Service de Pneumologie du Centre Hospitalier de la Côte Basque
Service de Pneumologie de 22 lits d’hospitalisation conventionnelle au sein d’un établissement de 550 lits de MCO au sein d’un GHT à taille humaine (Côte Basque et Pays Basque Intérieur)
Equipe dynamique et bienveillante de 8 PH temps plein (5 femmes, 3 hommes) accueillant des internes, des étudiants DFASM, des Assistants de Spécialité et des Docteurs juniors.
4 référents en Oncologie thoracique, 2 référents en maladies pulmonaires rares et ventilation dont 1 Pneumo-Infectiologue, 1 réfèrent en asthme sévère, 1 référent CLAT
Activités de consultations, hospitalisation complète, HDJ, plateau technique pour lesquelles tous les praticiens interviennent.
Activité de Pneumologie générale, Oncologie thoracique, bronchopathies chroniques, maladies pulmonaires rares et fibroses (en partenariat avec la Médecine Interne), ventilation (avec HDJ ventilation et prise en charge des pathologies neuromusculaires dans le cadre d’un centre de compétence), allergologie.
Activité de recherche clinique avec ARC dédiés (Oncologie, Maladies rares, Asthme, BPCO)
Plateau technique : EFR, EFX, fraction exhalée NO, test à la métacholine, test de marche, bilan allergologique.
Fibroscopie bronchique sous AL et sous AG, EBUS, minisonde.
Activité médicale de consultation dans le cadre du GHT (groupement hospitalier territorial) qui comporte actuellement 3 sites.
Travail étroit avec nos confrères de Chirurgie Thoracique, de Radiologie (et Radiologie Interventionnelle), de Médecine Nucléaire et Réanimation
Nous recherchons un Pneumologue (DES de Pneumologie) préférentiellement à temps plein, intéressé par la pathologie bronchique avec potentiellement des compétences en allergologie et/ou avec des compétences en oncologie thoracique.
9h30 : Accueil (café, visite stand) 9h55 : Ouverture de la journée. Jésus Gonzalez, Président de la SPLF (Paris), Gaëtan Deslée, Coordonnateur du GT BPCO (Reims)
10h00-11h30 : Les grandes « tendances » en 2023 Modérateurs : Bouchra Lamia (Rouen), Nicolas Roche (Paris)
10h00 : Pré-BPCO, trajectoires, classification étiologique Lucile Regard (Paris) 10h30 : Nouvelle définition des exacerbations : cela change-t-il nos pratiques? Olivier Le Rouzic (Lille) 11h00 : Le développement des biothérapies : où en sommes-nous ? Marina Guecamburu (Bordeaux)
11h30 : Pause-café
12h-13h15 : Le parcours de soins du patient BPCO Modérateurs: Gaëtan Deslée (Reims), Laurent Boyer (Créteil)
12h00 : Indicateurs HAS : un outil utile ? Maeva Zysman (Bordeaux) 12h20 : Réadaptation respiratoire : quelles modalités pratiques ? Amandine Rapin (Reims)£ 12h40 : Quels freins à l’entrée dans le parcours de soins : Table ronde avec les acteurs de la prise en charge : IPA : Guillaume Fieutelot(Nancy) / Médecin généraliste Dr Chapron / Kinésithérapeute Marc Beaumont (Morlaix) / Pneumologues Alain Bernardy (Cambo les Bains), Thierry Perez (Lille)
13h15 : Pause déjeuner
14h-15h30 : Quand la BPCO est sévère/complexe/difficile Modérateurs :Claire Andrejak (Amiens), Pierre Régis Burgel (Paris) 14h00 : Infections chroniques à Pseudomonas, Aspergillus, Mycobactéries atypiques: que faire ? Clémence Martin (Paris) 14h30 : Impact des comorbidités cardiovasculaires et Hypertension Pulmonaire Thibaud Soumagne (Paris) 15h00 : Quelles stratégies d’oxygénothérapie et de ventilation ? Maxime Patout (Paris)
15h30: Pause-café
16h00-17h : La RCP BPCO sévère comme si vous y étiez Modérateurs :Amandine Briault (Grenoble), Armelle Marceau (Paris)
16h00 : Cas-clinique de dyspnée persistante Capucine Morelot-Panzini (Paris) 16h20 : Cas-clinique d’emphysème sévère Thomas Egenod (Limoges) 16h40 : Cas-clinique d’exacerbations fréquentes Bruno Ribeiro Baptista (Nancy) 17h00-17h10 : Conclusion Gaëtan Deslée
Le Ministère de la transition écologique travaille à l’élaboration d’un décret encadrant l’expérimentation, avant la fin de l’hiver, d’un nouveau dispositif de sauvegarde du système électrique qui pourrait permettre de baisser la consommation d’électricité en France lors de situations tendues (EcoWatt orange ou rouge), et ainsi éviter de recourir à des coupures temporaires (délestage) dans l’éventualité où celles-ci auraient été nécessaires pour préserver notre système électrique, en cas de déséquilibre entre la production d’électricité et la consommation.
Cette expérimentation consistera à baisser temporairement la puissance maximale pouvant être soutirée du compteur, tout en préservant un minimum d’alimentation électrique pour tous les clients particuliers, en limitant celle-ci aux usages essentiels avec une puissance de 3kVA (=3kWh). Cette expérimentation sera réalisée sur les périodes de pointes de la consommation d’un jour ouvré (matin et fin d’après-midi), durant un laps de temps restreint vu de chaque client (2h environ). Si le seuil de 3kVA est dépassé chez le client, son alimentation électrique sera alors coupée mais le courant pourra être rétabli par ses soins s’il débranche au préalable une partie de ses appareils, afin de passer sous le seuil de 3kVA. Si le client est absent et que son alimentation est coupée, elle sera automatiquement rétablie à la fin de la période d’expérimentation. Si la puissance soutirée par le client est inférieure à 3 kVA, il ne se passera rien.
A titre indicatif, la consommation d’un respirateur « support de vie » de niveau 3 est inférieur à 0.5 kVA (=0.5 kWh) et ne devrait donc entraîner de coupure.
Par ailleurs, la prestation des malades dépendants d’une assistance ventilatoire « à haut risque vital » est déjà très protectrice depuis des années et protègera suffisamment les malades dans la perspective de coupure d’électricité d’une durée inférieure à 2 à 4 heures.
L’avis donné par le GAVO2 de la SPLF l’hiver dernier reste valable et les différentes règlementations doivent être connues et appliquées.
Elles concernent :
– les patients sous ventilation non invasive avec prescription d’une durée ≥ 16 heures /24 ou ayant une utilisation effective moyenne sur les trois derniers mois ≥ 16h/24 (1) – les patients sous ventilation invasive, via une trachéotomie, quel que soit le temps d’utilisation quotidien (2) – les patients ventilés dans le cadre d’un syndrome d’Ondine ou syndrome d’hypoventilation centrale congénitale, quel que soit le temps d’utilisation quotidien (2)
Trois vérifications sont recommandées :
1) Recensement des patients concernés.
Actions à envisager
• Si vous êtes déjà considéré comme malade dépendant, votre situation a dû être déclarée avec le formulaire CERFA (Cerfa 10401*02 et 10402*02) destiné à l’ARS puis à votre fournisseur d’électricité. Ceci doit être renouvelé tous les ans. • Si vous utilisez votre ventilateur plus de 16h par jour et que vous n’êtes pas considéré comme « dépendant d’un ventilateur », vous devez immédiatement vous signaler auprès de votre prestataire afin de vous mettre à niveau
2) Vérification par le prestataire que le patient bénéficie d’un matériel adapté à domicile :
• Deux respirateurs(1) « support de vie »(3) de niveau 3(2) sur lesquels le programme de ventilation principal (programme de nuit pour une majorité des patients) doit être paramétré à l’identique, • Un ballon auto-remplisseur (4) et un aspirateur à sécrétions doté d’une batterie pour les patients trachéotomisés sont recommandés (1) • Des batteries de secours sont nécessaires (1) (possiblement avec un pack externe en plus des batteries des ventilateurs(5).
3) Rappels de consignes de sécurité :
• Vérifier que le second respirateur est branché avec batterie chargée, prêt à l’emploi, circuit monté. • De préférence, les respirateurs doivent être branchés sur une prise électrique indépendante. Autrement dit, les multiprises avec interrupteur sont à éviter, afin de réduire le risque de problèmes techniques (6)
FOCUS OXYGENE Il est possible que certains malades soient également dépendants d’une source à O2. Là aussi, selon la réglementation existante, le patient dispose d’une bouteille d’oxygène de secours au domicile dont le volume est adapté au débit d’oxygène du patient pour un temps largement supérieur >4H que ce soit pour l’oxygène long terme (7) ou court terme (8)
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Le changement climatique peut modifier l’incidence et la gravité des infections respiratoires en affectant les vecteurs et les réponses immunitaires de l’hôte. Cela pose des défis en termes de santé respiratoire qui pourraient être bien plus importants dans un avenir proche.
Louise Bondeelle Département de microbiologie et de biologie moléculaire, Université de Médecine de Genève, Suisse
Le réchauffement climatique s’est accéléré au cours des 50 dernières années. L’augmentation de la température de surface fait fondre les glaciers et monter le niveau de la mer. On signale davantage d’inondations, de sécheresses, d’ouragans et de vagues de chaleur. La pollution atmosphérique est désormais reconnue par les gouvernements, les institutions internationales et la société civile comme un facteur de risque majeur pour la santé publique mondiale. Le fardeau sanitaire de la pollution de l’air est majeur :509 000 décès prématurés chaque année en Europe1, ainsi que de sévères aggravations des maladies cardiaques et pulmonaires qui touchent des millions de patients, enfants et adultes. L’Agence européenne pour l’environnement a estimé qu’en Europe en 2018, 417 000 décès prématurés étaient imputables aux particules d’un diamètre inférieur à 2,5 μm (PM2,5), 55 000 au dioxyde d’azote (NO2) et 20.600 à l’ozone (O3).
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Le dernier congrès de l’ERS, qui a eu lieu à Milan début septembre, a été riche en actualités. Grâce à nos super-rédacteurs, même ceux qui n’y étaient pas ont pu avoir un goût de gelato dans la bouche !
Justine Frija-Masson Service de physiologie, hôpital Bichat-Claude Bernard, Paris
Le congrès a été plus riche en sessions que l’année dernière à Barcelone. Qu’à cela ne tienne, les rédacteurs d’Info Respiration étaient au rendezvous pour cette nouvelle session. Cindy Barnig, Louise Bondeelle, Clairelyne Dupin, Vincent Fallet, Marjolaine Georges, Étienne-Marie Jutant, Grégory Reychler, Lucile Sesé et Wojciech Trzepizur ont participé à cette nouvelle édition. La coordination était assurée par Agnès Lara, Fabienne Duguet, Ève Gillier et Justine Frija-Masson. Cette nouvelle édition a bénéficié du soutien institutionnel des laboratoires AstraZeneca. Vous trouverez dans ce numéro un florilège des informations reçues en congrès.
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