estime en conflit d’intérêt.

Pour plus de renseignements sur le processus d’expertise et la composition de nos instances, voir les documents : « Compléments d’information » et « Composition du Conseil Scientifique ».
Pour en savoir plus sur notre gestion des données personnelles cliquez ici.

 

⇒ En savoir plus : découvrez les projets de recherche financés actuellement.
Contact : recherche@vaincrelamuco.org

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Cancer Hétérogénité Instabilité et Plasticité (CHIP)

Annuaire de la recherche en pneumologie 

Nom du LaboratoireCancer Hétérogénité Instabilité et Plasticité (CHIP)
N° d'équipeU830 INSERM equipe STRESS-ART
Nom du directeur du laboratoireOlivier DELATTRE
Nom du responsableDr Fatima Mechta-Grigoriou
Courriel du responsablefatima.mechta-grigoriou@curie.fr
Contacts principauxPr. Gérard ZALCMAN : gerard.zalcman@aphp.fr
geard.zalcman@curie.fr
AdresseCentre de Recherche de l'Institut Curie, Pavillon Trouillet-Rossigol (3ème et.) U830 26, rue d'ilm
CP75248 Cedex 05
VilleParis
PaysFrance
Téléphone33140257502
Fax
Site internethttps://science.curie.fr/recherche/biologie-interactive-des-tumeurs-immunologie-environnement/genetique-biologie-cancers/equipe-camonis/
Mots cléscancer, biologie cellulaire, signalisation YAP/Hippo, micro fluidique
Résumé
Axe principalcancer, signalisaton intra-cellulaire, hippo pathway, evaluation pre-clinique d'inhibiteurs sur cultures 3D en puce microfluidique, immunothérapie

Annuaire de la recherche en pneumologie 

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CIGARETTE ÉLECTRONIQUE : PRUDENCE ET VIGILANCE

Alerte de la DGS et signalement des cas d’atteintes pulmonaires graves

Pour en savoir plus sur les cas d’atteintes pulmonaires chez des utilisateurs de e-cigarette aux USA :

[themify_box color=”blue”]

Communiqué de la Fondation du Souffle et de la Société de Pneumologie de Langue Française 

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[themify_box color=”orange”]

Note du Groupe tabac de la Société de Pneumologie de Langue Française

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