asthme

Jeudi de la SPLF – Jeudi 9 juin 2011

Allergies : du nez aux bronches

Pr Alain Didier, Toulouse

[themify_icon icon=”fa-exclamation-triangle” label=”la vidéo peut mettre quelques dizaines de secondes avant d’apparaître”  icon_color=”#F60A0A” ]

 

[themify_icon icon=”fa-film” label=”Voir la conférence en replay” link=”http://splf-live.org/jeudi11/replay.action”  icon_color=”#20779F” ]

logo_podcast Podcast

 

Jeudi de la SPLF – Jeudi 9 juin 2011 Lire la suite »

Un premier marqueur pour un traitement personnalisé de l’asthme ?

Les études de phénotypage commencent-elles à porter leurs fruits ? Depuis quelques années, une grande partie des communications se rapportant à l’asthme à l’ATS ont pour sujet le phénotypage des patients, dont l’objectif ultime est de pouvoir proposer un jour un traitement « à la carte » à chaque patient.

Étudiant l’expression génique de cellules épithéliales bronchiques de sujets asthmatiques obtenues par brossage, PG Woodruff (San Francisco) avait déjà mis en évidence en 2009 [1] l’existence d’un groupe de patients chez qui l’expression de certaines cytokines Th2 (IL-5 et IL13 notamment) était particulièrement élevée. Dans ce même groupe de patients, il avait été noté que l’expression épithéliale de la périostine, protéine régulée par l’IL-13, était également augmentée. Fait intéressant, ce groupe dit « Th2 », présentait une bonne réponse aux corticoïdes inhalés (amélioration du VEMS), contrairement au groupe « non Th2 ». Ce premier travail laissait donc entrevoir la possibilité de sélectionner des patients répondeurs à la corticothérapie.

Depuis, on a en effet corrélé le taux de périostine, mesuré simplement par test ELISA, à la réponse à la corticothérapie inhalée chez des asthmatiques légers à modérés. De plus, dans un travail étudiant sur une courte période l’effet d’un anticorps anti-IL13 sur la réactivité bronchique, on retrouvait de manière identique un taux élevé de périostine chez les patients répondeurs. Enfin, poursuivant l’analyse génomique initiale, les auteurs ont mis en évidence une expression importante de 16 gènes de la voie des eicosanoides dans le groupe des patients ayant une forte expression de périostine. La suite logique serait donc de bloquer sélectivement cette voie métabolique dans ce sous-groupe de patients.

Ces données demandent bien sûr à être confirmées, mais on imagine facilement que la mesure du taux de périostine pourrait à l’avenir être un marqueur simple de la réponse à différents traitements. L’heure de la médecine personnalisée approche-t-elle ?

 

 [1] Woodruff PG et coll. Am J Respir Crit Care Med. 2009 Sep 1 ; 180(5) : 388-95. Epub 2009 May 29.

 

 

[hr]

 

Résumé rédigé par C. Taillé d’après la communication de P.G. Woodruff, San Francisco.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[hr] [themify_button style=”blue  rounded” color=”#0080FF” link=”https://splf.fr/les-points-forts/en-direct-de-lats-2011/” text=”#1B0A2A” ]Retour au sommaire[/themify_button]

© iSPLF – Mission ATS – MAI 2011

Un premier marqueur pour un traitement personnalisé de l’asthme ? Lire la suite »

Jeudi de la SPLF – Jeudi 8 octobre 2009

archives-s

Asthme professionnel : données épidémiologiques et prise en charge

Pr Jacques Ameille

[themify_icon icon=”fa-exclamation-triangle” label=”la vidéo peut mettre quelques dizaines de secondes avant d’apparaître”  icon_color=”#F60A0A” ][themify_icon icon=”fa-film” label=”Voir la conférence en replay” link=”http://splf-live.org/jeudi09/replay.action”  icon_color=”#20779F” ]

logo_podcast Podcast

Jeudi de la SPLF – Jeudi 8 octobre 2009 Lire la suite »

L’asthme : une maladie Th17 ?

ers2010-2

On connaît l’implication des cytokines Th2 dans l’asthme. Si le rôle des cytokines de type 1 est discuté, celui des cytokines de la famille de l’IL-17 semble se confirmer.

L’IL-17A et E sont en effet surexprimées dans les biopsies bronchiques de patients asthmatiques et ce d’autant plus que la maladie est sévère. L’origine de l’IL-17 est multiple, lymphocytaire bien sûr, mais aussi épithéliale et musculaire lisse. De plus, l’IL-17 pourrait majorer la résistance de l’asthme au traitement en augmentant la forme bêta des récepteurs aux glucocorticoïdes.

Enfin, l’IL-17 agit sur la migration des cellules musculaires lisses in vitro et pourrait être impliquée dans le phénomène capital de remodelage bronchique. Cette cytokine, également retrouvée dans la BPCO, pourrait représenter donc une cible thérapeutique attractive.

[hr]

Rédaction : Marie Langelot, Institut du thorax, UMR 915, service de pneumologie, Nantes. ERS 2010 — Session 37 : Interleukin-17 cytokines and Th17 cells in human lung disease. Communication 147 de Q. Hamid, Montréal, Canada : Asthma.
L’auteur déclare ne pas avoir de conflit d’intérêt relatif à l’exposé présenté, septembre 2010.

Source : European Respiratory Society, Congrès annuel, Barcelone, Espagne 18-22 septembre 2010. Le contenu de ces comptes rendus a été réalisé sous la seule responsabilité de leurs auteurs garants de l’objectivité des données et de leur présentation.

<<< Retour au sommaire des Points forts de l’ERS

L’asthme : une maladie Th17 ? Lire la suite »

Mesdames, toutes à vos huiles végétales pour sauver vos bronches !

ats2010-2

Un déséquilibre de la balance pulmonaire oxydants/antioxydants a longtemps été considéré comme susceptible de contribuer à la survenue d’une BPCO. Les résultats d’une très grande étude randomisée contrôlée versus placebo visant à tester l’effet d’une supplémentation en vitamine E sur le développement d’une pathologie respiratoire viennent d’être rapportés. De quoi en surprendre plus d’un…

La Women’s Health Study 1 est une étude américaine comportant plusieurs facettes. Ici, 39 876 femmes âgées d’au moins 45 ans et ne prenant ni vitamine E, ni vitamine A ni suppléments en bêta-carotène ont été randomisées en deux bras recevant de la vitamine E (600 UI) ou du placebo. Ont ensuite été exclues les participantes ayant déjà une pathologie respiratoire chronique de base.
L’analyse finale a donc porté sur 19 299 patientes ayant reçu de la vitamine E et 19 298 femmes sous placebo. Chaque année, les participantes devaient répondre à la question suivante : « Depuis que vous avez débuté l’étude, avez-vous été diagnostiquée comme étant porteuse de certaines pathologies (dont l’asthme et la BPCO, pour ce qui nous intéresse ici) ? si oui, quand ? ».
La durée moyenne de suivi a été de 9,8 années et l’observance a été estimée à 78,9 % à cinq ans et 71,7 % à dix ans. Tout au long de l’étude, 760 participantes ont été diagnostiquées comme nouvellement atteintes d’une pathologie respiratoire chronique dans le groupe vitamine E versus 846 dans le groupe placebo (risque relatif 0,90 ; IC 95 %, 0,81-0,99 ; p = 0,03). En revanche, la supplémentation en vitamine E n’a eu aucun effet sur la survenue de l’asthme (risque relatif 0,99 ; IC 95 %, 0,90-1,08). L’effet de la vitamine E n’a pas été modifié par le tabagisme, le taux de cholestérol ou d’autres cofacteurs.
A.H. Agler, et al. concluent que la prise de 600 UI de vitamine E un jour sur deux permet de réduire de 10 % le risque de se voir diagnostiquer une pathologie respiratoire chronique chez la femme.

 

[hr]

Rédaction : François-Xavier Blanc, UF de pneumologie, CHU Bicêtre, AP-HP, Le Kremlin-Bicêtre. ATS session C103 — Dietary influences for asthma and chronic obstructive pulmonary disease : it’s all about what you eat (Am J Respir Crit Care Med 2010 ;181 : A5183). Communication de A.H. Agler, et al. L’auteur déclare ne pas avoir de conflit d’intérêt relatif à l’exposé présenté, mai 2010.
Source : American Thoracic Society International Conference, Louisiane, Nouvelle-Orléans, États-Unis 14-19 mai 2010. Le contenu de ces comptes rendus a été réalisé sous la seule responsabilité de leurs auteurs garants de l’objectivité des données et de leur présentation.

Retour au sommaire des Points forts de l’ATS

 

Retour au sommaire des Points forts de l’ATS

Mesdames, toutes à vos huiles végétales pour sauver vos bronches ! Lire la suite »

Le RGO est-il impliqué dans toutes les pathologies respiratoires ?

ats2010-2

Une session de l’ATS 2010 a fait le point sur l’implication du reflux gastro-œsophagien (RGO) dans différentes pathologies pulmonaires et sur sa prise en charge thérapeutique.

La prévalence des symptômes du RGO et/ou des épisodes acides œsophagiens (pH-métrie) varie en fonction des pathologies respiratoires : autour de 60 % dans le syndrome d’apnées obstructives du sommeil, 30 à 85 % dans l’asthme, 60 % dans la mucoviscidose, 87 % dans la fibrose pulmonaire idiopathique et 76 % chez les patients transplantés pulmonaires. Le lien de causalité entre le RGO et la pathologie respiratoire n’est pas clairement établi. Les inhibiteurs de la pompe à protons n’améliorent pas le SAOS, les symptômes respiratoires de la mucoviscidose et l’asthme, si le RGO est asymptomatique. Les prokinétiques (métoclopramide, dompéridone, baclofène, érythromycine) comme le traitement des comorbidités (obésité, alcoolisme chronique) doivent être envisagés dans le traitement du RGO. En ultime recours, la chirurgie de fundoplicature peut être indiquée. Les résultats sont bons sur le reflux. Cette chirurgie reste le traitement de choix du reflux non acide, diagnostiqué par impédancemétrie œsophagienne avec pH-métrie normale.

 

[hr]

Résumé :  Stéphane Jouneau, service de pneumologie, CHU de Rennes, à partir des communications présentées lors de la session A2 : « From asthma to transplantation : gastroesophageal reflux and the lung ». L’auteur déclare n’avoir aucun conflit d’intérêt.
Source : American Thoracic Society International Conference, Louisiane, Nouvelle-Orléans, États-Unis 14-19 mai 2010. Le contenu de ces comptes rendus a été réalisé sous la seule responsabilité de leurs auteurs garants de l’objectivité des données et de leur présentation.

Retour au sommaire des Points forts de l’ATS

Le RGO est-il impliqué dans toutes les pathologies respiratoires ? Lire la suite »

Asthme et atopie : un intérêt « croissant » pour la vitamine D ?

ats2010-2

L’incidence de l’asthme et de l’atopie augmente dans les pays industrialisés. Des données récentes suggèrent le rôle important de la vitamine D dans le développement pulmonaire fœtal, l’homéostasie des T régulateurs et la fonction du muscle lisse bronchique. Une session était consacrée à l’état de l’art sur le sujet.

L’hypothèse hygiéniste prévalait ces dernières années pour expliquer l’augmentation de l’incidence de l’asthme : la moindre exposition infantile aux infections déséquilibrerait la balance Th1/Th2. Une autre conséquence des modifications de notre mode de vie est une plus grande fréquence de la carence en vitamine D (2/3 de la population aux États-Unis). La vitamine D a un rôle qui n’est pas limité au métabolisme osseux. Il est estimé que 3 % des gènes ont un élément de réponse à la vitamine D dans leur région promotrice. La vitamine D régule la différenciation des cellules alvéolaires de type II et l’alvéolisation pulmonaire fœtale. Elle est également impliquée dans le développement des voies aériennes proximales et distales. La carence in utero en vitamine D dans un modèle animal est associée à un phénotype myogénique des voies aériennes et le développement d’une hyperréactivité bronchique dans la descendance. Il existe une association entre la sévérité de l’asthme et la concentration sanguine de vitamine D chez les enfants. Sur le plan immunologique, la vitamine D est essentielle au développement et au maintien des lymphocytes T régulateurs. Ces lymphocytes ont un rôle essentiel dans la tolérance antigénique. Elle restaure la sensibilité aux corticoïdes des lymphocytes T des patients corticorésistants mesurée par la production d’IL-10. In vitro, sur les cellules musculaires lisses bronchiques, elle inhibe la prolifération cellulaire et l’activité de NF-kB induite par la stimulation des cytokines inflammatoires. Ces données justifient la conduite des études cliniques sur l’intérêt d’une supplémentation en vitamine D chez les patients asthmatiques.

[hr]

Rédaction : Émilie Catherinot, service de pneumologie, hôpital Foch, Suresnes. ATS session A10 — Vitamin D and the lung : emerging concepts. L’auteur déclare ne pas avoir de conflit d’intérêt relatif à l’exposé présenté, mai 2010.
Source : American Thoracic Society International Conference, Louisiane, Nouvelle-Orléans, États-Unis 14-19 mai 2010. Le contenu de ces comptes rendus a été réalisé sous la seule responsabilité de leurs auteurs garants de l’objectivité des données et de leur présentation.

Retour au sommaire des Points forts de l’ATS

Asthme et atopie : un intérêt « croissant » pour la vitamine D ? Lire la suite »

Mettez un GPS dans le salbutamol pour suivre le traitement de l’asthme à la trace

ats2010-2

On ne manque pas d’inventivité pour améliorer le contrôle de l’asthme…

Un ingénieur de l’université du Wisconsin a implanté un GPS sur le spray d’un bronchodilatateur de courte durée d’action de 27 patients asthmatiques, baptisant ce nouvel inhalateur le Spiroscout®. Un signal était envoyé par le GPS à chaque pression sur le spray. Après un mois d’utilisation, les patients recevaient une fois par semaine par mail un relevé horaire de leur consommation de bêta2-mimétiques, ainsi qu’une carte géographique indiquant l’endroit où le spray avait été utilisé. Les médecins avaient la possibilité d’envoyer un message personnalisé d’alerte en cas de consommation trop importante. Après trois mois, le score de contrôle de l’asthme est passé de 17 à 21,2 (p = 0,001) et l’ensemble des symptômes d’asthme ont diminué. Pour expliquer le bénéfice du système, les inventeurs évoquent une amélioration de la communication entre médecin et patient, un suivi plus rapproché, la possibilité de trouver des facteurs déclenchant les symptômes respiratoires grâce au suivi horaire et géographique. Les patients ne se sont pas plaints d’héberger Big Brother dans leur aérosol-doseur de salbutamol.

 

[hr]

Rédaction : : Camille Taillé, service de pneumologie, hôpital Bichat, Paris. ATS Poster A46 — Online feedback about remotely monitored inhaled bronchodilators improves composite measures of asthma control, de David Van Sickle, Wisconsin, États-Unis, de la session B47 — Asthma epidemiology : clinical and pharmacological determinants of asthma outcomes. L’auteur déclare ne pas avoir de conflit d’intérêt relatif à l’exposé présenté, mai 2010.
Source : American Thoracic Society International Conference, Louisiane, Nouvelle-Orléans, États-Unis 14-19 mai 2010. Le contenu de ces comptes rendus a été réalisé sous la seule responsabilité de leurs auteurs garants de l’objectivité des données et de leur présentation.

Retour au sommaire des Points forts de l’ATS

Mettez un GPS dans le salbutamol pour suivre le traitement de l’asthme à la trace Lire la suite »

Encore un nouveau bronchodilatateur à longue durée d’action dans l’asthme !

ats2010-2

Parmi les nombreuses molécules en voie de développement dans le traitement de l’asthme, il est bien difficile de dire dès à présent lesquelles franchiront les différents stades requis pour être mises sur le marché. L’une d’elles a retenu notre attention, le LAS100977.

Cette molécule est un nouveau bêta2-agoniste de longue durée d’action conçu pour n’être administré par voie inhalée qu’une seule fois par jour. Quatre communications lui ont été consacrées lors de cette conférence. Les données in vitro indiquent qu’elle possède un ratio de sélectivité bêta1/bêta2 comparable au salmétérol et supérieur au formotérol et à l’indacatérol. Sur des bronches humaines isolées, le LAS100977 à un délai d’action rapide, comparable à celui de l’indacatérol mais toutefois un peu moins rapide que le formotérol. Sa durée d’action est la plus prolongée des quatre molécules testées. Un essai de phase I conduit versus placebo chez 48 volontaires sains a montré que ce produit abaissait les résistances des voies aériennes sans net effet dose-réponse, mais avec une action soutenue pendant plus de 24 heures. La tolérance semble acceptable, les effets secondaires le plus souvent rapportés étant habituels avec ce genre de médicament (palpitations, tremblements, nausées, fatigue). Un essai randomisé de phase IIa, réalisé en double aveugle versus placebo et comparateur actif avec cross-over, a également été présenté par J. Beier, et al. : 25 asthmatiques adultes non fumeurs avec un VEMS de base compris entre 60 % et 80 % th. et prenant tous des corticoïdes inhalés ont reçu soit du LAS100977 inhalé à la dose de 5, 10 ou 25 µg une fois par jour, soit du salmétérol inhalé (50 µg x 2/j), soit du placebo. Chacun des patients de ces cinq groupes ne prenait le traitement de l’étude que pendant une journée, puis ne recevait plus rien pendant une semaine avant de passer à un deuxième groupe. Une seule inhalation de LAS100977 a permis d’augmenter significativement le VEMS des patients 24 heures après la prise, et ce, quel que soit le dosage utilisé. Cette amélioration a été supérieure à celle obtenue sous salmétérol (p < 0,05) et, bien évidemment, au placebo (p < 0,0001). Là encore, la tolérance s’est avérée satisfaisante, avec toutefois nettement plus d’événements rapportés avec les deux plus fortes doses de LAS100977.

Cette nouvelle molécule n’est donc pas dénuée d’intérêt. Elle s’ajoutera peut-être un jour aux bêta2-agonistes de longue durée d’action déjà commercialisés si les futurs essais de plus grande envergure se révèlent concluants. À suivre, donc…

[hr]

Rédaction : François-Xavier Blanc, UF de pneumologie, CHU Bicêtre, AP-HP, Le Kremlin-Bicêtre. ATS session D21 — Asthma therapy : new targets, new tricks. (Am J Respir Crit Care Med 2010 ; 181 : A5414). Communication J. Beier, et al. L’auteur déclare ne pas avoir de conflit d’intérêt relatif à l’exposé présenté, mai 2010.
Source : American Thoracic Society International Conference, Louisiane, Nouvelle-Orléans, États-Unis 14-19 mai 2010. Le contenu de ces comptes rendus a été réalisé sous la seule responsabilité de leurs auteurs garants de l’objectivité des données et de leur présentation.

Retour au sommaire des Points forts de l’ATS

Encore un nouveau bronchodilatateur à longue durée d’action dans l’asthme ! Lire la suite »

Jeudi de la SPLF – Jeudi 5 novembre 2009

archives-s

Asthme et obésité

Pr Philippe Godard

 

 

[themify_icon icon=”fa-exclamation-triangle” label=”la vidéo peut mettre quelques dizaines de secondes avant d’apparaître”  icon_color=”#F60A0A” ]

 

[themify_icon icon=”fa-film” label=”Voir la conférence en replay” link=”http://splf-live.org/jeudi09/replay.action”  icon_color=”#20779F” ]

logo_podcast Podcast

 

Jeudi de la SPLF – Jeudi 5 novembre 2009 Lire la suite »

Retour en haut
APPLI-SPLF

GRATUIT
VOIR